Gérard Genette Mimesis

fantomatique, câliner mais cajoler, jeûner mais déjeuner, drôle mais drolatique... L’accent circonflexe sur le e se prononce comme un ë. Exemples: alêne, apprêt, baptême ; benêt (toujours masc.), carême, dépêche, enquête, fenêtre, forêt, frêne, gêne, genêt (arbrisseau), grêle, guêpe, hêtre (arbre), intérêt, pêche (le fruit), pêcher (du poisson), pêcheur (celui qui attrape du poisson donnant pêcheuse au féminin), pêne, pimbêche (tjs. fém.), poêle, quête, rêne (guide, souvent au pl.), ; salpêtre, tempête

: une intonation, une démarche, un geste parfois suffisent pour que les mots du texte prennent une profondeur que nous n’avions pas perçue à la lecture. Combien de grands comédiens resteront à jamais associés aux personnages qu’ils ont incarnés : Gérard Philippe inoubliable Cid, merveilleux prince de Hombourg, époustouflant Caligula... Michel Bouquet, émouvant Bérenger Ier , dans Le roi se meurt de Ionesco, dans la mise en scène de Georges Werler, rôle qu’il affectionne particulièrement et dans laquelle

lumineux : une intonation, une démarche, un geste parfois suffisent pour que les mots du texte prennent une profondeur que nous n’avions pas perçue à la lecture. Combien de grands comédiens resteront à jamais associés aux personnages qu’ils ont incarnés : Gérard Philippe inoubliable Cid, merveilleux prince de Hombourg, époustouflant Caligula... Michel Bouquet, émouvant Bérenger Ier , dans Le roi se meurt de Ionesco, dans la mise en scène de Georges Werler, rôle qu’il affectionne particulièrement et dans laquelle

: une intonation, une démarche, un geste parfois suffisent pour que les mots du texte prennent une profondeur que nous n’avions pas perçue à la lecture. Combien de grands comédiens resteront à jamais associés aux personnages qu’ils ont incarnés : Gérard Philippe inoubliable Cid, merveilleux prince de Hombourg, époustouflant Caligula... Michel Bouquet, émouvant Bérenger Ier , dans Le roi se meurt de Ionesco, dans la mise en scène de Georges Werler, rôle qu’il affectionne particulièrement et dans laquelle

mots et hyperboles constantes dans la scène de Musset. => personnages plus stéréotypés et influence de la farce chez Musset. Prolongement : analyser la photographie de mise en scène ➜  p. 54. Identifier les personnages présents, expliquer pourquoi Gérard Philipe porte un masque et rédiger la biographie de Jean Vilar. Texte 2 Molière, Les Fourberies de Scapin ➜  p. 56 Objectif : Analyser une scène représentative de l’influence persistante de la farce sur certaines comédies classiques. lectuRe

monde divisé de la guerre froide inspire nombre de romans d’espionnages, parmi lesquels ceux de John Le Carré, Ian Flemming, etc. La décolonisation et le mouvement de Mai 1968 s’accompagnent de l’éclosion d’une littérature de contestation ; Jean Genet conteste l’ordre établi tandis que des auteurs comme Roland Barthes et Marthe Robert jettent les bases d’une nouvelle manière de penser la société. Le Nouveau Roman voit le jour : les Tropismes de Sarraute explorent les zones de non-dit. 2. Art

réseau conceptuel de l’action, qui génère des phrases d’actions qui, mises ensemble selon la logique de causalité, constituent à leur tour l’intrigue. 79 Patrice Pavis Dictionnaire du théâtre, Paris, Dunod, 1996.   17 représentation, la mimesis, d’une succession d’actions fictives accomplies par des êtres humains. L’imitation se fait à travers des actions parlées. De nombreux dramaturges et théoriciens ont abordé cette question intéressante de l’action dans la parole puisqu’elle relève d’un

misère (qui est pour Hugo le superlatif de l'obscurité du social) d'un point de vue de surplomb, mais d'y accoutumer l'œil, de passer dans la « cave des aveugles », de rejoindre la « stupeur sociale » qu'elle implique. Le roman, en se faisant mimesis de l'accès à la visibilité, devient lui-même espace de tâtonnement dans le confus du réel. La représentation romanesque, avec Les Misérables, est comme emprisonnée dans son propre volume, dans la sphère qu'elle déplace, multipliant les points de