Gilles Lipovetsky

Jozsef, Libération, 6 juillet 2007............ 10 VI. Fiat dévoile la nouvelle 500 sur la Toile, Marie-Laure Cittanova ................. 11 VII. « Chrysler pourrait assembler des Fiat 500 au Mexique »,.................... 13 VIII. Extrait de Gilles Lipovetsky G, ............................................................... 13 IX. « Analyse des réactions des Italiens et des Français suite à la démarche participative de Fiat concernant la préparation du lancement de la 500 » . 14 X. “Fiat Auto

y a une oppogritude. sition entre l’identité racine d’un coté et l’identité Dénonciation et arme contre le colonialisme. C’est relation. déjà une arme contre la mondialisation. Volonté de promouvoir une culture d’origine Africaine. Texte de Gilles Lipovetsky, sociologue français, «  la En associant les deux, Césaire défend la lutte média- culture monde » (2008). On retrouve une hyper tique, culturelle et politique contre la politique et culture, et ça veut vraiment dire que c’est une culture culture

mieux d'assumer sa liberté que de ne pas le faire. La chasse au bonheur ne l'intéresse pas. La morale de Stendhal paraît plus proche de cet entre deux millénaires dans lequel nous nous trouvons que celle de Sartre. Dans Le Crépuscule du devoir, Gilles Lipovetsky a bien fait le point sur la situation actuelle, du moins pour les sociétés de type occidental. L'expression ' crépuscule du devoir ' désigne la disparition de toutes les morales fondées sur une transcendance. Nous vivons à l'époque de l'individualisme

mettre pour ainsi dire « à sa hauteur », il ne leur suffit pas de focaliser l’attention sur un objet starisé, il leur faut créer des mondes et proposer des expériences intégrées. Cela peut sembler un peu théorique mais il y a de ça. 8 8    24 Gilles Deleuze et Félix Gattari, L’Anti-Œdipe, Éditions de Minuit 1972 25 POURQUOI LE LUXE AIME LES CONTENUS ? POURQUOI LE LUXE AIME LES CONTENUS ? 4. Quels sont les contenus les plus utilisés par les marques de luxe ? DB : Les marques de luxe, pour

est susceptible de générer des 63 Cf. par ex. L. DUMONT, 1983, L. FERRY et A. RENAUT, 1987, N. ÉLIAS, 1991. 64 Le succès que rencontrent les centres de ressources est à relier à cette logique individualiste de « self-service » dont parle G. LIPOVETSKY (1992, p. 159). Et on pourrait appliquer aux méthodologies ce qu’il écrit des religions, et dire : Voici venu l’âge des méthodologies en « kit » finalisées par le moi... 65 La réactivation de ce modèle aurait certainement été beaucoup plus forte

de la civilisation occidentale : histoire judéo-chrétienne, hégélianisme, positivisme, progressisme des Lumières, socialisme et marxisme, évolutionnisme,…qui tous prétendaient conduire l’humanité vers un salut unique et assuré. Par ailleurs, Gilles Lipovetsky définira la postmodernité comme avènement de l’individualisme démocratique (voir article « post-modernité » de Sophie Bilemdjian dans le Dictionnaire de culture générale) . « Dans l’ère du vide, paru en 1983, il soutient que Les démocraties contemporaines

littéraire —, il faut se souvenir que certains historiens des idées ou philosophes associent l’époque contemporaine, nommée postmoderne, avec la fin des idéologies. On pense notamment à Jean-François Lyotard et à la faillite de métarécits ou encore à Gilles Lipovetsky qui, dans ses ouvrages, dessine le portrait d’un individu postmoderne, en proie au syncrétisme, créateur d’une idéologie faite sur mesure — à la mesure de sa seule vision du monde —, conduisant parfois à réunir des causes en apparence contradictoires

changé. Il est devenu une valeur mercantile, qui s’échange, au même titre que toute autre marchandise (J.-F. Lyotard, La condition postmoderne, p. 11). 5 G. Lipovetsky propose de voir dans la prééminence des mass media au sein de la société postmoderne, une des raisons pour lesquelles « l’esprit de système » a fait long feu (voir G. Lipovetsky, L’empire de l’éphémère, Gallimard, Folio Essais, Paris, 1987, p. 269). 6 Voir W. Benjamin, « L’œuvre d’art à l’époque de sa reproduction mécanisée », in

de cinquante ans. L’éditeur perpétue donc cet univers en remplaçant les anciennes images en 2D 1 Propos de Michael Eisner, in : Bob Thomas, De Mickey à la Belle et la Bête, traduit de l’anglais par Michel Patenaude, Disney, 2003, p. 203. 2 Gilles Lipovetsky, Jean Serroy, L’Écran global, Seuil, 2007, p. 329. 18 par les illustrations du long métrage. Pérenniser un univers déjà installé répond donc à un enjeu culturel. Il permet l’appropriation d’un univers ancien par les enfants et une fidélité

telle collaboration : quand la municipalité en place instrumentalise la culture essentiellement en vue d’une stratégie d’image, afin d’affirmer le statut européen de Nantes, elle entre en contradiction avec les exigences de qualité artistique. 17 Gilles Suzanne décortique quant à lui le jeu entre élites politiques et avant-gardes artistiques pour la définition d’un Marseille « cosmopolite ». D’un Marseille de la culture élitiste à un Marseille de la démocratie culturelle, en passant par celui de