Décision N 81 132 Dc Du 16 Janvier 1982

messageries de la presse parisienne (NMPP) Membre du groupe de réflexion sur l’évolution des barêmes aux NMPP Bureau : Editions Dipa Burda SAS 26, avenue de l’Europe, 67013 STRASBOURG CEDEX Tél. : 03 88 19 25 32 - STD 03 88 19 25 25 - Fax : 03 88 62 16 46 Adresse électronique : karcher@burda.com ARCHET Pierre (M.) - Né le 17 Juin 1966, à Carcassonne (Aude) Directeur délégué de Tarn Médias, société éditrice de l’hedomadaire régional "Le Journal d’ici" et du magazine trimestriel "Plantes et Nature"

Verantwortung, Greno, Nördlingen, 1987 Le Risque technologique majeur Politique, risque et processus de développement, Pergamon Press, Coll. « Futuribles », Paris, 1981 Major Technological Risk. An Assessment of Industrial Disasters, Pergamon Press, Oxford, 1982. Etats d'urgence Défaillances technologiques et déstabilisation sociale Le Seuil, Coll. « Science ouverte», Paris, 1988. States of Emergency - Technological Failures and Social Destabilization Butterworth-Heinemann, London, 1990 SOMMAIRE Remerciements

d’autre part. Très schématiquement, trois systèmes coexistent. Aux ÉtatsUnis, exemple du premier système, les fonctions d’instruction et de décision sont séparées : dans l’Union européenne les fonctions d’instruction et de décision restent aux mains d’une même institution, la Commission européenne, et enfin, en France, les fonctions d’instruction et de décision sont regroupées au sein d’une même institution, mais celle-ci dépend du registre d’intervention. Il est difficile de porter un jugement global

ENTITES CHARGEES D’ENREGISTRER L’OPERATION....................................................................... 55 II.15 MODALITE DE REGLEMENT / LIVRAISON ............................................................................................ 55 II.16 RESTITUTION DU RELIQUAT AU CLIENT ............................................................................................. 56 II.17 MODALITES DE PUBLICATION DES RESULTATS DE L’OPERATION ................................................. 56 II.18

ce régime est un régime de droit public à l’évidence. Par exemple, le recours au contrat est obligatoire, et les litiges de ce contrat devront être porté devant le ministre. Dans ce cas, le contrat est nécessairement administratif. CE Section 19 janvier 1973 Société d’exploitation de la rivière du Sent. Cette hypothèse est assez rare, c’est une extension de l’idée d’un droit qui s’appliquerait au contrat mais échapperait au droit privé. En matière de contrat, le CE va considérer dans un premier

collectivités territoriales et leurs groupements 1.4.3.2. Les établissements publics 1.4.3.3. Les groupements d'intérêt public 1.4.3.4. Personnes morales diverses 69 70 71 73 73 74 81 90 95 97 1.5. LA CLASSIFICATION DES DROITS SUBJECTIFS ET DES OBLIGATIONS 1.5.1. Les sources communes aux droits et aux obligations 1.5.1.1. Les décisions juridictionnelles passées en force de chose jugée 1.5.1.2. La loi et les actes juridiques 1.5.1.2.1. Les actes administratifs unilatéraux 1.5.1.2.2. L'acte juridique unilatéral

d'autre part. On enseigne parfois que la faute réside dans un abus du droit de rompre les pourparlers[15]. Aussi a-t-on tendance à affirmer qu'une rupture motivée par une intention de nuire ou sans justification légitime constitue une rupture fautive[16] Certes, la faute est assurément caractérisée lorsque l'intention maligne de l'auteur de la rupture est établie. Mais les tribunaux retiennent souvent la faute en soulignant simplement la légèreté ou la négligence de l'auteur de la rupture. Par

reconnues les régions, collectivités locales non seulement héritées des anciennes provinces mais surtout mieux adaptées, par leur taille, aux enjeux de l’action publique. C’est assez dire, également, combien fut importante, dans l’histoire des idées, la décision prise, en 1981, de donner une impulsion décisive à la décentralisation engagée dans le courant des années 1970. Que cette initiative, qui n’avait guère été souhaitée, sur cette partie de l’échiquier politique, que par les tenants de la « deuxième

administration à fournir des explications. Il peut même considérer que le silence de l’administration va jouer à sa défaveur. Il y a donc un renversement de la charge de la preuve. Ainsi, dans un arrêt de 1954 dit BAREL du 28 mai, et dans une décision du 26 janvier 1968 arrêt JENESTAL, le juge administratif énonce que « le refus de l’administration de s’expliquer, équivaut à un aveu ». Et dans un arrêt du 27 octobre 1965, ministère de l’éducation nationale, le juge considère que lorsqu’il y a des indices

l'ouverture et la fermeture des écrans publicitaires de la chaîne Antenne 2. Le 7 mai 1976, il a déposé à la Sacem cinq secondes de musique sous le titre « A Deux ». Ce morceau de musique a été exploité par Antenne 2, puis par France 2 de mai 1976 à janvier 1984. Courant 1983, France 2 a demandé à M. Boyer de composer un nouvel arrangement sur le même thème musical qui a été diffusé de février 1984 à octobre 1990. Ce jingle, très connu du grand public du fait de la nature de son utilisation a été repris