Howard Et Sheth

Approches cognitiviste et ses limites La dimension sociale au sein de laquelle s’inscrivent ses actions est reconsidérée  Apparition des modèles intégrateurs visant à retracer la démarche de consommation dans sa globalité (Nicosia, 1969; Howard & Sheth, 1977; Engel, Blackwell & Miniard, 1993; Engel, Kollat & Miniard, 1995) Limites:  une surcharge informationnelle conduit en général à des choix assez pauvres dans la mesure ou le consommateur est limité par l’étendue de ses connaissances

Research et dans le Journal of Marketing. Dans Experiential Marketing, ils contrastent leur modèle de comportement du consommateur au modèle dominant des années 1950-1980 base sur la rationalité du consommateur (et notamment représenté par le livre de Howard et Sheth, publié en 1969) en y ajoutant une dimension affective. En effet, l'affect, jusqu'à la publication de ces deux articles séminaux, était seulement considéré en marketing comme un calcul pondéré de différentes croyances du consommateur (qu'on appelait

des comportements des consommateurs, on peut considérer l’attitude comme « une prédisposition favorable ou défavorable à l’égard d’un produit, d’une marque ou d’une enseigne » (Gilardi). N’oublions cependant pas que certains auteurs comme Assaël ou Howard retiennent des définitions plus étroites de l’attitude en associant attitude et besoin du consommateur. - Assaël définit d’ailleurs une attitude comme « l’évaluation par le consommateur de la capacité de différentes marques ou produits à

selon l’intérêt et les compétences minimales qui sont ceux de tout ancêtre : ils firent la sourde oreille et traînèrent les pieds. Pourtant, à l’extrême fin des années cinquante et au début des années soixante, tout changea. Non seulement les John Howard (1963) ou Wroe Alderson (1965) réitérèrent avec vigueur leurs premières ouvertures en faveur d’une rénovation théorique, méthodologique et disciplinaire du marke- DU MARKETING CONCEPT AU MARKETING MANAGEMENT 170 ting, mais cette fois, ils

s’acquièrent par la culture, la plupart des personnes d’un groupe social (pays, classe sociale, …) tendent à partager les mêmes valeurs, mais à des degrés différents. L’importance relative de chaque valeur est donc différente d’un individu à l’autre. Sheth, Newman et Gross ont étudié les rapports entre la valeur et la décision d’achat. Selon ces auteurs, la décision d’achat est un phénomène à plusieurs dimensions mettant en jeu des valeurs différentes et indépendantes l’une de l’autre : fonctionnelle

conditions de vie et préférences d’achat des consommateurs. On pense alors à l’expression "le client est roi" n’est ce pas ? Par contre, "le roi" n’est pas vous, ni moi, ni lui, ni elle, c’est l’ensemble des consommateurs ! D’après le modèle de J.A Howard et J.H Sheth (cf. annexe 4), on comprend que la décision d’achat d’un consommateur est influencée par l’information enviro nnementale mise à sa disposition par la société (médias, éducation, écolabels). Celle-ci nous permet de mieux connaître ce que sont

récepteur) : L’individu ne perçoit pas tous les messages (perception sélective), il cherche à construire une unité dans sa perception (théorie de la congruence)  importance de la cohérence des messages  3 niveaux de réponses comportementales (Howard et Sheth) :  Cognitive : on recoit un message et on le mémorise, il enrichit notre champ cognitif avec des infos supplémentaires 2 Communication Michèle Guilbert   Affectif : j’aime ou je n’aime pas Conative : Action, fait de consommer

études et les réflexions complexes, voici quelques définitions permettent d’expliquer la notion de satisfaction client :[1] « L’impression d’être convenablement ou non récompensé pour les sacrifices supportés lors d’une situation d’achat » (Howard et Sheth). Un client est satisfait si « son évaluation lui démontre que l’expérience a été au moins aussi bonne qu’elle était censée être » (Hunt). « Le sentiment d’un client résultant d’un jugement comparant les performances d’un produit à

des comportements des consommateurs, on peut considérer l’attitude comme « une prédisposition favorable ou défavorable à l’égard d’un produit, d’une marque ou d’une enseigne » (GILARDI). N’oublions cependant pas que certains auteurs comme ASSAËL ou HOWARD, retiennent des définitions plus étroites de l’attitude en associant attitude et besoin du consommateur. ASSAËL définit d’ailleurs une attitude comme « l’évaluation par le consommateur de la capacité de différentes marques ou produits à satisfaire

des comportements des consommateurs, on peut considérer l’attitude comme « une prédisposition favorable ou défavorable à l’égard d’un produit, d’une marque ou d’une enseigne » (Gilardi). N’oublions cependant pas que certains auteurs comme Assaël ou Howard retiennent des définitions plus étroites de l’attitude en associant attitude et besoin du consommateur. Assaël définit d’ailleurs une attitude comme « l’évaluation par le consommateur de la capacité de différentes marques ou produits à satisfaire