Coût de transaction

on peut repasser par les auteurs classiques. Les limites de cette approche classique néoclassique c’est qu’elle ignore les défaillances du marché on ne peut pas tout prendre en compte dans des équations. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de transaction qu’il n’y a pas d’effet (c’est ce qu’on appelle les externalités). Cette démarche à conduit à mieux traité les biens collectifs et biens publics et la pollution constitue un bien public car c’est une perte de satisfaction par des acteurs économiques

Sujet : THEORIE DES COUTS DE TRANSACTION Réalisé par : Sous la Direction de : AGONDANOU Miguelle I. Mr TADDE B. Ismaël YEZOUNME Charbelle M. Glossaire de l’exposé Anté : élément savant signifiant « avant » et indiquant l’antériorité. Archétype : type primitif ou idéal ; original qui sert de modèle. Asymétrie : absence de symétrie (distribution régulière

1. L’organisation hiérarchique permet d’éviter Les coûts de transaction, c’est-à-dire l’ensemble des coûts qu’implique tout échange marchand au-delà du prix d’achat. En faisant plutôt qu’en faisant faire, l’entreprise s’exonère des coûts liés à la collecte et au traitement de l’information, des coûts liés à la réalisation du contrat et des frais inhérents au contrôle de son exécution. 2. La déperdition d’information tient à deux raisons principales. La première tient à la plus ou moins forte

acheter par exemple 100 contrats de puts (Vente), pour un prix d’exercice de 65 euro .Cela lui procure le plein droit de vendre les 1000 titres à 65 € chacun .Si une option coute 2,5 € chaque contrat coutera 25 €. Cette stratégie de couverture va couter 2500 € pour l’investisseur en lui garantissant la vente de ses titres à un prix supérieur à 65 € par titre pendant toute la durée de vie de l’option. Les speculateurs : Contrairement aux Hedgers qui cherchent souvent à éliminer le risque de la variation

Krugman, théorie du commerce international. Approche micro économique, monopole, oligopole, le dilemme du prisonnier, Galbraith et la figure inversée, Simon avec la théorie des organisations, la théorie des coûts de transaction de Coase (marché en situation d’atomicité, coût de transaction dès lors que l’entreprise internaliserait des activités en faisant elle même ce que faisait le marché, elle serait capable de réduire ses coûts ?), Marx et la question des économies d’échelle. Intro : La concentration

soulignent donc que l'échec du marché, ici, n'est que relatif. Dans le cas des externalités, Pigou, un économiste anglais, a proposé dès 1932 un système de taxes et de subventions destiné à intégrer dans le prix de vente ( à "internaliser" ) le coût des dommages ou, au contraire, les avantages sociaux engendrés par les externalités. C'est le principe du "pollueur-payeur". Pourquoi ne pas aller plus loin et instaurer un marché des "droits à polluer" suggèrent les libéraux contemporains ? A vrai

donc optimiser la recherche * Flexibiliser ses coûts afin de minimiser les risques * Les limites : * Impact social dû à la restructuration * Moins de contrôle * Perte de qualité * Perte d’expertise et de culture * Coût de transaction * Moins bonne communication * Perte de savoir-faire En règle générale les entreprises qui ont recours à l’outsourcing reconduisent les contrats (85% des cas) II. Ma position Dans un premier temps il paraît important de rappeler

actions des participants, intérieurs ou extérieurs au marché, qui influencent les conditions de l’offre et de la demande. En premier lieu, les imperfections naturelles du marché portent sur deux thèmes : les coûts de transaction et la connaissance du marché. Les coûts de transaction reposent sur la prémisse que toute action effectuée sur un marché coûte de l’argent que cela soit en recherche—trouver le bon vendeur ou acheteur—, en communication, en négociation, en transport ou en taxe. La deuxième

Plan de l’exposé : I. Les fondements théoriques de la TCT : 3 1- Existence de la firme et notion de coût de transaction : 4 2- La TCT avec Wiliamson : 4 II. Les modes de gouvernance selon la (TCT) : 6 1- L’analyse des attributs des transactions: 6 2- L’analyse des structures ou modes de gouvernance 8 La théorie des coûts de transaction appartient à une sous branche de la doctrine économique appelée « nouvelle économie institutionnelle » .Elle découle de courants très divers

Economie industrielle et premiers outils d’analyse stratégique (année 1960) Ecole de la contingence (1960-1980) Chandler, Woodward, Burn et Stalker, Lawerence et Lorch, Mintzberg… Théorie de l’agence (Jensen et Meckling) et Théorie des coût de transaction (Williamson) (Année 1970) Théories évolutionniste, Théorie des conventions Sociologie des organisations (Crozier et Friedberg) Théorie des érseaux sociaux (Granoveter) (Année 1970) Régulation conjointe (Reynaud) Approche culturaliste (Sainsaulieu)