Expose Sur La Ponctuation

conventionnels • La section rythmique – La batterie (le chabada) – La contrebasse (le walkin bass) – Le piano (la ponctuation harmonique) • Les instruments mélodiques – Le saxophone ténor (exposé de la mélodie du thème, contrechant et improvisation) – La voix (exposé du thème avec paroles, improvisation en scat) Déroulement type d’un morceau • Introduction par la section rythmique (8 mesures) • Exposé par la chanteuse de la mélodie avec paroles ( 1 structure ou «grille» de 12 mesures) • 2 ème exposition

et dont il est indigné, expose par là les projets du comte et montre son intention de les contrecarrer. Pls buts et pls intérêts à cette scène : - intérêt psychologique : on découvre en Figaro un personnage sous le coup d’une forte émotion - intérêt dramatique : ses projets constituent l’essentiel de la suite de l’intrigue - intérêt philosophique : la critique sociale l – Intérêt psychologique : A – un personnage fortement ému  1 – Ponctuation : - très gd nbre

énonce un fait, il/elle peut le faire de manière objective, neutre ou en prenant position. Demande- toi si la fonction du document est d'informer, de critiquer, d'émouvoir... ? • les éléments implicites (par exemple : les figures de style, la ponctuation, l'intonation de la voix, la musique, etc.). Quelques fonctions : • informer, sensibiliser : article de journal, reportage, etc. Les éléments utilisés : ton neutre, descriptif, etc. ; • dénoncer : pamphlet, satire, etc. Les éléments utilisés :

78180 Fiche d'évaluation : Épreuve orale FRANÇAIS 1ère 1ère partie : EXPOSÉ de l'élève sur un texte A - Introduction :  présente l'auteur et l'œuvre ( + si possible siècle et mvmt littéraire ) TB AB M I TI B-AB M I TI  situe le texte dans l'œuvre ( si c'est utile ; ou si c'est une oeuvre complète ) B - Lecture :  est fluide et aisée ( volume voix ; articulation mots ; débit ; phonétique )  respecte la ponctuation, les liaisons ; * la versification  est expressive ( = l'élève "met le

souvent plus impression que compréhension, le poète jouant plus sur la sensibilité que sur la raison. Il s’agit souvent d’un condensé d’écriture en peu de mots, qui rassemble une grande quantité d’émotions. Ce condensé d’écriture, sans même de ponctuation comme chez Eluard (absence marquante dans le poème La fin du monde), les phrases sont souvent des successions de phrases nominales sans liens, car elles s’adressent à la sensibilité, à l'émotion, plus qu'à la raison, mais elle se veut convaincante

alors que l’unique survivant chez les Horaces tua successivement tous ses assaillants et donna la Victoire à Rome. Nous étudierons dans la scène V, de l’acte IV où Camille qui était la soeur de l’Horace vainqueur mais aussi la femme du Curiace tué, expose ses larmes et ses remords à son frère qui quant à lui, trouve ça totalement inacceptable et totalement blasphématoire de renier le sens le de l’honneur et son amour pour Rome. C’est donc dans une première partie que définirons ce que représentent

avec les assonances, les allitérations) Comme dans cet exemple d’allitérations en « s » dans le vers d’Andromaque de Racine «Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur nos têtes». La poésie est souvent un condensé d’écriture, sans même de ponctuation comme chez Eluard, les phrases sont souvent des successions de phrases nominales sans liens, car elles s’adressent à la sensibilité, à l'émotion, plus qu'à la raison, mais elle se veut convaincante, persuasive, exprimant des idées sous-jacentes

remarques stylistiques sans analyse. Il faut aussi garder à l’esprit que le récit est un projet : l’auteur du texte veut produire un certain effet chez le lecteur pour créer une réaction particulière dans la suite du récit. Dans le développement, on expose des thèses et des arguments : le commentaire littéraire est aussi une argumentation. Il s’agit de partager des interprétations du texte. Quelques écueils à éviter : construire un plan sur l’opposition fond/forme ; suivre le déroulement du texte

toujours confiant en l'amitié d'Arnolphe, il lui confie Agnès. Arnolphe, “_le nez dans son manteau_” pour qu'Agnès ne le reconnaisse pas, l'entraîne. [Lecture du passage…] I) Agnès dominante A) La leçon d’Agnès (en 3 arguments) La ponctuation forte révèle une situation tendue entre Agnès et Arnolphe =) modalités exclamatives/interrogatives qui créer la colère/dépit d’Arnolphe V1509-1510-1511 vers de manières bien organisées (3 arguments) 1er argument : V1509 =) Corrige le discours

la victime : séducteur est passif, il n'est plus conquérent mais victime. Renversement de libertin à généreux. b) Une argumentation construite Le texte suit 1 progression rigoureuse : - critique de la fidélité - éloge de l'inconstance -exposé de sa statégie emploi hyperbole « cœur à aimer toute la terre ». Discours energique avec « ! » Il fait de l'amour un art de vivre. Scène 2, Acte 3 I ) Un affrontement moral A) Repartition de la parole B) Deux conception en opposition