Deroulement Du Proces Penal

Introduction « Le droit sans sa preuve n’est rien », car l’existence d’un droit ne suffit pas, il faut encore qu’on le prouve. Tout procès ne devient alors qu’une négation de la notion d’évidence même, puisque par définition, l’évidence s’impose à tous. En d’autres termes, l’argumentation judiciaire est une démonstration du vraisemblable qu’il faudra tenir pour vrai eut égard à la pertinence des éléments de preuve produites par le justiciable. Cette quête du vrai repose pour sa part sur un

prestation objet du litige n’était pas conforme à ce qu’il attendait et demande réparation). Que doit on prouver ? L’objet de la preuve ne porte que sur les éléments contestés par les parties. Dès lors tout argument invoqué par l’une des parties au procès qui n’est pas discuté par son adversaire doit être tenu pour vrai par le juge. Lorsque l’établissement d’un fait est difficile à prouver, la loi a institué des présomptions qui sont les conséquences que la loi ou le juge tire d’un fait connu à un

pourtant il arrive que les juridictions soient sollicitées en dehors de tout litige c’est le cas lorsqu’un individu demande la rectification d’un acte d’état civil on est alors dans une procédure gracieuse et elle se caractérisé par l'absence de tout procès même si il y la saisie d’un juge. La majorité des procédures sont contentieuse. Cette intervention de la justice face à un litige c’est-à-dire cette forme de solution correspond à l’acte de juger. C’est une notion spécifique qui se caractérise

devant les juridictions civiles, des mineurs, ou encore commerciales. Mais c'est en matière pénale qu’il a le rôle le plus important puisque c'est lui qui exerce l'action publique à des fins de protection de l'intérêt général. Il représente la société qu'il est censé protéger. Le procureur de la République est également un agent d'exécution des décisions judiciaires et veille à l'exécution des décisions pénales notamment les peines privatives de libertés. Le MP près la juridiction qui a délivré le titre

2 DROIT PENAL GENERAL Introduction Chapitre 1 : Notions générales I - Définition et objet du droit pénal Définition : le droit pénal a pour objet de prévenir par la menace et au besoin de réprimer par l’application d’une sanction des actes ou omissions de nature à troubler l’ordre social. C’est la société prise au sens large qui se donne le droit de réagir contre les faits graves qui menacent son fonctionnement. Ces faits graves sont sanctionnés par une peine qui va prendre le caractère

part, de manière plus originale, la rémunération des prévenus était ici versée par ces dernières alors que l'infraction est généralement décrite comme une opération à laquelle la victime ne participe pas puisqu'elle en est l'objet (V. J. Amar in JCl. Pénal Code, Art. 225-4-1 à 225-4-9, Fasc. 20, n° 14). Pourtant, le législateur ne précise pas par qui la rémunération est versée et le délit, dans sa rédaction issue de la loi n° 2007-1631 du 20 novembre 2007 (Journal Officiel 21 Novembre 2007), peut être

l'employeur que revient l'initiative d'engager la négociation. L'obligation d'engager la négociation est pénalement sanctionnée comme une entrave au droit syndical (C. trav., art. L. 153-2). La Cour de cassation cantonne le domaine de la sanction pénale à l'obligation d'ouvrir la négociation ; le comportement de l'employeur au cours des discussions, notamment l'absence de proposition, ne peut caractériser le délit (Cass. crim., 4 oct. 1989, no 88-86.163, Bull. crim., no 341 ; voir note J. Savatier

prévu) → branches du droit public Droit constitutionnel : organisation du pouvoir public, du système politique. Droit administratif : rapport entre l’administration et les administrés (tous les rapports juridiques) ex : les conflits, les procès. Droit international public : rapport juridique entre les états. Ex : l’étude de traités internationaux. → branches du droit privé Droit civil : vient du mot « civis » en grec qui signifie « citoyen » = « le droit des citoyens ». Tous

DROIT PENAL Madame Dumont, commerçante de profession, fait l’objet de poursuites pour diverses escroqueries. Récidiviste, elle a déjà été condamnée, à plusieurs reprises par le passé, sur ces mêmes motifs. Le Tribunal Correctionnel de Lyon, pour ses dernières escroqueries, l’a condamné à deux ans d’emprisonnement et 150 000 euros d’amende. Considérant qu’elle est malade et qu’elle ne peut s’empêcher de commettre des infractions

indépendant ; 4) la reconnaissance du rôle déterminant des partis politiques, avec la participation de leurs représentants à toutes les phases importantes du processus électoral (révision des listes électorales ; distribution des cartes d'électeur ; déroulement et dépouillement du scrutin, recensement général des votes). Cette participation, à travers les différentes commissions correspondantes, est à la fois un gage de transparence et un acquis à consolider, voire un facteur favorable à l'enracinement