Ethnocentrisme

Cependant, si cette ouverture d’esprit est possible et grandement bénéfique pour chacun d’entre nous et pour la société tout entière, elle ne peut se produire qu’à certaines conditions. Il n’y a pas de recette miracle, il faut laisser de côté son ethnocentrisme et se défaire de ses préjugés. Il faut donc le vouloir et mener une réflexion personnelle. Si je pense que rien ne peut remplacer les sensations et les bienfaits que procure le fait de découvrir un pays par soi-même, je crois que l’art, qui

Lévi-Strauss : Race et histoireQuestions : 20lignes/questions 1. Définissez les termes ou distinctions suivantes : ethnocentrisme / histoire cumulative- histoire stationnaire. 2. Quelle est la manifestation la plus fruste de l’ethnocentrisme ? Quels présupposés sont véhiculés par l’appellation « sauvage », rapportée à un homme ? (Chap. 3) 3. Pourquoi peut-on être conduit à penser qu’il y a

difficile scolarisation des enfants découle d'un ethnocentrisme tant de l'école que de la famille. D'un coté on remarque une certaine crispation identitaire des familles et de l’autre une démarche d’assimilation scolaire. Toutefois il ne faut pas négliger les conditions de vie qui font obstacle à la concordance des attentes entre la famille et l’école, mais sont indépendante de la volonté de ces deux agents. Force est de constater que cet ethnocentrisme contribue à expliquer la déscolarisation des

bonheur simple et traduit aussi ses angoisses. Ce siècle dit des « Lumières » s’interroge sur les fondements de la société dans laquelle ils vivent, il remet en cause certains de ces principes, fustige l’ethnocentrisme. Par ethnocentrisme, on entend un préjugé qui consiste à ne juger une autre culture que par référence à la sienne, sous la forme de projection de jugements de valeur. 2. Les hypothèses connexes Cette vision du « sauvage » permet à ces

sans État ». Il s'agit de groupes sociaux formant une unité, mais qui ne possèdent pas d'organe séparé du pouvoir politique. Dans cette absence de « roi » et de loi, on lit généralement la marque d'un déficit, qui signale surtout, au-delà de tout ethnocentrisme, une difficulté pour notre pensée : si ces sociétés ne s'organisent pas selon la division entre dominants et dominés, comment comprendre cette logique singulière d'un chef sans autorité, d'un pouvoir impuissant, d'une institution sans substance

chaque homme, chaque femme est unique. La norme voudrait des soins identiques pour tous, mais les soins sont individualisés. Il est donc important de respecter cette différence d’un soin individualisé et non normalisé afin de pouvoir aider sans ethnocentrisme[15]. 2. Relation d’aide et empathie Le risque en prenant l’autre en charge est de ne pas avoir conscience que ce n’est pas de lui dont nous prenons soin mais de nous, de notre image de bon saint Bernard, de sauveur et souvent

globale. Elle n’est pas figée et est en constante évolution. c. Les réactions face à l’étranger En contact, des individus de deux cultures différentes ne sont pas automatiquement prêts à accepter et à comprendre la culture de l’autre (ethnocentrisme). C’est ainsi que chacun va construire des généralisations, représentations, préjugés, stéréotypes, clichés soit positifs ou négatifs de la culture de l’autre. 2. Aborder la diversité culturelle sans tomber dans l’ethnocentrisme

en expansion, il y a une notion d’infinité. Pour les DDH, cela signifie qu’ils s’adressent à tout le monde, concernent tout le monde, s’appliquent à tout le monde, car il y a unité du genre humain. Européocentrisme, occidentalocentrisme, ethnocentrisme : Mais leur appropriation n’amène pas la fin de la diversité culturelle. Les DDH sont un nouveau cadre de référence pour la diversité culturelle. Ce sont toujours les DDH qui sont attaqués avec cet argument, jamais l’uniformisation économique

dans le monde. Et, même si rares sont ceux qui croient encore en une « race supérieure », en possession du droit inhérent d’exercer un pouvoir sur ceux considérés « inférieurs », beaucoup continuent de pratiquer le 232 racisme culturel, ou ethnocentrisme. Leur conviction est que certaines cultures, généralement la leur, sont supérieures, ou que les autres cultures, traditions, coutumes et histoires sont incompatibles avec les leurs. Le racisme, quel qu’il soit, est lié au pouvoir. En effet, le

de façon isolée, ne signifie rien. C’est leur combinaison qui permet l'évolution. Chaque génération n’a besoin pour progresser que d’ajouter une épargne au capital légué par les générations antérieures. Il est possible d'interroger notre propre ethnocentrisme en formulant la question suivante : la civilisation occidentale s’est elle montrée plus cumulative que d’autres ? « Deux fois dans son histoire, l’humanité a su accumuler une multiplicité d’inventions orientées dans le même sens […] et qui ont