Fondamentalismes Religieux

auxquelles peu ou prou, ils avaient succédé. On ne peut que le constater : non seulement la spiritualité n’a pas disparu, mais elle semble avoir repris une certaine vigueur. On ne saurait se contenter d’évoquer les formes les plus spectaculaires (fondamentalisme, terrorisme...). Des confessions ancestrales (juive, chrétienne, musulmane...) qu’on pensait largement décrédibilisées, reprennent une nouvelle jeunesse. D’autres, jusqu’alors confidentielles en occident, sont devenues à la mode (bouddhisme).

Aujourd’hui encore, sur tous les continents, des jeunes gens s’amusent à ajuster des dreadlocks sur leurs cheveux lisses, ils se disent rastas, fument des joints et chantent les cantiques de Bob Marley sans savoir au fond que ce mouvement religieux est d’un fondamentalisme moral absolu, que la position de la femme y est inchangée depuis la Bible et que rastafari est autant une expérience guerrière qu’une démarche introspective. C’est que Marley, consciemment, s’est servi de son aura d’artiste planétaire

partir de la seconde moitié des années 1980, et à plus forte raison depuis les attentats sur le sol américain du 11 septembre 2001, elle est apparue comme pouvant jouer le rôle de poste avancé dans le lutte contre le terrorisme islamiste et le fondamentalisme musulman. Cependant, soucieuse de conserver ses liens fragiles avec d’autres pays du Moyen-Orient et surtout d’éviter tout trouble à sa frontière irakienne et toute velléité séparatiste des kurdes, la Grande Assemblée nationale a refusé le 1er

telluriques ou cosmiques, on admet volontiers que le droit est médiation ou médiateur et qu’à ce titre, il est nécessairement affecté par la religion. Ce qui, présentement, essentiellement même, nous retient est, à ce sujet, le coefficient religieux. Car, observait récemment un auteur, « c’est, plus encore que d’un des éléments du débat, d’un coefficient qu’il s’agit, autrement dit, s’il faut en croire le dictionnaire, d’un « nombre qui, mis devant une quantité algébrique, en multiplie la

et la remise en question de la vision du monde par l’héliocentrisme. C’est la naissance du baroque où prédomine l’excès, la fantaisie, etc… vers 1660 une attitude morale apparaît. De la naît le style littéraire du classicisme qui est un retour au religieux et à la vision négative de l’humain. Eclairage du texte Agrippa d’Aubigné : C’est un poète passionné et surtout protestant. Il a vécu à la Rochelle car c’est une ville protestante. Il utilise beaucoup de figure de style notamment l’antithèse et

de développement, lorsque les populations s'opposent à l'acculturation et tendent à renforcer leurs traits culturels distinctifs (différenciation culturelle), notamment lorsque cela se traduit par un retour au communautarisme, au fondamentalisme ou à l'intégrisme religieux.... Question 5 : Un produit diffusé mondialement ne perd pas pour autant sa spécificité culturelle car à côté des produits emblématiques de la mondialisation (pizza, jean, basket, soda, musique pop, série et feuilleton télévisés

religions et de philosophies a entamé le monopole de la chrétienté. les barrières douanières intellectuelles sont en grande partie tombées et le combat des libres penseurs n’est plus tourné contre une religion omnipotente unique mais contre tous les fondamentalismes et tous les obscurantismes. Descartes est passé par là et la Raison a fait un certain tri dans les connaissances. L’alchimiste cherchait des vérités occultes au sein d’un monde où les certitudes reposaient sur l’obéissance à la doctrine

toute son acception morale, à savoir que la conscience est la voix du Bien, qu’elle nous conduit à agir selon les normes d’un bon usage. S’en affranchir, ce serait « pécher contre ses propres lumières » ; bien qu’athée, Diderot a recours au langage religieux, mais là où la religion interpelle Dieu, Diderot convoque les lumières de la raison, tablant sur une autonomie du sujet pensant. Enfin, ne pas reconnaître les prérogatives de la raison, ce serait nier la nature profonde de l’homme : « on ne peut

des attentes, des besoins, des passions et dont on se doit d'apaiser par un rituel, est tout à fait autre chose. Sur ce, il est bien plus pertinent pour moi de dire que le sacré est au coeur de l'expérience humaine plutôt que la religion. Le fondamentalisme et l'intégrisme sont des attitudes que nous savons rattacher au sursaut identitaire des religions organisées. Ils ont peu à voir avec un éveil spirituel et beaucoup à voir avec les luttes des identités culturelles de communautés soudés autour

du danger de l'ignorance. En effet, l'ignorance facilite la manipulation par les plus puissants ou les plus savants. Par exemple, c'est souvent à cause de leur manque d'éducation car certains hommes et certaines femmes se tournent vers le fondamentalisme religieux. De plus, l'ignorance peut mettre en danger la santé humaine : pendant longtemps, par manque de savoir, on pratiquait une médecine traditionnelle aux méthodes contestables (par exemple les saignées). Platon oppose ainsi la vérité à la croyance