Deleuze

qu'elle est encore présente. Ici, la vérité prend la forme d'une blessure psychologique  que l'on peut vouloir refuser. l’homme démontre ainsi qu’au niveau psychologique, il ne cherche pas la vérité à tout prix.  au contraire … Et le texte de Gilles Deleuze sur ce plan est encore plus éloquent : «  Je ne crois pas que l’homme ait naturellement un désir du vrai. Nous ne cherchons la vérité que quand nous sommes déterminés à le faire en fonction d’une situation concrète … (…) Ainsi la philosophie ne parvient

(Lettre XXI à Blyenbergh); ou encore, comme Moïse, qui se le représenta « comme un chef, un législateur, un roi, bien que tous ces attributs n’appartiennent qu’à la seule nature humaine et soient bien éloignés de la divine » (TTP, IV). C'est pourquoi Deleuze dit que l'existence, pour Spinoza, n'est pas un jugement, mais une épreuve, une expérimentation21. Par ailleurs, il convient de noter que, si la Nature est déterminée de façon nécessaire, Spinoza distingue entre autres deux sens du mot « lois »

qu’elle « [ajoute] les unes aux autres des représentation différentes » afin de « saisir leur diversité en une connaissance » (Critique de la Raison Pure, 1ère éd., 77). C’est cette liaison spontanée réalisée par l’entendement dont parlait Kant. Deleuze en commentant ce texte affirmerait même que l’unité du « Je pense serait l’unité de l’entendement même. Les catégories, entendons les concepts dont disposent l’entendement, ne serait que des représentations de l’unité de la conscience ». Notons

personne ne peux m’empêcher de désirer. Le désir est un caractère propre à l’homme impossible à supprimer. De plus, certains désirs me permettent de me « forger » , c’est par lui que je peux me poser véritablement en tant qu’homme. Spinoza et Deleuze affirmaient en effet que le désir représente la puissance positive d’exister et de créer. C’est une production de soi-même en tant qu’être autonome. En outre, malgré le fait que le désir soit source de pauvreté pour l’homme, de manque, Platon souligne

désir n'est pas seulement manque ou souffrance, bien au contraire il engendre pleinement l'être humain, il est son moteur, son essence. « Rien de grand dans le monde ne s'est fait sans passion. » Hegel. Dans la philosophie contemporaine, Gilles Deleuze qualifie le désir comme producteur de vie, de réel. Spinoza, au XVIIIe siècle, voyait déjà dans le désir l'essence de l'homme, il écrit ceci : « Le désir, c'est le mouvement par lequel nous nous efforçons de préserver dans notre être. » En

L’un des critiques les plus importants de sa génération, rédacteur des Cahiers du cinéma avant de diriger les pages cinéma de Libération, Serge Daney est aussi l’un de ceux dont la conscience historique était particulièrement vive. Proche de Gilles Deleuze et de Jean-Luc Godard, il a également fait de la conversation et du voyage une marque distinctive de sa cinéphilie. M2 THE Module 1B. Esthétique et théorie du cinéma (1 cours au choix) Cinéma et Philosophie : l’expérience cinématographique de notre

D’ORLEAC, L. « L’ordre sauvage – violence, dépense et sacré dans l’art des années 1950-1960 », Paris, Gallimard, 2004. CHASSEGUET-SMIRGEL, J. « Le corps comme miroir du monde », Paris, PUF le fil rouge, 2003. DELEUZE, G. (1981), « Francis Bacon logique de la sensation », Paris, Seuil, 2002. FREUD, S. (1919), « L'inquiétante étrangeté », in « L'inquiétante étrangeté et d'autres essais », Paris, Gallimard, 1985. FREUD,

L'alcool de menthe acquiert sa renommée universelle entre 1900 et 1921. Le nom "DE RICQLES" devient et reste toujours synonyme de menthe. En 1962, la société DE RICQLES absorbe la société CAR. En 1921, Pierre Deleuze et Georges Boudinaud créent, à Marseille, la société BOUDINAUD & DELEUZE- REGLISSERIE DE LORETTE, spécialisée dans la fabrication d'articles en réglisse. En 1967, la famille RIEGEL rachète 50 % des parts de la REGLISSERIE de LORETTE qui devient HARIBO France. En 1973, la famille

1740-1744 ; 2e éd., 3 vol., 1749), le syntagme de « science positive » est chez lui explicitement lié à l’histoire naturelle définie comme l’ensemble des sciences positives. La même expression réapparaît dans l’ouvrage de Joseph Philippe François Deleuze, intitulé Eudoxe. Entretiens sur l’étude des sciences, des lettres et de la philosophie  (2 vol.), en 1810, c’est-à-dire cinquante ans plus tard. Sans doute le terme et la notion prendront-ils place, en 1813, dans le Mémoire sur la science de l’homme 

donc celui du mal fait à autrui. Cet élan vital qu’est la volonté de puissance peut mener, s’il est mal compris, à la guerre, à la négation de soi, de l’autre et de la nature humaine dans un dépassement perpétuel. Malgré son désaccord, Daigle cite Deleuze qui, dans Nietzsche et la philosophie (1962), considère l’irresponsabilité comme étant « le plus noble et le plus beau secret de Nietzsche » : « Le produit de la culture n’est pas l’homme qui obéit à la loi, mais l’individu souverain et législateur