Discours Direct Indirect Indirect Libre

inspiré par des faits réels, l’affaire Delmare (à développer sur deux lignes en cas de questions). Flaubert s’inspire de la vie et de ses vicissitudes pour créer son chef d’œuvres réalistes. Cet ouvrage décrit la vie d’Emma Bovary, qui rêve d’une vie libre, comme celle des courtisans, qui elle se retrouve très vite déçue par son mariage, la déception la prends souvent en raison de son mari dénué de caractère de d’intérêt, qui plus est apparaît comme médiocre à ses yeux. Elle décida d’accepter de se lier

Dans ce texte, nous assistons à la montée de l’ivresse en Gervaise. L’extrait est au discours indirect libre afin d’observer les conséquences physiologiques et morales de l’alcool. 1-Les valeurs du style indirect libre La progression du texte est chronologique. Zola nous montre au fil du texte, l’évolution de Gervaise, au fur et à mesure des verres qu’elle boit. Nous suivons les différentes phases de l’ivresse. A- La rêverie de Gervaise Dans un premier temps, Gervaise cherche à s’auto persuader

le corpus sont absorber par leur pensées, comme le montre l'utilisation du point de vue interne dans les 3 textes : « elle ne souhaitait pas » l.27 ; « elle sentait » l.9 ; « elle se croyait » l.14. Cet argument est aussi justifié par le discours indirect libre : « Oui, c'était fini d'attendre » l.8 ; « Ah ! L'écarter une fois pour toute et à jamais ! ». On peut aussi relever que les trois héroïnes sont prisonnières de l'ennuie et de leur rôle d'observatrices, comme le prouve l'omniprésence

propose à travers la réflexion du personnage l’explication et la compréhension de son besoin de tuer. Nous étudierons dans un premier temps l’importance du discours indirect libre, puis la description de la « bête humaine ». Enfin, nous verrons en quoi ce passage peut être considérer comme la construction d’une saga. I – Le discours indirect libre A – Les marques 1. le contexte énonciatif A l’ouverture du passage, les sanglots, le repli sur soi ouvrent l’espace d’une réflexion intérieure

«Alors/lui parti » ... Elles s'articulent autour de la présence ou absence de l'aumônier. Opposition entre l'homme face à autrui ou face à lui-même. Dans un premier temps, révolte très vivante, grâce au Discours indirect libre qui fait entendre la voix même de Meursault. Oralité presque théâtrale du discours. On a un net effet de réel. ... Puis passage à la paix. Noter les champs lexicaux (révolte partie 1 / paix partie 2) 2)  - Meursault s'affirme comme un homme dans ce mouvement de découverte de

efforts (Etude du premier paragraphe) -          Prouver que le texte nous fait entrer dans l’esprit perturbé de Jacques : Après première phrase narrative, point de vue omniscient, très long passage en point de vue interne de Jacques : discours indirect libre qui permet au lecteur de pénétrer dans l’agitation de ses pensées. Ponctuation expressive : exclamatives, juron, répétition de mots qui traduisent le trouble. Entrecoupé par quelques retours du narrateur externe pour décrire les postures

Fiche méthode le discours rapporté Toute production écrite ou orale est un discours produit par un locuteur. Toutefois rares sont les discours totalement dépourvut d’intervention d’autres locuteur. Ainsi un récit rapporte les paroles des personnages par des dialogues, des monologues etc. on parle alors de discours rapporté. Les différent types de discours. -le discours direct:inclusion d’une énonciation (discours citant) dans une autre énonciation (discours cité) -chacun des deux garde c’est

« dire » dans le 1er paragraphe) présensce simultané de plusieurs énociatieurs amenant des points de vue différents (p.ex. pronoms « il » dans le 1er paragraphe et pronoms « je » lignes 32-37) discours diversifié : monologues interieurs (p.ex. 32-37) discours indirect (p.ex. 17-24, 39-46) discours indirect libre (lignes : 6-8, 11, 13-15, 29, 54) 6. le deuxième axe c’est- La première rencontre a) Quelles sont les circonstances de la rencontre dans ce texte? Où est quand ils se sont rencontrés?

dattes "mardi 29 mai" , "dans 3 jours" , "aujourd'hui" , "le premier juin" qui montre ainsi l'impatience et la hâte du personnage qui marque ainsi la joie d'accéder a un échelon supérieur. Son contentement s'exprime encore par la phrase du discours indirect libre "oui , c'était lui , c'était bien lui ce Deume là" où on constate qu'il y a une répétition pour exprimer sa façon d'être ravi , c'est pourquoi l'on peut citer deux autres répétitions "premier juin" (l.7et10) mais aussi "dans trois jours"

l'attention portée au pied de l'arbre à la terre dans laquelle il est planté. -lignes 31-46 : tentative de résorber l’énigme par un discours explicatif. 2. Deux éléments soulignent alors le caractère énigmatique du décor : la couleur de la terre dans le 2e paragraphe, et un tesson de grès dans le 3e paragraphe. La terre « sombre, grasse, presque noire » ne correspond pas à celle qu’il