Gnathon

exercice classique, qui lui permet de rappeler l’un des idéaux classiques, celui de l’honnête homme (règle morale) à travers un style qui obéit également aux règles classiques t notamment celle de plaire et d’instruire. On peut relier ce texte avec Gnathon de La Bruyère. Il fait également le portrait d’un défaut qui est l’égocentrisme. On peut relier ce texte avec les Fables de la Fontaine. Les deux textes ont des morales, dans la Fontaine elle est explicite et chez la Bruyère elle est laissée au

Texte - Oraux La pension Vauquer L’incipit de l’assommoir Le festin de Gervaise Dom Juan Acte 3 Scène 1 Dom Juan dénouement (Acte 5) Phèdre Acte 1 Scène 3 L’aveu de Phèdre à Hyppolite Acte 2 Scène 5 Le sonnet pour Helene Gnathon La pension Vauquer Introduction * intention que tout soit vrai * symbolique du mon de Paris / annonciatrice de la suite du roman * incipit qui repose sur une figure de prétérition * plan : dimension réaliste/ l’atmosphère décrépite

Séance 6 : explication linéaireTexte 14 : « Le portrait de Pamphile » Premières impressions : - C’est un texte qui prend l’allure un texte fragmentaire avec une succession de juxtaposition de phrases et d’énumération - Description ekphrasis - Critique social du comportement - Le texte est saturé par le personnage central avec le nom propre et ses reprises anaphoriques « il » - Il se nourrie de fréquentation sélective - Un homme pouvoir - La quête du pouvoir passe par la vie social

c'est précisément de ne pas voir la vanité. La Bruyère fait exploser la disproportion entre le paraître et l'être. Ménalque est un fantoche, une marionnette. Et le monde de la Cour est peuplé d'ombres insignifiantes, de fantômes. Ménalque, tout comme Gnathon, étale son arrogance, sa suffisance, sa vanité. Sauf qu'ici, le mimétisme social connaît un ratage. Les codes sociaux sont un trompe-l'œil, un monde vain, une coquille creuse (étymologiquement, vain est issu du latin vanus, ce qui est vide). Le désir

La Grasse Matinée », 1946 Le candidat s’assurera qu’il est en possession du sujet correspondant à sa série. Bac 2007 – Série ES – Français – Métropole www.sujetdebac.fr TEXTE A – Jean de La Bruyère, Les Caractères, « De l’homme » Gnathon ne vit que pour soi, et tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’ils n’étaient point. Non content de remplir à une table la première place, il occupe lui seul celle de deux autres ; il oublie que le repas est pour lui et pour toute la compagnie

Les caractères de La Bruyère, « Gnathon » ---------------------------------- Introduction  Entrée en matière ► XVIIème s → classique (représentation stable du monde) Pouvoir politique fort → Dieu Règles + Raison (mesure) Éduquer + Plaire Exemple d'auteurs : Molière, La fontaine, Perrault, Raçine ► Cet œuvre → étude sur les hommes, observation du cour et des mœurs des hommes Complexité de l'homme → 1 texte = 1 type Problèmatique ► Comment La Bruyère dénonce-t-il

parlé de sujet utile, intéressant et cultivant. De plus, la Bruyère dresse le portrait d’un glouton qui symbolise l’égocentrisme. Mais il dresse aussi l’anti portrait de l’honnête homme. Etant donné que l’honnête homme est élégant, discret et mesuré, Gnathon est donc l’exact contraire de cet idéal. En faisant le portrait de personnage ridicules comme Théodecte, livre V remarque 12, en mettant en lumière des défauts à l’image de la vanité et de l’égoïsme de Narcisse, livre VII remarque 12, en dénonçant

se résumait à “lever le matin n’est pas bonheur, boire matin est meilleur.” en vivant de cette manière, gargantua avait des pratiques ridicules et répugnantes, : “il pissait sur ses soulier, chiait dans sa chemise” ce qui n’est sans nous rappelle gnathon, personnage qui tire son nom du mot grec “gnathos” signifiant la mâchoire, qui se démarque par son égocentrisme et son manque d'hygiène . Le rire dans l'œuvre intégrale du parcours permet aussi à Rabelais de faire satire religieuse et d’introduire

et vous savez que tout ce qui devient commun est peu fêté. » Enfin, après avoir examiné le fort et le faible des sciences, il fut décidé que M. le marquis apprendrait à danser.  ] Jean de La Bruyère (1645-1696), Les Caractères, « De l’homme » Gnathon ne vit que pour soi, et tous les hommes ensemble sont à son égard comme s’ils n’étaient point. Non content de remplir à une table la première place, il occupe lui seul celle de deux autres ; il oublie que le repas est pour lui et pour toute la compagnie ; il

Caractères: Classicisme de l'écriture: élégance de l'honnête homme; clarté et force du propos; aucun excès, aucune gratuité. moralisme: mêmes remarques que pour LF. condamnation sévère de l'excès, de l'absence de normes, de l'inculture de Gnathon. Effroi devant l'émergence d'une nouvelle société, de nouvelles valeurs ( ou "non valeurs") comme l'argent Corneille, Horace: Avec Horace, triomphe de la parole claire et forte, maîtrisée; de la maîtrise des émotions; dépassement