Esthétique Monstrueux

ou Sirène » vers 25.  Association amour/mort : strophe 5 : image de l’éphémère, attiré par la lumière mais qui y trouve la mort – métaphore de l’amoureux comparé à un moribond et de la belle à un tombeau au vers 19-20 Argument 3 : il mêle le monstrueux, le gigantisme et l’innocence.  Un être cruel : quatrième strophe : litote vers 14.  Vers 22 : « monstre énorme, effrayant, ingénu » rappelé par « ange ou sirène » vers 25.  L’idée de gigantisme rappelle un poème précédent : « La Géante »

Mme de Staël et chez Chateaubriand échappe à la représentation. Hors des règles, seuls les éléments sublimes de la nature accèdent avec les préromantiques du beau” (ibid.: 53). Entre autres, il reviendra à Victor Hugo de parfaire la révolution esthétique en réintroduisant le grotesque dans l’art. Pour ce faire, il lui faut de modifier le statut du beau. Selon les classiques, seul le beau objectif a droit de cité en poésie car il se rapporte à la raison. Chez Hugo, le beau objectif est incomplet

privilégie le bas sur le haut, le ventre sur l'esprit. Avaler, c'est ressentir une pesanteur qui a à voir avec le cinéma, et son principe même d'enfermement : cadre, champ, ne cessent de rappeler qu'on est à l'intérieur d'un corps, fut-il protéiforme et monstrueux comme celui de l'objectif et de l'écran. La production ita¬lienne ne cesse, depuis le néo-réalisme, de marteler une évidence : l'image est un ventre qu'il faut nourrir comme les personnages qui l'habi¬tent et, simultanément, elle est une plate-forme

que la beauté et dans l'oeil de celui qui regarde et que tous on à se sujet sa propre opinion. il continue par expliquer que pour certain la beauté est extérieur et esthétique, mais pour d'autre elle est intérieur. Il conclue qu'il faut non pas le juger sur son physique mais sur son contenu. Il s'assimile à un livre à l'aspect monstrueux mais tous autant attirants .Malgré cela Rick est conscient qu'on le juge sur son aspect de monstre mais il n'y accorde plus d'importance tous comme le professeur

Le moment de Kant Kant va développer deux sortes de jugements esthétiques : D’abord les jugements de gout ils portent sur la beauté, cette beauté a des formes spatio-temporelle, ici l’expérience de la beauté qu’elle soit naturelle ou artistique, c’est prendre plaisir à la beauté de la chose. Pour Kant la beauté n’est pas une propriété de l’objet mais un jugement de goût qui renvoi à la relation sujet objet sans intermédiaire, ne effet le jugement de goût repose non pas sur des concepts mais

on ne m’opposait que le mépris. N’y avait-il pas là quelque injustice ? ». Mary SHELLEY, Frankenstein ou Le Prométhée moderne, dernier chapitre, Editions Gallimard Folio Plus, Traduit de l’anglais par Paul Couturiau. DOCUMENT 4 MONSTRES (Esthétique) Le monstre, dans l’art, peut être défini comme la création, par l’imagination humaine, d’un « être matériel » que son créateur n’a pas pu rencontrer. Peu importe que ce créateur ait cru ou non à son existence dans une contrée lointaine ou

fin à ce vouloir-vivre, source de tant de douleurs, et à son absurdité : la voie du plaisir esthétique (c’est-à-dire de la « consolation par l’art ») est une première réponse, mais insatisfaisante : « elle ne l’affranchit pas définitivement de la vie, elle ne l’en délivre que pour quelques instants bien courts ». Cette voie « n’est pas encore la voie qui mène hors de la vie. ». La voie du plaisir esthétique doit donc être dépassée, en s’engageant dans la voie morale, voie de la sainteté et de la « résignation »

perte du sens de l ‘existence et génère le sentiment de l’absurde. B/ De l’humain au monstre : un jeu sur le regard Doute sur son humanité : problème de l’intégrité physique confronté à son inhumanité par un jeu sur le regard pour montrer le monstrueux de l’apparence humaine. L 51-64 : il contemple avec horreur sa différence, son physique dans le miroir qui le renvoie à sa monstruosité. Renversement de l’ordre naturel des choses : l’humain, seul et différent ne peut plus être qu’un monstre. Ce

permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le spectateur et de lui inspirer de la pitié pour le sort funeste d’Hippolyte. II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable. Racine utilise des procédés destinés à faire voir l’invisible. L’hypotypose : Cette figure vise

plastique est esthétique. Dans le premier cas, l’inesthétisme peut renvoyer soit à l’absence de certains critères esthétiques attendus, soit être considéré en lui-même, ce qui inviterait alors à penser une possible autonomie du laid, et ainsi à s’interroger sur ce que pourrait être une laideur laide, une œuvre laide. Par contre dans le deuxième cas, on peut se demander « comment ce qui est laid, intrinsèquement laid, peut devenir beau, c’est à dire faire l’objet d’un jugement esthétique favorable