Deleuze

avec Les 400 coups, un film ressemblant drôlement à du Flaherty, analysé par Bazin afin d'appuyer sa théorie du "montage interdit ", pris enfin comme exemplaire de la structure des films de l'image-action (Situation - Action - Situation) par Gilles Deleuze. Le documentaire : entre réalité et fiction… Godard raconte : "Quand on lit le récit du tournage de Nanouk de Flaherty, qu'on prend pour un documentaire, on apprend que Flaherty a payé ses Esquimaux, il s'est disputé avec eux, il les a forcés à

comme le dit Schopenhauer où je cite « Le désir est un manque engendrant la souffrance ». L’homme désire par un manque. Le désir et le manque sont donc liés. Mais le désir est aussi producteur, il permet de rendre un objectif à notre existence, Deleuze dit qu’il « produit du réel et étreint la vie. On ne peut désirer que lorsqu’on manque. Du latin « desiderare » et « considerare » signifiant regretter l’absence de l’astre du signe favorable de la destinée et contempler les astres pour savoir si

copte, arménien… arts négligés à l’époque. Cela fait de Duthuit une figure singulière : il a accès assez tôt à des textes de Riegel ( ?), or les milieux académiques de l’histoires de l’art dans l’entre-deux guerres en France sont anti-germanistes. Deleuze, Logique de la sensation. Venu lui-même à Riegel par Henri Maldiney…qui n’a publié son premier livre qu’à soixante ans passés. Avant Maldiney, Duthuit est le premier à saisir l’importance de la réflexion de Riegel. Cela a contribué à ce que Duthuit

satisfaction. C'est une tendance devenue consciente d'elle même , accompagnée de la représentation du but à atteindre. En tant que tendance ou appétit, le désir est distingué du besoin qui désigne surtout l'élément affectif de cet état. D'Aristote à Deleuze en passant par Platon, les avis divergent, et sont parfois aux antipodes. Nous verrons ici si nous sommes esclaves de nos désir, si nous pouvons contrôler nos désirs ? A travers l'homme comme non animal , doté d'une conscience; ainsi que la dimension

l’écrivain haïtien émile ollivier dans Penser la créolité (1995, p. 229) : celui-ci explique comment Gilles Deleuze la reprend dans Critique et clinique (1993) pour montrer les similarités entre folie et production littéraire et leur grande différence : celle de la production d’un sens chez l’écrivain alors que le fou s’enferme dans sa folie. La perspective de Proust et celle de Deleuze ne sont pas les mêmes, mais l’idée de « langue étrangère » ici est parlante. ollivier la reprend pour les

cabinet d’Olivier Deleuze (Ecolo), secrétaire d’État à l’Énergie, on tempère les propos d’André Berger. « Nous parions sur des économies d’énergie qui devraient dégager, d’ici 2025, jusqu’à 100 milliards de Kilowatts/heure/an. Nous tablons également sur 6 % d’énergie verte et sur la cogénération, c’est-à-dire la production simultanée d’énergie électrique et de chaleur. Cela devrait couvrir la moitié des KW/heure produits par les centrales nucléaires », assure-t-on au cabinet Deleuze. « Mais il est vrai

Yo Ozzy sa mere................................................ Récit écrit, récit filmique Gilles Deleuze, dans le texte publié en préface à l’édition Folio de La Bête humaine et reprise de son livre Logique du sens, distingue, à propos de Zola au cinéma le « médiocre metteur en scène » qui se contente d’« appliquer » le roman et Renoir : « Quand Renoir (…) se confronte avec La Bête humaine, c’est une œuvre très belle où le cinéma trouve son autonomie. » Or, c’est bien cette autonomie

nous trouvons bon un objet parce que nous le désirons. Le désir est premier et constituant d’Idée, de réalité et de valeur plutôt que second et constitué par le manque, la privation d’Idée, de réalité ou de valeur. Pour Spinoza, ainsi que le notera Deleuze, le désir ne manque de rien. c) Problème de l’objet illimité du désir L’interdit, l’impossible, l’illimité, l’absolu, l’infini sont-il l’objet ultime du désir ? Le désir a-t-il l’impossible et l'interdit pour limite ou ne désirons-nous

  2 /        L’artiste suisse Thomas Hirschhorn travaille avec des matériaux pauvres. Ce sont souvent de grandes installations réalisées en carton, et en scotch. Il s’agit de monuments dédiés à des personnes qu’il admire (comme le philosophe G. Deleuze, Avignon 2000) et qui requiert la participation de la population, afin que ses œuvres ne soient pas uniquement présentées dans les lieux spécifiquement dédiés à l’art contemporain. Dans « suiss made » de 1999 l’artiste détourne de manière ironique

l'ère classique à l'ère quantique et l'abandon de la métaphysique classique pour libérer une pensée de l'affectif c'est-à-dire une érotique. Le thème est la « pensée du Dehors » ou « pensée du Surpli » comme l'ont nommé et anticipé Foucault puis Deleuze. Il s'agit d'une pensée non métaphysique qui pose les forces et non les formes ou encore la complexité plutôt que la subjectivité. Elle ne s'appuie sur aucun fondement ni aucun principe, sinon elle se situerait au-dedans de la métaphysique. La problématique