Décentralisation Conclusion

France est engagée dans un mouvement de décentralisation résolu qui a modernisé notre pays''. Marylise Lebranchu, Extrait de ''l' exposé des motifs'', Projet de loi portant nouvelle organisation territoriale de la République, La Révolution française impose la centralisation. Sous la présidence de François Mitterrand le ministre de l'Intérieur et de la Décentralisation, Gaston Defferre, est en charge de préparer la grande réforme de la décentralisation. Sur le portail du citoyen1

 Thème 1 : LA DECENTRALISATION Section I : La décentralisation La décentralisation est un système d’administration consistant à permettre à une collectivité humaine (décentralisation territoriale) ou à un service (décentralisation technique) de s’administrer eux-mêmes sous le contrôle de l’Etat en les dotant de la personnalité juridique, d’autorité propre et de ressources. La décentralisation implique 3 choses : La personnalité juridique propre : les collectivités sont des personnes

responsabilités professionnelles et sociales ». L’article premier de la constitution de 1958 admet le processus de décentralisation. La décentralisation peut se définir comme : « un transfert des compétences administratives au profit d'autres personnes publiques tel que les collectivités territoriales.». Il est important de distinguer la décentralisation de la déconcentration, en effet la décentralisation est un transfert de pouvoir de l’état vers une personne morale alors que la déconcentration est un transfert

assurer la sécurité de la commune, l'Etat peut intervenir. L'Etat n'est donc décentralisé que depuis 1982 avec la libre administration qui a entrainé la fin de l'Etat unitaire et centralisé. Cependant, il convient de se garder de tirer une conclusion trop hâtive de l’intitulé de la loi de 1982, en affirmant qu’une tutelle légère s’est substituée à une tutelle pesante. En effet, la loi n’a fait que prolonger l’évolution antérieure dans le sens d’une limitation du contrôle de tutelle, mais en

TD droit constitutionnel ! ! ! ! 29/09/2014 l'Etat  fédéralisme  et  l'Etat  décentralisa1on.     Introduc1on  :      par%r  d'un  fait  d'actualité  :  par  exemple,  le  gel  actuel  du  processus  de  Ma%gnon  sur  la  Corse  en   France.  Ce  gel  s'explique  en  par%e  par  certains     -­‐ désaccords  :      au  sein  de  la  majorité

unitaire et longtemps centralisé. Mais les évolutions récentes vers une décentralisation croissante semblent remettre en question ce principe.  D’un point de vue historique et juridique, le principe d’indivisibilité de la République est la base constitutionnelle de l’Etat unitaire. L’article premier de la constitution de 1791 dispose : « le Royaume est un et indivisible ». Cependant, les récentes évolutions en matière de décentralisation témoignent d’un assouplissement de la conception du principe d’indivisibilité

leurs pouvoirs et de leurs contrôles. Pour finir, chaque pays a adopté un type d’administration publique. Cela veut dire que l’auteur découpe l’administration publique en trois partis que sont la centralisation, la déconcentration ainsi que la décentralisation. L’auteur aborde de manière concrète ce qui constitue en quelque sorte la base de l’administration publique. Cette base est surnommée le droit administratif dans lequel celui-ci définit de manière directe en quoi consiste l’administration publique

 I. L'Etat unitaire  A. Etat unitaire simple (déconcentration, décentralisation)  B. l'Etat unitaire complexe (union incorporée, régionalisme)  II. L'Etat composé  A. l'Union d'Etats (confédération)  B. l'Etat fédéral (E.U.)  Les confédérations d'Etats Les confédérations d'Etats sont des associations politico-juridique d'Etats souverains. But? Maintenir leur sécurité par rapport aux éventuelles agressions extérieures, préserver la paix dans leur relation. Comment? en confiant quelques

qui a hérité du plus important transfert de compétences de l’état : personnes âgées, insertion, handicap, accueil et entretien des collèges, carte scolaire, routes nationales, ports, etc. Les nouvelles missions transférées par l’acte II de la décentralisation renforcent considérablement le rôle pivot du Conseil Général comme échelon décentralisé de la République. Malgré le très important fardeau financier que ces nouvelles compétences génèrent, le Conseil Général doit ménager sa capacité d’initiative

convention sur les langues régionales : conseil constitutionnel a dit que c'est contraire à la constitution et donc on a pas ratifié la charte. On se heurte à un vieux fond jacobin, on touche au fondement de la république. Introduire le terme de décentralisation organisée pose un problème à la vie politique. (différent de girondins = les régions ont un pouvoir, un choix politique). A. L’État unitaire centralisé L’État unitaire parfaitement centralisé a été mis en place par Napoléon 1er : toutes