Hétérozygote

de l’expression d’un seul gène : caractère monogénétique * premier niveau de complexité : 2 allèles pour un même gène. Voir fiche rappel et TP5 Un phénotype macroscopique donné correspond à plusieurs génotypes : - homozygote : double dominant -hétérozygote : 1 allèle dominant sur le récessif La diversité allélique permet un grand nombre de phénotypes : Apparition de plusieurs types de phénotypes différents de celui des parents dans la descendance : 1 phénotypes pour un homozygote double récessif

à la suite d’un Accident Vasculaire Cérébral avec hémiplégie gauche. C’est une femme de 46 ans qui est connut pour avoir comme antécédents médicaux une Haute Tension Artérielle, obésité modérée (IMC à 34), un diabète, ainsi qu’une drépanocytose hétérozygote. Depuis plusieurs semaines Madame M, présente un diabète déséquilibré qui ne semble pas inquiéter la patienter. Ce jour-ci j’effectue donc le prélèvement capillaire de Madame M, à l’aide de mon appareil à glycémie. Comme indiqué sur la prescription

responsable d’un caractère héréditaire. Chaque gène a son double qui est nommé allèles. Un allèle peut-être dominant ou récéssif , le dominant à le dessus sur le récéssif. Quand les deux cellules sont identiques l’individus est alors homozygotes, et hétérozygotes quand les deux cellules sont diffèrentes. La synthèse des protéines consiste à transcrire l’infirmation porté par l’adn sur l’arn messager, une fois l’information transcrite l’arn messager quitte le noyau pour transmettre l’information au niveau

femelles [cv] du 1er croisement ne produiront donc qu’un seul type de gamètes Xcv alors que les mâles en produiront 2 Xcv+ et Y. Ainsi les F1 seront à 50% des femelles Xcv//Xcv+ et à 50% des mâles Xcv//Y. Compte tenu du phénotype des femelles hétérozygotes de F1 on peut conclure que l’allèle cv est récessif et cv+ dominant. - Pour le 2e croisement les F1 femelles seront Xcv+//Xcv et les mâles Xcv+//Y : mâles et femelles auront donc le même phénotype [cv+]. - Finir l’exercice en montrant que les proportions

2) L’allèle responsable du caractère «plein» domine l’allèle qui gouverne le caractère «rétracté». L’allèle qui commande « l’albumen coloré » domine l’allèle qui détermine «l’albumen non coloré». De plus les individus de la F1 sont des di hétérozygotes. On pose : Plein P ; rétracté r ; coloré c ; non coloré n. a) Le croisement réalisé est un test-cross d’un dihétérozygote. La descendance comprend une forte proportion (96,40%) de types parentaux et une faible proportion (3,597 %) de types

DHPLC est meilleure dans la detection des variations de sequences que la SSCP et DGGE 13- donner au moins 2 arguments différentiant l hérédité autosomique dominante et l heredite mitochandriale 14-a quoi sert un haplotype? 15- définir l hétérozygote composite 16-quelle est la différence entre une pénétrance et l expressivité d un gene avec un exemple pour chacune. 1. principe de la théorie de Mitchell. 2. citer les caractéristiques structurales de l’ADN type B. 3. citer les cinq degrés

associée à la suppression de la prise alimentaire. Le déficit en MC4R est transmis de manière codominante, avec une expressivité et une pénétrance variables selon les populations. La majorité des patients décrits à ce jour sont porteurs de mutations hétérozygotes dans le gène MC4R (18q22) Remarque : actuellement, on pense que l’obésité est polygénique c’est à dire qu’un certain nombre de variant génétiques déterminent la prédisposition à l’obésité. Parmi ces variant, certains peuvent affecter des protéines

Chaque gène est donc présent en 2 exemplaire situé au même Locus sur les 2 chromosomes. Si les 2 exemplaires on exactement la même séquence d’ADN on dit qu’ils sont homozygote pour se gène alors si les 2 exemplaires sont différents, on dit qu’il est hétérozygote pour ce gène.        oeuf Les différentes versions d’un gène sont appelés allèles. Un individu possède un matériel génétique, constitué d’un très grand nombre de gène l’ensemble de tous gènes est appelés génome. III)Le cycle cellulaire     III)_1

le gène inactivé à leur descendance. On croise alors ces souris avec des souris de type « sauvage » dont le gène Mup 6 n’a pas été modifié, ce qui permet théoriquement d’obtenir 50% de souris hétérozygotes portant un allèle sauvage et un allèle recombiné (Fig 5a). On croise ensuite ces souris hétérozygotes entre elles ce qui permet d’obtenir un quart de souris KO pour le gène codant pour l’allergène Mus m1 (Fig. 5b). Les souris KO sont homozygotes, elles ne donneront donc que des souris KO. Fig

de l'allèle augmente d'abord très rapidement : en 10 générations, elle passe d'une fréquence de 10% à 60% .Elle continue ensuite d'augmenter progressivement pour tendre vers la fréquence de 100%. En effet, les homozygotes pour cet allèle et les hétérozygotes ont une valeur sélective plus grande que les homozygotes ne possédant pas cet allèle : ils survivent mieux donc, se reproduisent plus .L'allèle est proportionnellement plus transmis à chacune des générations et devient donc de plus en plus fréquent