Division Horizontale Et Verticale Du Pouvoir

effets qu'elle a sur l'augmentation de la productivité du travail. Adam Smith a été l'un des premiers économistes à montrer l'importance de l'organisation du travail : en étudiant le fonctionnement d'une manufacture d'épingles, il a établi que la division du travail (subdivision les tâches et spécialisation des travailleurs) était source de gains de productivité. Grâce à une productivité du travail plus forte, on peut produire en plus grande quantité et réaliser des économies d'échelle. C'est sur

croissance du pouvoir d’achat) permettant l’intégration sociale. Diapo 5 La présentation du fordisme C’est un mode d’organisation du travail inventé par Henry Ford, fondateur de l’entreprise Ford. Inspiré d’une autre organisation du travail : le taylorisme ou organisation scientifique du travail (OST). Taylorisme : une prolongation et une amélioration de la division du travail. Le principe est d’accroitre la productivité des usines avec une double division (verticale et horizontale). L e but

là qu'intervient le concept de valeur. A l'origine dans les sociétés primitives calculer ce temps de travail n'était pas nécessaire mais avec le développement des échanges il fallait comparer des objets différents (valeur d'usage différente) pour pouvoir échanger. Le seul point commun existant entre ces objets c'était le temps de travail qu'il a fallu dépenser pour le produire. La mesure existait et on l'a appliquée. La valeur est réalité de la production. On produit une chemise en 3 heures et un

Hierarchies. Williamson (1985): The Economic Institutions of Capitalism, courant néoinstitutionnaliste, complexité de l'environnement et facteurs humains (opportunisme) comme source des coûts de transaction, actifs spécifiques, applications (intégration verticale, firmes multinationales), Arrow (1974). La théorie des droits de propriété et des contrats incomplets A retenir : définition des contrats incomplets, Alchian et Demsetz (1972), Grossman and Hart (1986), droit de contrôle résiduel, bénéfice résiduel

| |Division horizontale du travail : décomposition des tâches, multiplication des opérations élémentaires regroupées | |par poste de travail en séquences de quelques minutes (3 à 5 en moyenne), | |Division verticale du travail : l'ingénieur conçoit et planifie, le contremaître contrôle et l’ouvrier

associant production de masse, gains de productivité par division du travail et la consommation de masse par stabilisation de la demande. Principes du Fordisme : Division du travail : verticale, c’est à dire une séparation entre la conception (réalisée par les cols blancs: concepteurs, ingénieurs qui imaginent des produits) et réalisation (réalisée par les cols bleus, qui fabriquent le produit précédemment conçu). Elle est aussi horizontale, avec une parcellisation des taches en apparition de

stratégie est considérée comme processus émergent. Les processus d’élaboration et de mise en œuvre de la stratégie ne sont pas séparés (contrairement aux écoles de la conception ou de la planification). La stratégie se construit en marchant. Ecole du pouvoir (Cyert et March…) : Elaboration de la stratégie comme processus de négociation. Ecole culturelle (Pettigrew, Starbuck, Penrose…) : Elaboration de la stratégie comme processus collectif. Les membres de l’entreprise partagent une interprétation commune

| |3. Stratégie et saisie des opportunités | |4. Pouvoir et gestion des zones d’incertitude | |5. Le système d’action réel (SAR)

Groupes et leadership Maslow Herzberg Motivation et management Mc Gregor Argyris Apprentissage organisationnel Likert limites Woodward & Perrow Chandler Burns & Stalker Le management participatif division verticale : distingue concepteur et éxécutants Division horizontale : parcellisation du travail "One best Way" Un travail contrôlé : contremaitre Salaire au rendement : garantir la productivité et motivé le salarié Introduit le travail à la chaîne Standardisation de la production

 Les collectivités territoriales (ou les groupements de collectivités territoriales) :
 Elles peuvent se doter d’un service archéologique, organisé et financé par elles-mêmes mais soumis au contrôle scientifique et technique de l’Etat.
 Pour pouvoir réaliser des opérations de diagnostic (sur leur territoire) et des opérations de fouille archéologique (sur l’ensemble du territoire français), les services archéologiques des collectivités doivent avoir été préalablement agréés par les ministères