Extinction Commune Action Publique

droit de la construction et de l’habitation : promoteurs, administrateurs d’immeubles, agents immobiliers, personnels des offices et sociétés d’HLM et des sociétés de crédit immobilier, administrateurs de l’Etat, des régions, des départements et des communes placés à la tête de services de construction ou de gestion immobilière, cadres des sociétés d’économie mixte, assureurs, experts, etc. , 4 ICH Montpellier • Année universitaire 2010 - 2011 n à des juristes de formation et à des membres des professions

parties Le loyer est un élément central du bail, qu’il soit civil ou commercial, et dont la fixation reste l’expression de la volonté des parties. Section 1 : Le principe libéral de fixation Le bailleur et le locataire peuvent convenir, d'un commun accord, de la fixation du montant du loyer qu’il s’agisse d’un bail civil ou commercial[2]. En effet les parties ne subissent aucune contrainte puisque le législateur n’a pas fixé de seuil limite. Cette liberté est consacrée par le D.O.C et les

actionnaires minimum Pas d’intuitu personae Pas besoins d’être commerçants Apport num./Nat. Actions Resp. limitée aux apports Capital minimum : 37 000€ Diriger par un conseil d’administration qui a à sa tête un président du conseil d’administration Ou Directoire + Conseil de surveillanceSAS / SCA (société par actions simplifiées) | Sociétés à resp. limitéeSARL/EURL 2 associés minimum 100 associés maximum Intuitu personae

administration des biens du mineur). * Incapacité : selon que le mineur a au moins ou non 1 parent. Chapitre 1 : L’administration légale des biens du mineur : - Pure et simple : (article 389 du Code Civil) : « Si l'autorité parentale est exercée en commun par les deux parents, ceux-ci sont administrateurs légaux. Dans les autres cas, l'administration légale appartient à celui des parents qui exerce l'autorité parentale ». - Décès de l’un des deux parents : (article 389-2 du Code Civil) : L’administration

présentent un rapport étroit avec un immeuble. Ces droits sont eux-mêmes considérés fictivement comme des immeubles. * Ce sont aussi les droits réels immobiliers : usufruit des choses immobilières, servitudes, hypothèque… * Enfin ce sont aussi les actions immobilières. B) Les meubles Le critère est la mobilité. Ce qui n’est pas immeuble est meuble. Art. 527 CC : « les biens sont meubles par leur nature ou par détermination de la loi ». 1. Meubles par nature Art. 528 CC : « sont meubles

d’où il faut partir et celle du droit réel (sur une chose) et du droit personnel (contre une personne) Section 2 : Relation de personne à chose I-Les types de relations aux choses, divisions du droit et du faitII-Le patrimoine comme ensembleA-Sens commun et construction juridique PATRIMOINE : globalité des choses qui nous appartiennent sur lesquelles répondent nos engagements, c’est un contenant, un ensemble, universalité juridique de droit. Le patrimoine n’est jamais que le reflet de la personnalité

aptitude à se projeter dans le futur. Nous avons justement un instrument juridique qui permet ce projet dans l’avenir, cette maitrise de l’avenir dans des activités actuelles, c’est l’engagement. C’est l’aptitude à promettre son action future et l’aptitude à recevoir son action future. C’est la raison pour laquelle l’obligation, le contrat, est au cœur de tout système juridique : c’est lui qui permet de domestiquer par avance l’avenir. C’est le contrat qui permet l’activité humaine. Capacité d’entrepreneur

immeubles. - Les privilèges de la loi (différents selon qu’ils sont mobiliers ou immobiliers), au contraire des suretés - Sur le terrain de la possession : différent selon bien meuble ou immeuble. On saisit la possession à travers les actions en revendications. - Sur le terrain de la compétence juridictionnelle - En matière fiscale : le régime fiscal de la mutation de proprio est très différent selon bien meuble ou immeuble. La protection du droit par le jeu du formalisme

dahir élaboré sous le protectorat et instaurer un climat de confiance entre les opérateurs économiques. Cependant, parmi les inconvénients de l’ancien code on cite les dispositions de l’article 6 qui indiquent que la femme ne peut être commerçante publique au Maroc sans le consentement de son mari, ces dispositions restrictives à l’activité commerciale ont été dépassé par les dispositions de l’article 17 de l’actuel code de commerce qui laissent entendre que la femme mariée peut exercée le commerce

aux besoins. La première loi est celle du 1er août 2003 loi Dutreuil. Cette loi du 1er août 2003 contient des modifications importantes sur le cautionnement, elle a été introduite dans le code de la consommation. On a deux droits du cautionnement : commun du code civil et celui du code de la consommation. La loi du 26 juillet 2005 réformant les procédures collectives a touché au droit des sûretés. Ce qui devrait être la grande réforme du droit des sûretés est la réforme du code civil par l'ordonnance