Dilemme Fléxibilité Productivité

gains de productivité. On peut alors s'interroger : quels sont les fondements, les sources de ces nouveaux gains de productivité réalisés depuis 10-15 ans ? La première réponse qui vient à l'esprit est la réponse technologique : les technologies de l'information et de la communication (TIC et non pas NTIC, car elle commencent à ne plus être nouvelles!) ont permis, dans l'atelier comme dans les bureaux d'améliorer non seulement la productivité apparente du travail mais aussi la productivité globale

que les syndicats, les charges fiscales ect. Ces déséquilibres expliquent également le phénomène de l’inflation par les couts, par exemple lorsqu’une augmentation des salaires des travailleurs progresse plus rapidement qu’une augmentation de la productivité. La demande est alors supérieur aux quantités produites, comme tous les agents ne pourront pas obtenir ces biens ils vont payer plus chère. L’analyse néo classique va servir de base à la théorie keynésienne, elle part du postulat que la demande

dépôt ou des emplois, de part de marché, de taux de notoriété, etc. Les objectifs doivent toucher les domaines d’activités dans lesquelles les performances et les résultats ont une influence directe sur la survie et la prospérité de la banque, la productivité des ressources, le taux de profit, etc. 2. Choix des clients – cible Eclairé par la segmentation des marchés et guidé par les objectifs précédemment déterminés, le choix des clients cibles consiste à sélectionner des sous groupes de

peut utiliser différents mécanismes selon les départements. Toute entreprise privilégie successivement les différents types de coordination. Section 3 : Les évolutions des structures De nos jours, les entreprises cherchent à augmenter la flexibilité et la réactivité de leur organisation. Pour cela, elles ont tendance à aplanir les structures avec moins de niveaux hiérarchiques en articulant les activités selon une logique horizontale. On voit donc émerger des structures par processus, par

L’environnement légal fournit un corpus de textes législatifs, accordant certains droits et certaines prérogatives aux salariés et au patronat (loi sur l’égalité professionnelle entre hommes et femmes, loi sur la formation professionnelle, loi sur la flexibilité du travail, etc.). c) La conjoncture économique qui, avec une tendance générale à l’expansion, ou au contraire à la récession influe considérablement sur l’évolution des salaires, sur la dynamique générale de promotion. d) Le marché de travail

Faut-il sortir de ce secteur ? –  Si oui, vers lequel s'investir ? DAS Rentier + DAS Passé Atouts 26 La matrice du BCG •  A partir de cette matrice on peut « mettre en scène » le financement des DAS + Vedette Ressources générées Dilemme _ + Besoins de financement Equilibre de liquidités Ou excédent Besoin de liquidités Vache à lait Surplus de liquidités Poids mort Equilibre de liquidités Ou besoin net _ 27 Les 3 stratégies possibles Les matrices des portefeuilles

empirique et théorique des motifs de recours aux contrats à durée déterminée (CDD) par les entreprises et les caractéristiques des salariés qui occupent ces emplois. Les faits stylisés répertoriés sont issus de l’analyse des données de l’enquête Acemo flexibilité de 1999 et de l’enquête Emploi sur la période 1990 à 2001. Les CDD, bien que minoritaires en termes de stock, sont utilisés par la très grande majorité des entreprises. Ils jouent un rôle multidimensionnel dans la gestion de la maind’œuvre, dans

plus faible des pays de l’OCDE 7,7%) tandis que le suédois est très élevé (77,6%). Le taux en France est très bas parce qu’on considère que les syndicats ne sont pas assez efficaces et depuis 1980 il ne cesse de baisser ; ceci s’explique par la flexibilité du travail où les entreprises on un pouvoir de négociation très élevé. Page 51 En France les salaires bruts annuels sont les plus élevés raison pour laquelle par exemple Renault construit ses voitures en Roumanie où le coût du travail est relativement

arguments sont relation directe avec l’achèvement dans le long terme du plein emploi. Une fois que les forces productives sont au maximum de capacité, seulement une amélioration dans la productivité pourrait améliorer les coûts, et finalement éviter une monté des prix. Pourtant, les taux d’augmentation de productivité ne sont pas assez forts pour affronter la pression de demande, donc cette pression va être transmise aux prix. Aujourd’hui on trouve dans les études empiriques comme chez De Growe P

avantage concurrentiel significatif, durable et défendable. La stratégie ne consiste donc pas seulement à s’adapter à l’environnement ou à subir des contraintes sectorielles. SUITE… L’avantage concurrentiel repose alors sur la réactivité, la flexibilité et la faculté de l’entreprise à se transformer pour se développer. Les stratégies de croissance. . Une entreprise, lorsqu’elle suit une logique de croissance doit décider de