Deleuze

dessinée, pour vivre avec sa maîtresse selon les principes qu’il a édictés, Loncours accomplit le « double mouvement » que, selon Gilles Deleuze, l’imagination associe traditionnellement aux îles : « séparation » – « l’homme (…) se trouve séparé du monde en étant sur l’île » – et « recréation » – « l’homme (…) recrée le monde à partir de l’île et sur les eaux » (Deleuze, 2002: 12). Le roman d’Amélie Nothomb renoue ainsi avec le topos littéraire qui fait de l’île le lieu par excellence de l’utopie

dessinée, pour vivre avec sa maîtresse selon les principes qu’il a édictés, Loncours accomplit le « double mouvement » que, selon Gilles Deleuze, l’imagination associe traditionnellement aux îles : « séparation » – « l’homme (…) se trouve séparé du monde en étant sur l’île » – et « recréation » – « l’homme (…) recrée le monde à partir de l’île et sur les eaux » (Deleuze, 2002: 12). Le roman d’Amélie Nothomb renoue ainsi avec le topos littéraire qui fait de l’île le lieu par excellence de l’utopie

généralisation de traits communs identifiables »2. Comme un résumé ou un concentré d’idées ayant un lien réel et discernable. Selon Gilles Deleuze, la philosophie se définit comme la création de concepts, et non comme la contemplation passive des choses ou la simple réflexion 3. Le concept serait donc l’essence de la philosophie, la base de la bonne réflexion. Deleuze, encore lui, avait écrit dans un article intitulé « qu’est-ce que la philosophie ? »: « D’épreuve en épreuve, la philosophie affronterait

dessinée, pour vivre avec sa maîtresse selon les principes qu’il a édictés, Loncours accomplit le « double mouvement » que, selon Gilles Deleuze, l’imagination associe traditionnellement aux îles : « séparation » – « l’homme (…) se trouve séparé du monde en étant sur l’île » – et « recréation » – « l’homme (…) recrée le monde à partir de l’île et sur les eaux » (Deleuze, 2002: 12). Le roman d’Amélie Nothomb renoue ainsi avec le topos littéraire qui fait de l’île le lieu par excellence de l’utopie. Le

revienne, ce qui n’est qu'une hypothèse banale et terrifiante (car elle implique le retour de la mesquinerie et du nihilisme) ; dans l'autre, Zarathoustra est convalescent et presque guéri, car il comprend le caractère sélectif de l'éternel retour. Deleuze n'a ainsi pas compris que l'éternel retour était sélectif en tant que pensée politique. Le Surhomme [modifier] Le quatrième et dernier aspect de la transmutation est qu'elle implique et produit le Surhomme. L'homme est un être réactif, mais l'éternel

c'est-à-dire des mots pour dire, peut êtretenu pour plus fondamental que de découvrir la vérité dans la mesure où la vérité ne peut être diteque si on a des mots pour cela, que si on a déjà conçu de concepts en lesquels elle pourra êtreexprimée. Cf : Deleuze , Qu’est-ce que la philosophie ?

l’homme ». Ainsi, on vit avec nos désirs qui provoquent peines mais aussi bien-être. Il nous faut profiter de chaque plaisir, chaque instant de bonheur que nous a donné la vie car il pourrait être le dernier. Sinon, nous pourrions le regretter. Deleuze disait dans son Abécédaire : « On ne désire pas quelqu’un ou quelque chose, on désire un ensemble ». L’homme et ses désirs sont liés, on voudrait toujours plus de ce que l’on a. Est-il bon pour nous de ne pas se contenter de ce que l’on a, de « désirer

la pire des oppressions où l’action sera difficile et voir même « impossible », se révèlera alors par la pensée. Alors serait-ce personne ou plutôt chacun qui possèderait le pouvoir ? Mais deuxièmement, pas totalement, comme nous l’a démontré G. Deleuze : « Les minorités et les majorités ne se distinguent pas par le nombre. Une minorité peut-être plus nombreuse qu’une majorité ». Alors comment définir une majorité, dans l’objectif de l’obtention du pouvoir, autrement qu’arithmétiquement ? Grace

phénomène du mimétisme (Girard)).Pour termier cette deuxieme partie, le desir serait alors présenté comme une force créatrice, propre a repousser les limites mais aussi considéré par cetains comme l'origine du réel (critique de la psychanalyse par Deleuze, qui explique que celle ci place le desir dans un theatre de l'illusion alors que le reel n'est pas en défaut par rapport au désir, mais que les désirs sont l'origine du réel) Croire que la volonté suffit a réguler les désirs et a se libérer de

l’on est au plus proche de soi-même. L’allégorie de la caverne de Platon est un des premiers textes à poser de manière complexe une théorie de l’intérieur et de l’extérieur. Cette image est restée support pour de nombreux philosophes, de Kant à Deleuze, afin de réfléchir le rapport entre vérité et illusion. Dans les années cinquante, la découverte des plus anciennes peintures de l’humanité à Lascaux apporte de nouveaux éléments dans le débat. Dans son livre, Les larmes d’Eros, Georges Bataille