Hobbes La Condition Naturelle

volonté de l’Etat. C’est la base mm du positivisme : tous commence avec l’Etat, le positivisme pose en pcp au commencement qu’il y avait l’Etat et le droit arrive en 2e comme production de l’Etat. Il y a du droit avant l’Etat : c’est le droit naturel. En sorte que cette idée de souveraineté absolue, va justifier l’intervention dans des pays africain, est le droit d’ingérence. Un autre auteur Crossman, « vie et destin » qui montre bien dans son ouvrage consacré au siège de Stalingrad, que dans

argumentation autour de quatre parties. Le livre I définit la nature du « contrat », le second en déduit la nature des « lois » proposées, le troisième clarifie le statut du pouvoir exécutif par rapport au législatif et le dernier livre examine les conditions du bon fonctionnement des institutions. Notons que le dernier chapitre du traité, ajouté en dernière minute par l’auteur, fut le plus controversé de l’ouvrage pour sa virulence envers le christianisme et plus particulièrement envers le clergé.

de ponere legen qui veut dire édicter une loi càd le droit en vigueur à une époque, un moment donné. Le droit positif s’oppose au droit naturel (expression inventé par Aristote dans l’Antiquité), c’est le droit idéal, rationnel, tel qu’il devrait être. Ce sont des propositions sur ce qui pourrait être amélioré. Le droit positif peut être conforme au droit naturel. Chapitre I : La spécificité de la norme juridique Le droit est fait de règles ou de normes. Au sein de toutes ces normes se trouvent

Définition de la notion d’Etat : A. Les origine de l’Etat moderne : L’état de nature est l’idée originaire du contrat social, une idée théorique qui va justifier la mise en place de l’Etat, l’état de nature c’est l’humanité en l’absence d’Etat, la condition des hommes avant la mise en place de règles de droits positives. En gros un Etat ou il n’y à pas de règle. Pour survivre à cet état de nature pour Hobbs et s’épanouir pour Rousseau, les individus vont devoir renoncer à une parti de cette liberté

la limite s'échapper. Il n'y a donc pas un face à face de pouvoir et de liberté, avec entre eux un rapport d'exclusion (partout où le pouvoir s'exerce la liberté disparaît) ; mais un jeu complexe : dans ce jeu, la liberté va bien apparaître comme condition d'existence du pouvoir (à la fois préalable, puisqu'il faut qu'il y ait de la liberté pour que le pouvoir s'exerce, et aussi support permanent puisque si elle se dérobait entièrement au pouvoir qui s'exerce sur elle, celui-ci disparaîtrait du fait

n’importe quelles conditions. Mais à quelles conditions alors ? Comment la contrainte pourrait-elle servir la liberté ? En quoi l’absence de contrainte serait-elle une liberté illusoire ? Comment concevoir une « bonne » contrainte ? Dans un premier temps nous verrons qu’il existe une opposition entre liberté et contrainte, puis dans un second temps que l’absence de contrainte est une liberté illusoire. Enfin, nous montrerons que la contrainte est nécessaire à la liberté sous certaines conditions. D’une

gouvernement et son principe, que sa nature est ce qui le fait tel, et son principe ce qui le fait agir. » Montesquieu Hobbes et le grand Léviathan : S’il n’existait pas de pouvoir, chaque individu chercherait à atteindre ses fins à savoir la conservation et l’accroissement de ses forces. De cette façon, chacun s’efforcerait de détruire ou de dominer l’autre. L’état de nature selon Hobbes est donc un état de guerre de chacun contre chacun. Le contrat permet d’en sortir : chacun cède alors le droit

physique + biens : garantit contre l’Etat ( opposition arbitraire) ( vocation européenne voir international : car : communauté culturel et civilisation fondée sur Droit naturel ( = Droit universel et intemporel ) Napoléon : «  Ce qui est bon pour les français, est bon pour tous les autres peuples » ( Sous révolution : voulu Code civil avec 3 projets et

| |TION|La violence et la méchanceté sont-elles|DU |ire |définitions qu’il peut donner de lui-même. |violence n’ont pas disparu de la | | |naturelles à l’homme ou bien un effet |SUJE| | |surface de la Terre. Certaines | | |pervers de la civilisation

vrai que l’homme est un loup pour l’homme ? PROBLEMATIQUE (questions) ARGUMENTS (explications) EXEMPLES - REFERENCES (illustrations) THESES (affirmations) INTRODUCTION (problème - alternative) La violence et la méchanceté sont-elles naturelles à l’homme ou bien un effet pervers de la civilisation qu’il serait possible de corriger ? L’homme est-il méchant comme un loup ou est-il devenu un être plus méchant que le loup lui-même ? ANALYSE DU SUJET Vocabulaire « L’homme » – Il est difficile