Grotesques

dans les « auberges grises ». Les bohémiens voyagent, ils sont en mouvement perpétuel et sont affranchis des contraintes sociales que Rimbaud trouvaient trop pesantes, tout comme Apollinaire. Verlaine a également repris le thème dans son poème Grotesques, où il met en évidence la réaction de la société face à ces nomades qui vivent libres. Lors de ses premières fugues, Rimbaud se retrouve dans la campagne, loin des contraintes de la ville. Il trouve dans la nature la liberté auquel il aspire.

salle. Et comme si le chanteur n’avait attendu que ce mouvement du public, ou, plus certainement encore, comme si la rumeur venue du parterre l’avait confirmé dans ce qu’il ressentait, il choisit ce moment pour avancer vers la rampe d’une façon grotesque, bras et jambes écartés dans son costume à l’antique, et pour s’écrouler au milieu des bergeries du décor qui n’avaient jamais cessé d’être anachroniques mais qui, aux yeux des spectateurs, le devinrent pour la première fois, et de terrible façon

leur refus de souffrance par l'amour . Maitre Blazius ,maitre Bridaine et dame Pluche sont le clergé avec son revers de moeurs contrastée avec les idées traditionnelles de l'Eglise.Leurs caractéristiques correspondent à la théorie romantique du grotesque . Le choeur représente les villageois (paysans , valet ..).On retrouve souvent ce personnage dans le théâtre . Le personnage jeune et innocent de Rosette, la soeur de lait de Camille, représente la classe paysanne et les femmes sans conditions

mouvement littéraire qui prône de laisser place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. On retrouve le romantisme dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. -Le romantisme

Camille et Perdican sont devenus. Ce sont des personnages qui sont des doubles, tout simplement parce qu’ils renvoient à ceux qu’ils représentent, c’est-à-dire Camille et Perdican. 
 Blazius et Bridaine Ce sont deux personnages grotesques. Mais ce grotesque, au-delà du comique, présente aussi un blâme à travers deux personnages aussi cupides et stupides l’un que l’autre. Ils finissent par représenter la bêtise bourgeoise, de personnages avides et gloutons, et qui veulent paraître plus cultivés

l’auteur ridiculise Adrien Deume.Pour étudier cette problématique, nous aborderons dans un premier temps le portrait d’Adrien Deume, qui est remarquablement grotesque pour ensuite s’appliquer sur l’écriture satirique du passage, renforcé par le portrait précédent. Dans un premier temps, Adrien Deume est dépeint comme un personnage grotesque. Il est très égocentrique: l’omniprésence du pronom personnel “je” impose sa présence lourdement à travers tout le récit. Avec cette répétition de la première

dure plusieurs mois et se passe en divers lieux ». Le mélange des genres Victor Hugo a fait du mélange des genres une obligation absolue car c’est le principe de départ pour instaurer ce qui lui tient le plus à cœur : la fusion du sublime et du grotesque. Cette fusion est omniprésente dans Ruy Blas. Tout peut se lire et se dire en ces termes antithétiques. On peut saisir dans chaque personnage cette dualité contradictoire. Ruy Blas est un laquais qui aspire à la grandeur ; don César a deux noms et

ressentit de la représentation directe ou même de l'exécution est gardé en mémoire mais en l'être qui ne pourras pas trouver les mots pour exprimer cela. Le Butô avec son apparente étrangeté est photogénique : gros plan de visages grimaçants, positions grotesques, corps blanchis d'une neutralité extrème constituent une accumulation de déformations exotiques et parfois inquiétantes. Ces difformités sont, d'une certaine façon, des clichés rassurants. Uchuu Cabaret : « En Japonais, Uchuu veut dire « espace

salle. Et comme si le chanteur n’avait attendu que ce mouvement du public, ou, plus certainement encore, comme si la rumeur venue du parterre l’avait confirmé dans ce qu’il ressentait, il choisit ce moment pour avancer vers la rampe d’une façon grotesque, bras et jambes écartés dans son costume à l’antique, et pour s’écrouler au milieu des bergeries du décor qui n’avaient jamais cessé d’être anachroniques mais qui, aux yeux des spectateurs, le devinrent pour la première fois, et de terrible façon

rationnelle du mélange des genres : l'homme, en vivant cette dualité, ne peut en effet se contenter du sublime: il veut aussi du grotesque. C'est par exemple le sublime de la cathédrale Notre-Dame de Paris abritant le grotesque du personnage de Quasimodo. Dès lors, pour Hugo, la séparation des genres comiques et tragique ne se justifie pas : le drame doit mêler le grotesque et le sublime car "tout ce qui est dans la nature est dans l'art." De même, les unités de temps et de lieu n'ont pas de raison