Ethnocentrisme

: (« rationnel ») vient du 19ème siècle et se développe sous le nazisme. C’est une théorie de la hiérarchie des races qui conclut à la nécessité de préserver la race dite supérieur de tous croissements et à son droit de dominer les autres.  Ethnocentrisme : Considérer une ethnie supérieure aux autres.  Racisme hiérarchique : considérer que sa race est supérieur à une autre. Cette théorie est illégale, on ne peut prôner la supériorité d’une race. Ce type de racisme peut amener à de la discrimination

tribaux et familiaux les uns aux autres dans une situation de rareté de biens. Le pouvoir, dans ces conditions, est recherché pour le prestige, | | | | |dans la logique de l 'ethnocentrisme généalogique et pour ses capacités prédatrices des biens matériels. L'autoritarisme, qui a besoin de capitaux symboliques pour se | | | | |légitimer, a pour finalité le

dont la cohésion est assurée par la conscience collective d’appartenir à une ethnie et dont l’unité s’appuie en général sur un territoire commun; l’ethnie constitue l’unité culturelle la plus vaste, englobant famille, lignage, clan et tribu. Ethnocentrisme : (ind.) jugement porté sur les autres cultures à partir du seul point de vue de ses valeurs et des normes de son groupe d’appartenance et qui considère toute différence comme une anomalie; les anthropologues ont mis en lumière le caractère universel

sans Etat: P.Clastres amptropologues français, La socièté contre l'état. Dire qu'elles sont des sociètés sans Etat est dire que ces sociètés sont imcomplètes, resté à un stade archaique or avoir selon Clastres cela est faire preuve d'un fond ethnocentrisme. Dans un tel raisonnement on pourrait croire que l'hsitoire va de l'anarchie originelle à la civilisation. Il se trouve que l'état n'est qu'une forme de politique particulière elle renvoit au pouvoir autorité/obéissance fondé sur la force et le

l'héritage africain, afin que l'élite africaine ne soit pas une élite de déracinés. »37(*) Ce retour doit permettre à l'Africain du 21ème siècle de retrouver son identité et sa racine culturelle qui ne doivent pas signifier pour lui contradiction, ethnocentrisme, mais saisie de sa réalité. Libéré de cette psychose dans laquelle il a longtemps vécu, debout et non plus courbé sous le poids de l'impérialisme culturel étranger ; l'homme africain contemplera librement et avec fierté sa raison de vivre. Il

elle génère l’action et permet le développement des règles de vie. Elle indique aux humains comment ils doivent se comporter (agir et être), entre eux et envers ce qui les entoure. Étiologie Étude de l'ensemble des causes d'un phénomène. Ethnocentrisme : attitude de rejet par un peuple de toute culture qui n'est pas la sienne. Xénophobie et racisme en sont des conséquences. Éthologie : science descriptive des moeurs ou des diverses morales pratiquées, sans intervention de jugements d'appréciation

est le fait de penser que les façons de faire de sa propre culture sont les seules valables. Par exemple, « l’esprit de clocher pourrait amener une femme d’affaires américaine à insister pour que tous ses interlocuteurs parlent anglais, et son ethnocentrisme pourrait lui faire estimer que quiconque mange autrement qu’avec une fourchette et un couteau ne sait pas se conduire à table». De plus, les relations sociales se détériorent dans toutes organisations, en effet, il existe des tensions entre les

à travers une double analyse qui permet une totale compréhension de l’émigré-immigré. I. Les trajectoires migratoires : « les deux faces indissociables d’une même réalité » 1. Une rupture avec la « pensée d’Etat » 2. Une rupture avec l’ ethnocentrisme 3. Une rupture avec la conception de l’immigration homogène II. Une « série d’illusions, simulations, dissimulations » collectivement entretenus 1. Le « mensonge collectif » : entre idéal et réalité 2. La dissimulation des contradictions

social de toute société. Mais ce fond d’universalité se double de formes empreintes de particularismes culturels. Dans l’exemple que nous avons présenté, l’élève fait preuve de déférence envers l’enseignant, mais ce dernier, prisonnier de son ethnocentrisme, considère ne pas avoir été traité en fonction de sa position. De son côté, l’élève ressent également l’absence de respect qu’il est en droit d’attendre, se sentant agressé ; il a alors tendance à interpréter la situation à la lumière de ses origines

de construction de la nation Différentes définitions de la citoyenneté, présentation canonique de Marshall avec un point de vue développementaliste, dimension civile de la citoyenneté au XVII, politique au XVIII-XIX et sociale au XIX-XX. Ethnocentrisme de Marshall, avec la citoyenneté en grande Bretagne, sa théorie ne valait pas pour l'Allemagne(avec le stratagème Bismarckien ni pour l'Espagne car la dimension sociale s'est dvp avant la dimension politique de la citoyenneté. Continuum entre