Ethnocentrisme

l'Homme reçoit par héritage. Seulement, si l'Homme est un être culturel, on ne peut pas le définir par sa culture car la culture est particulière ( non universelle ) et diverses, il y a des cultures qui se contredisent, qui sont en conflit. Ethnocentrisme : l'attitude de celui qui pense qu'il y a qu'une seule culture, la sienne représentante de l'humanité toute entière et juge les autres cultures comme étant hors de la culture de la nature. Montaigne dénonce cette attitude ethnocentrique en

propre culture en norme et à ignorer ou mépriser toutes les autres. Les Indiens d'Amérique du Nord se nommaient " les êtres humains ", considérant que les Blancs ne faisaient pas partie de l'humanité. Les peuples colonisateurs ont fait preuve d'un ethnocentrisme au moins aussi grand ! Dans une société sans école, chaque communauté, chaque sous-ensemble de la société socialise les enfants à sa façon, en leur transmettant sa propre culture et notamment son rapport aux autres communautés. Dans une société

entre des valeurs qui passent pour universelles et des normes relatives, des « opinions », des « usages » qui ne sont nôtres que parce qu’ils sont pratiqués dans « le pays où nous sommes ». Montaigne dénonce ici ce que nous appelons aujourd’hui ETHNOCENTRISME. • L’argument est alors suivi d’exemples où pointe l’ironie, lisible dans la répétition du mot « parfaite » et dans la GRADATION presque hyperbolique du dernier segment : « parfait et accompli usage de toute chose ». • Montaigne aborde ensuite

Chapitre 3 : la parenté Introduction :· Avec la religion, la parenté a été un sujet très prisé par les pères fondateurs de l’anthropologie, qui a suscité un certains  nombres de ruptures et de révolutions disciplinaires.· Objet fondateur de la discipline :· Débats théoriques.· Approche méthodologique : l’enquête de parenté. · Morgan (représentant de l’évolutionnisme) :· Enquête sur les Iroquois : Systèmes dravidiens (père et frères du père = pères pour  l’enfant)

autant en faire une science humaine, non plus que de lui assigner un tel destin. L'anthropocentrisme de Vésale, loin de promouvoir une concrète (mais encore bien lointaine) anthropologie positive, participe au contraire, et pleinement, de cet " ethnocentrisme " (pour reprendre le terme d'André Leroi-Gourhan) propre à la pensée des sciences de la démonstration ou de la nature, et en constituera paradoxalement l'obstacle épistémologique majeur. Continuant de s'abreuver à la source revivifiant de la Grèce

( ». C’est ' pas parce qu’une société est différente politiquement qu’elle n’est pas politique. Il ne faut point nier la réalité politique parce qu’elle est différente ; de ce fait, la politique comparée peut nous guérir d’un certain ethnocentrisme. 2. Il y a une insuffisance des travaux de méthodologie en politique comparée. 3. Il faut une utilisation rigoureuse de la méthode comparative pour résoudre la question. 4. Malgré tous les efforts fournis, il semble impossible de se mettre

endogène : externalités du capital ; progrès technique endogène ; rendements croissants – Ecole de la Régulation : Croissance extensive / intensive ; Fordisme ; Mode de régulation / d'accumulation – Culturaliste : système de valeurs ; ethnocentrisme – Gestion économique de l'environnement : Internalisation des externalités (taxes) ; Etablissement des droits de propriété (marchés des permis) ; Paradoxe de Solow ; Pollueur-payeur ; Rapport Meadows ; Rapport Brundtland – E-Economie

. donnes politiques- conflit Isral/Pays arabes - Tootsies/Hutus - Apartheid - sgrgation raciale les pratiques communes toutes les cultures - chacune se croit parfaite, unique, idale - refus de la diffrence - mpris des autres cultures - ethnocentrisme - refus de lautre - sgrgation - il y aurait des cultures suprieures - idologie racialiste (cf Manuel) II) Mais la diversit des cultures ninduit-elle pas dautres effets - changes - dialogues - mlanges - enrichissement mutuel - effets

pourquoi l'UNESCO a mis en place son programme « Programme Man and Biosphere ». Peut-on vraiment envisager la conservation des habitats naturels sans la coopération de populations locales ou de ceux qui exploitent les ressources naturelles ? 2. Ethnocentrisme Les choses se corsent quand on projette sur des peuples et des individus réels ce fantasme qui hante la culture. Plus un peuple est attaché à ses propres formes, aux dépens de l'esprit, plus il est tenté de rejeter les autres formes dans la

emprunter une de leurs attitudes typiques. Le barbare, c’est d’abord l’homme qui croit à la barbarie. Claude Lévi-Strauss, Race et histoire Ce texte de Lévi-Strauss nous parle de l’ ethnocentrisme (le fait d’être centré sur son propre peuple) qu’on peut définir comme la tendance spontanée à juger les autres cultures en fonction des valeurs propres à notre propre culture. Cela se traduit par le fait de penser spontanément que