Hobbes De La Boetie

4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10 3.

particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure paradoxale de la loi 9 1. Pas de loi sans force 9 2. La loi est le réglage d’un rapport de force 10 3. L’exception confirme la règle : état

de l'État (Rousseau) et des citoyens (La Boétie). Cicéron.  De Republica  (v. 44 avant J.-C.) Montesquieu.  De l'esprit des lois (1748) Marx, Karl & Engels, Friedrich.  Le Manifeste du Parti communiste  (1848) Kant, Emmanuel.  Qu'est-ce que les Lumières ? (1784) Rousseau, Jean-Jacques.  Du contrat social (1762) La Boétie (de), Étienne.  Discours sur la

libération. II3. : "infantilisme et incapacité d'agir". Ce sont les enfants de 2-3 ans qui disent non, ce sont eux aussi qui ne possèdent aucune autonomie. Ne se soumettre à rien sclérose la société qui demeure figée, donc meurt. (cf Montesquieu, Hobbes). Transition : La liberté absolue est illusoire : comme animal politique, l'homme n'évolue que dans les "tableaux sociaux", nécessairement réglés. Être libre, ne serait-ce pas d'abord être capables de s'engager dans l'action concernant la société

reconnaîtrais-je, puisque tu m'as déjà donné tout ce que tu avais à offrir? Tu n'es plus pour moi qu'un moyen, que j'asservis à ma guise ; et cette servitude, c'est toi-même qui l'as acceptée. Toute servitude, pour reprendre le titre d'un ouvrage de La Boétie, est une servitude volontaire : ne se soumet que celui qui a un jour accepté de se soumettre, c'est-à-dire qui a librement renoncé à la liberté par peur de la mort. 3. La véritable liberté. C'est parce que la servitude demeure un choix libre

l’autorité est commode pour éviter de réfléchir en se soumettant à des théories, pour faire en sorte de ne pas avoir à réfléchir en laissant penser l’autre à ma place et n’interrogeant pas les institutions. 3. point de vue psycho-politique de HOBBES (philosophe anglais du 17e siècle) ou LUCRÈCE (poète philosophe latin du ier siècle av. J.-C.,) : la soumission à l’autorité permettrait de conjurer l’angoisse de la mort. Le colonialisme provient du fait que certains ont pensé qu’il y a des êtres

eux-mêmes est une société malheureuse. Mais en quoi le lien social peut-il réjouir l’homme ? À quelle condition lui apporte-t-il une satisfaction ? Il faut qu’il lui soit avantageux. L’homme n’a pas, sans cela, de raison de le rechercher. Comme le dit Hobbes (Léviathan, XIII) l’homme trouve naturellement un très grand déplaisir dans la fréquentation de son semblable, puisque ce semblable est son égal ou son équivalent, et ainsi son rival. Autrement dit, je ne me lie à autrui que si ce lien n’est pas à

prescriptions du Clergé = individualisation de la foi et affirmation du libre arbitre, de la foi. 2)La Boétie et la servitude volontaire(1530-1563) Bouleversement dans l’Europe : les guerres de religions. Les réformés vont être amenés à critiquer le pouvoir royal notamment en France. Ils vont contribuer à la diffusion du discours de la servitude volontaire d’Etienne de la Boétie. La Boétie réfléchit sur les ressorts de la tyrannie, qu’est ce qui fait qu’un pouvoir tient, il affirme que le pouvoir

Étienne de La Boétie. Il est né en 1553, c'est un juriste, conseiller à la Cour des aides puis il passe conseiller au gouvernement de Bordeaux où il rencontre Montaigne. Il écrit vers 1548 un petit traité «Le traité de la servitude volontaire». Ce traité sera publié en 1574 et 77 après la St Barthélémy dans des recueils protestants. On l'appellera le contrat ce qui donnera l'impression de l'annexion de cet auteur par les protestants, or il est catholique cependant. Etienne de la Boétie s'interroge

contre la monarchie absolue que naît au 17eme siecle la problématique du droit naturel et du contrat social. La justification philosophique de la monarchie absolue était double. 1Erement, elle s'appuie sur le concept de souveraineté (J.Bodin et Hobbes) : tout pouvoir par essence est indivisible. 2Ement, dieu est la source unique de souveraineté (justification théologique) : « tout pouvoir vient de Dieu » (dans l’épître romain de Saint Paul ». Le droit que détient le roi, représentant de Dieu