Finitude

autres, il vit à partir des autres. La plupart du temps on pense ce que les autres pensent . D’une certaine manière nous n’acceptons pas notre finitude , l’existence de l’Homme est marqué par le fait que nous mourrons tous un jour et que c’est la seule certitude que nous ayons. Le « on » nous permet de nous échapper de notre « je », « je » qui détermine la finitude alors que le « on » est infini. Cependant il existe des pensées que nous ne maîtrisons pas, qui font parti de l’inconscient par laquelle

aveuglé par une vie basée sur l'agitation et l'illusion. l'homme attache de l'importance à des activités futiles et inconséquentes : les honneurs, la richesse et l'argent, le faste et le luxe, le divertissement. Il fuit l'idée de sa mort et de sa finitude dans une course effrénée de divertissements. Mais, il se trompe en recherchant le bonheur dans les soi-disant plaisirs de la vie sensible et terrestre, alors qu'il devrait consacré sa vie à dieu. En effet, si l'homme est misérable c'est parce qu'il

originale et complexe pour s’en sortir : • Si on doit parvenir à la vérité, il faut considérer l’erreur mais • L’homme est naturellement dans l’erreur car il porte en lui l’empreinte du péché originel, expression de son imperfection et de sa finitude. Ainsi, la vérité ne peut se saisir hors de l’erreur qu’elle redresse de l’intérieur. Du coup, avoir une attitude compréhensive à l’égard de ceux qui sont dans l’erreur se manifeste par la charité (amour des autres). La vérité ne peut être appréhendée

ne sont d’ailleurs aucunement dissociables. Sur la nature du poétique juste deux mots, pour introduire à mon souci d’aujourd’hui, la conscience qu’en eut Shakespeare. Ce qu’est la poésie, c’est d’abord le sentiment que la moindre chose en sa finitude essentielle – c’est-à-dire en son être-là devant nous, ici, maintenant – est hors de portée de toute description ou autre saisie que voudrait en faire le simple discours conceptuel : elle lui est transcendante. Et la poésie éprouve d’instinct cette

travail, lien entre consommateurs...) alors on est en pleine abstraction ! En fait, l'acte économique est aussi sociale. Finitude de la volonté subjective : l'agent se propose de modifier un état de chose, de lui donner sa forme à lui ce qui est fini est ce qui s'arrête quelque part. Ce qui rencontre quelque chose au delà de lui. L'entendement chez descartes est fini. Finitude de la volonté : la volonté va toujours à un moment donné va rencontrer quelque chose d'autre qu'elle. Toujours une limite

qu’elle est une pratique idéaliste totale qui n’a plus rien a voir (au-delà d’un certain seuil) avec la satisfaction des besoins ni avec le principe de réalité. » Ainsi, l’homme est le seul à pouvoir désirer. L’animal, enfermé dans sa finitude, sans conscience de sa finitude ne saurait désirer. Les dieux, sont de même enfermés dans leur perfection, ils ne sauraient désirer puisqu’ils ont déjà tout. Donc seule une créature, qui est à la fois mortelle, parce que vivant dans un corps de chair et qui a par

science ; mais le coup génial de Descartes sera de partir non des textes sacrés, de l’orthodoxie mais justement de la conscience. La conscience est le point de départ le plus solide que l’on puisse trouver en partant de notre situation humaine , cette Finitude qui est notre condition initiale de notre être au monde. Remarque : c’est le but du Cogito, et c’est ce geste qui fait que Husserl va bien plus tard faire référence à Descartes. Pour la Phénoménologie, il faut partir de notre rapport au monde et

balayant l’air». Face aux éléments grandioses et déchaînés que sont l’Océan, le vent et le ciel, la terre n’apparaît que très fugitivement par le terme d’«îlot», espace fragile, perdu, réduit encore par le diminutif, symbole aussi de la petitesse, de la finitude de l’être solitaire qui s’y trouve assis. Pour accentuer cette impression, Laforgue utilise trois prépositions de lieu introduisant les trois éléments, «Sous le ciel», «Devant l’Océan», «Dans le concert» : l’individu solitaire semble soumis, écrasé

dit « Dieu de tous les mondes », c'est pour rappeler la grandeur de l'univers qu'on ne peut réduire à notre seule terre : plus l'univers sera infini plus notre terre paraîtra petite. En disant « Dieu de tous les temps », voltaire rappelle ainsi la finitude de l'homme, seul Dieu est éternel et ses lois sont éternelles également, ce qu'Il a décidé ne peut être changé par les hommes car ses « décrets sont immuables comme éternels ». Dieu est immense dans ce qu'il est, dans sa générosité : « toi, qui

représentée ici de manière inhabituelle puisqu'elle nous apparaît comme étant juste. Grâce à des procédés littéraires utilisés par des fabulistes depuis Pétrarque, Jean de la Fontaine parvient ici à faire réfléchir le lecteur sur le sens de la finitude de l'homme. Nous pouvons nous demander en quoi cette fable nous narre-t-elle une vision originale de la mort, et met elle en évidence la peur de l'homme à l'idée d'être mortel ? Tout d’abord nous verrons la personnification de la Mort et la mise