Descartes Et Rousseau Technologie

la société qui le corrompt selon Rousseau . Expliquez Né au début du siècle des Lumières, Jean Jacques Rousseau fut l’un des premiers écrivains à vivre de sa plume. Célèbre pour ses Académies, Rousseau remettra en cause la modernité. Pour lui, l’homme avant la modernité était à la base en quelque sorte «sauvage», parce qu’il vivait seul et sans normes. L’éloignement des humains à la nature s’est causé majoritairement par le progrès de la technologie. Rousseau témoigne qu’à la base l’homme est

philosophie La philosophie est née en Grèce. A l’origine elle comprenait 3 parties : la rationalité ou la logique, la cosmologie ou la vision du monde et la métaphysique (l’éthique, la politique). Une 4e partie s’ajouta avec l’époque Moderne et Descartes, l’anthropologie philosophique. La 1e partie traitait des conditions nécessaires de la pensée rationnelle. Platon avait fait écrire à l’entrée de son école l’Académie (la 1e de l’histoire), la phrase suivante : « Que nul n’entre ici, s’il

selon Rousseau, est le fait que l'homme est perfectible. En effet, l'homme est libre de ses actes contrairement au animaux qui doivent suivre leurs instincts. En théorie, l'homme possède une meilleur capacité a s'adapter que les autres espèces.Malheureuse, l'homme a choisi librement de se pervertir, notamment la majorité des problématiques de l'homme sont cause principalement par lui même comme par exemple les guerres et la mauvaise repartions des richesse. Avec l’apparition de la technologie,notamment

séparation engendre deux sentiments contraires : La joie de dominer cette nature et de s’en sentir supérieure ou à contrario la nostalgie d’une sorte d’unité perdue dans laquelle l’homme fusionnait avec la nature. Ainsi d’un côté on célèbre la technologie de pointe et l’aube du troisième millénaire, de l’autre on dégage une nostalgie souvent reprise dans la publicité ou dans les films qui évoquent un retour à la nature ou à tout ce qui est naturel pour retrouver de nouvelles valeurs : le culte du

habituent aujourd'hui à voir dans la recherche de la vérité ou d'une connaissance vraie un moyen d'appliquer ces connaissances à une meilleure maîtrise de la nature, voire à une exploitation marchande des travaux scientifiques ( des OGM aux bio-technologies) ; la vérité d'une proposition scientifique ne servirait au fond que des intérêts secondaires (techniques, marchands voire politiques).Mais c'est faire peu de cas de la plurivocité de la vérité et du vrai comme objet de recherche, d'examen, de

se fait-il que nous soyons si avancés dans la technologie par rapport aux animaux? C’est simple, c’est parce que nous pensons à nous améliorer et à simplifier notre vie de tous les jours. Au fond, la seule frontière entre les animaux et nous, c’est notre dimension spirituelle qui est bien et bel là. Il s’agit même de la moitié d’un être humain parce que selon moi, nous sommes composés d’une âme et d’un corps. C’est d’ailleurs ce que croyait Descartes avec le cogito. Il a réussi à prouver le subjectivisme

s’effectue par le biais d’une puissance technologique accrue ; l’habitude de cette puissance pourrait nous empêcher d’imaginer ce qui se passerait si nous devions nous en passer. 3. Argumentation de la thèse et de l'antithèse 3.1. Thèse : la technologie nous libère Le plus souvent, les copies ont assez bien argumenté cette partie. Je passe donc sans m’y appesantir : il était en effet assez simple de montrer que la technique a permis de supprimer les tâches les plus ingrates et les plus dures

considérer comme une idée de l’homme distincte. L’homo faber est un prédateur certes, mais il demeure un animal et par là il est semblable à l’homo sapiens, qui est un animal raisonnable. Dans l’homme machine, tel que Descartes l’a défini, l’animal a été dès l’origine dénaturé. Selon Descartes, c’est la partie animale de l’homme, le corps qui est assimilable à la machine; l’homme tire toute sa dignité d’une âme qui, par sa pensée et sa liberté, échappe aux lois de la mécanique. Un jour viendrait où la

les lois qui en assurent l’ordre intelligible. La nature c’est donc d’abord l’objet d’une intelligibilité à conquérir en mettant en œuvre aussi bien les cadres mathématiques que la méthode expérimentale que le siècle précédent avait inaugurés avec Descartes, Galilée puis Newton. Cependant, dans un siècle de bouillonnement intellectuel et politique où les cadres traditionnels du pouvoir religieux comme du pouvoir politique craquent de toute part, l’idée de nature est en même temps l’outil de la critique

débats par rapport au fait que la technologie pourrait améliorer la condition humaine: au XVIIIe siècle, Voltaire et les encyclopédistes considèrent que le progrès des sciences et des arts conduit l’humanité au bonheur mais Rousseau, dans son Discours sur les sciences et les arts, affirme que le progrès n'aboutit qu'à la corruption des principes de la société. La technique ne peut pas rendre l'homme «maître et possesseur de la nature» comme le souhaitait Descartes. La nature est la limite de l'homme: