Hincmar

pendant la periode carolingienne. Et ce prestige est du notamment a l’eveque hincmar de Reims (ancien conseiller de louis le pieu)). A la fin du Xie siecle, les ecclesisatiques et les intelletuels considerent qu’il s’agit d’un privillege acquis a l’eveque de reims. Et les theoriciens de l’epoque vont lier ce sacre de reims au bapteme de clovis. Cette ceremonie du sacre commence par une promesse qui a ete introduite par hincmar de reims (et tous les capetiens vont s’y soumettre : le roi promet de conserver

Bretons mais surtout des Vikings dès 850. Cela le contraint à former de grands commandements militaire pour organiser la défense. Il doit aussi garantir les charges au prix de nombreuses concessions (pacte de Coulaine). Il doit aussi composer avec Hincmar l'archevêque de Reims (qui voulait en faire une capitale franque) désireux de renforcer la légitimité du pouvoir religieux en inventant l'histoire de l'huile sainte qui aurait été apportée par la colombe au baptême de Clovis. Cela crée la symbolique

* Charles de Herstal - Martel (v. 685 - 01/10/0741) * Pépin III - le bref (v. 715 - v. 768) * Charles Ier - Charlemagne (v. 742 - v. 814) couronné le 25 décembre 800 par Léon III, roi bâtisseur  * Carloman Ier (v. 747 - v. 771) Hincmar de Reims (806-882), proche de Louis le Pieux, auteur d’un traité fondamental (de ordine palatii, du fonctionnement du palais) : Il émet l’idée que la royauté devient un réel ministère (de ministerium). Le roi a une légitimité par le sacre, il est

réfléchissent a la manière de préciser la mission du roi. Alcuin, conseiller ecclésiastique de Charlemagne, tente de préciser la mission du roi. De génération en génération, on arrive a HINCMAR (806, 882), évêque de Reims, juriste le plus célèbre de l’occident jusqu'à Charles le Chauve, petit fils de Charlemagne. Hincmar va faire fusionner la pensée politique germanique et chrétienne. Les devoirs du roi ce sont tous les devoirs des rois francs traditionnels et els devoirs et principes enseigné par l’église

ce, dès les premiers règnes = Charlemagne interviendra en Italie pour protéger la Papauté et accorde au Pape les Etats pontificaux (Vatican). A partir de cette époque, les rois de France seront les protecteurs attitré de chrétienté. Les auteurs Hincmar de Reims et Agobard de Lyon vont pousser très loin le principe de ministerium regis. Considèrent que si le pouvoir est donné par Dieu, il doit être donné à quelqu’un de digne. Il doit être donnée au prince le plus respectable et les ecclésiastiques

désormais a pour mission de transformer le roi désigné par les grands en roi régnant. Le sacre est un élément essentiel dans l’histoire d’un règne. Ce sacre s’intègre dans un cérémonial. A. Le cérémonial du sacre Assez rapidement, sous l’influence de HINCMAR de Reims, Reims va s’imposer comme lieu de sacre par l’archevêque de Reims. A partir d’Henri 1er, le sacre est à Reims par l’archevêque de Reims. La cérémonie se compose de plusieurs étapes distinctes. - La promesse : elle se retrouve dans le sacre

plus décider en fonction de sa simple volonté Hincmar de Reims (806-882) : conseiller politique de Charles le Chauve Il reprend la conception germanique du pouvoir royal et la superpose à celle du christianisme. Le roi doit se poser en garant de la paix - 869 : Empereurs carolingiens lors de leur sacre prennent l’habitude de prononcer une promesse : remplir les obligations de son ministerium regis Le 1er à le faire est Charles le Chauve. Hincmar est à l’origine 2) La renovatio imperii

succincte description dans la partie introductive, cette section retracera brièvement cette évolution du point de vue du Droit, c’est-à-dire en considérant l’ensemble des pratiques légales et des règles de droit édictées. I.1.1. Des origines à Hincmar de Reims Si  le phénomène associatif est attesté dès les débuts de l’Eglise « l’histoire des associations dans l’Eglise est aussi ancienne que l’Eglise elle-même »15, le droit y relatif ne peut se prévaloir d’une telle congénitalité, d’une telle

validées par les grands de son royaume. Le roi contrôle directement un certain nombre de domaines, de monastères et de revenus et dispose donc encore d'une certaine marge de manœuvre face à son aristocratie ; en outre, il s'appuie sur le clergé, dont Hincmar, archevêque de Reims, théoricien et garant du système mis en place durant son règne. Charles le Chauve dispose encore de pouvoirs réels, mais au fil de son règne, ses moyens s'amenuisent, et c'est par une intense activité qu'il parvient à les maintenir

donation dénoncent) : il s’agit là de la fougue réformatrice au langage outré. *La persistance, pendant toute la période, de foyers épiscopaux dynamiques Le dynamisme de certains foyers épiscopaux Dans la plus pure tradition carolingienne là-encore (cf Hincmar de Reims), certains sièges épiscopaux constituent des foyers de grande qualité, mais de séculiers donc. Adalbéron de Laon et Gérard de Cambrai en sont les figures françaises les plus connues, mais on en trouve encore plus en Allemagne où les évêchés