Déterminisme Hasard Finalité

l’histoire d’une femme qui devient écrivain, il lui a fallu 50 ans pour prendre la plume, elle a eu besoin de vivre une enfance et une adolescence hors du commun. * Technique romanesque : Marianne doit envoyer son récit à une amie ; double finalité : - satisfaire l’attention du public. - existence d’une destinataire présumée connue qui pousse l’épistolière en mal de style à solliciter un jugement. Le meilleur des styles serait la conversation. Le livre se laisse lire comme un échange

actions, alors ils en sont responsables, dans la mesure où ils auraient pu influer sur le processus dans lequel ils se sont conduits eux-mêmes vers le crime, tout en prétendant n’y avoir joué aucun rôle. [// Mauvaise foi chez Sartre]. La finalité chez F.Jacob[…] La finalité qui caractérise beaucoup d’activités humaines a longtemps servi de modèle universel pour expliquer tout ce qui, dans la nature, paraît orienté vers un but. C’est le cas notamment des êtres vivants dont toutes les structures, les propriétés

l’extérieur, une constitution politique parfaite, car c’est la seule façon pour elle de pouvoir développer complètement en l’humanité toutes ses dispositions. Kant, grand philosophe du XVIII ème siècle, définit comme beaucoup d’autres penseurs, une finalité à l’existence humaine. En effet, selon lui, l’homme ne peut se réaliser pleinement, c’est-à-dire développer au maximum ses capacités, que dans la société (un regroupement d’individus, structuré par des liens de dépendance réciproque, mais souvent

sur les conséquences de nos actes et les retombées futures de nos décisions présentes, face à un avenir partiellement immaîtrisable et indéterminé. Nous pourrions même envisager qu’il renvoie à une capacité de réfléchir au sens, à l’origine et aux finalités de notre être-au-monde, autrement dit à une certaine forme de sagesse. Peut-on réellement attendre tout ceci de la part des sciences modernes ? Et n’est-ce pas contradictoire avec les exigences et les limites propres qu’elles se sont fixées ? Ou

du vivant, l’explication « mécaniste » ou « matérialiste » parvient, pour une bonne part à présent, à rendre compte de la finalité grace à l’ADN et la notion de « programme ».  La biologie en vient à conclure que tout le phénomène du vivant se réduit à une « même machinerie chimique », et que matière inerte et matière vivante relèvent d’une même matière ( J. Monod, Le Hasard et la nécessité ). c)      possibilité de la réduction de l’esprit au corps : Cependant, le phénomène de la « pensée », qui

Durkheim établit d’abord que finalité n’est pas causalité. « La plupart des sociologues croient avoir rendu compte des phénomènes une fois qu’ils ont fait voir à quoi ils servent, quels rôles ils jouent. On raisonne comme s’ils n’existaient qu’en vue de ce rôle et n’avaient d’autre cause déterminante que le sentiment, clair ou confus, des services qu’ils sont appelés à rendre » (Les Règles de la méthode sociologique, 1895). Or, il ne suffit pas de postuler l’existence d’une finalité commune à tous les hommes

faut interroger les gens, et se contenter de témoignages et d’indices. Pour qu’il y ait histoire, remarque Cournot[1], il faut être à mi-chemin entre la nécessité et le hasard. Si la nécessité régnait, comme dans les phénomènes naturels, il ne s’agirait pas d’histoire mais de science. Mais si l’histoire n’était faite que de hasards, comme à la loterie, il ne pourrait pas y avoir de discipline historique du tout[2]. Max Weber apporte un élément important à l’épistémologie de l’histoire avec sa célèbre

Autrement dit l'histoire n'a aucune finalité éthique ni politique or à l'inverse la tragédie est supérieure à l'histoire parce qu'elle a une portée universelle et parce que la tragédie nous dit et nous raconte l'essence tragique de l'Homme et de l'humanité. L'histoire est une activité et une discipline mineure, extérieure à l'essence et la compréhension de l'Homme. Ce qui sert de modèle à l'Homme c'est la nature. L'être d'une chose, l'essence d'une chose est sa finalité, l'être d'une rose n'est pas d'être

L’esprit humain ne fonctionne que comme un compromis entre le volontaire et l’involontaire ce qui amène à interroger l’idéal moral de la maîtrise de soi dans la mesure où la maîtrise de soi n’implique pas que nous poursuivions nécessairement des finalités bonnes. Beaucoup de philosophes admettent que la mémoire est au centre de notre personnalité et assure la continuité de notre identité personnelle dans le temps : sans la mémoire nous ne pourrions pas relier les différents aspects de notre vie et

vieillard peut donc revivre le plaisir dont il a fait provision durant sa jeunesse. Au jeune homme, la philosophie va apporter la tranquillité face à l’avenir. En effet, le jeune vit l’incertitude de l’ample avenir devant lui, qui comporte une part de hasard. La philosophie va lui permettre de mieux maîtriser le futur. Elle lui apprend à ne craindre ni les dieux, ni la mort, et à maîtriser ses désirs, lui rendant ainsi le bonheur accessible. Le jeune homme devient en quelque sorte "blindé" contre les