Howard Et Sheth

à la contre persuasion et aux promotions des concurrents (Ouzaka 2002). Sheth et Parvatiyar (2000) ont évoqué des avantages comme la réduction des coûts marketing, les économies relatives à la rétention des clients et l’avantage concurrentiel qui en découle. Même si le concept d’engagement s’avère être centrale dans le paradigme du marketing relationnel (Morgan et Hunt 1994, Wetzels et al 2000, Bendapudi et Berry 1997, Sheth et Parvatiyar 2002), il présente encore des confusions quant à ses conceptualisations

contextes tels que la fidélité au point de vente (East et al.1995; Robinson, 1995; Charlton, 1973), le contexte des services (Oliver 1999; Chiou et al.2002; De Ruyther et al.1998), la fidélité dans un contexte relationnel (Bajozzi 1978; Dwyer et al 1987; Sheth et Parvatiyer 1995, Morgan et Hunt, 1994). Avec l’expansion d’Internet ces dernières années et l'explosion des sites Internet, les travaux récents soulignent l’intérêt de développer des modèles conceptuels de la fidélité à un site Internet. 5

L'implication appliquée à la décision d'achat constitue un exemple de ce type d'implication (implication de situation). L'implication permet alors d'évaluer le degré d'importance qu'une personne attribue à une décision d'achat pour un produit donné (Howard et Sheth, 196915, Hupfer et Gardner, 197116, Ratchford, 198717). Il s’agit d’une implication-état. 2.3 L’IMPLICATION DURABLE L’implication de situation s’oppose ainsi à l'implication comme disposition durable : selon Engel et Blackwell (1982)18

choix final). - Ils intègrent les caractéristiques de l'acheteur (socio-démographique, psychologique...), ainsi que des facteurs d'influence. - Nombreux modèles de prise de décision touristique, s'inspirant de travaux et théories développées par Howard et Sheth (1969) et par Engel et Blackwell (1982). processus de décision du touriste, p.21-30 Le touriste consommateur, decrops, de Boeck Edition, octobre 2010 Le processus de choix du touriste, p.51... Modèle simplifié du comportement d'achat

du produit. Pour la majorité des chercheurs, le « construit » satisfaction est conceptualisé et mesuré sous la forme d’un continuum unidimensionnel opposant deux pôles extrêmes : l’un positif (très satisfait) et l’autre négatif (très insatisfait) (Howard et Seth, 1969; Nicosia, 1966; Oliver, 1980, Woodruff, Cadotte et Jenkins, 1983, Westbrook, 1987). Si les chercheurs s’accordent à dire que le client détermine son niveau de satisfaction par un processus de comparaison, il n’existe pas de consensus

comportements des consommateurs, on peut considérer l’attitude comme « une prédisposition favorable ou défavorable à l’égard d’un produit, d’une marque ou d’une enseigne » (Gilardi). N’oublions cependant pas que certains auteurs comme Assaël ou Howard retiennent des définitions plus étroites de l’attitude en associant attitude et besoin du consommateur.   Assaël définit d’ailleurs une attitude comme « l’évaluation par le consommateur de la capacité de différentes marques ou

positionnement : L’ensemble évoqué et les croyances déterminantes. Le concept d’ensemble évoqué à été défini par C.Gregory(18) comme «l’ensemble des possibilités (marques) qu’un consommateur prend en compte lors de l'acte d'achat », en outre Howard et Sheth(19) affirment que l’acheteur ne choisit pas entre toutes les marques qu’il connaît lorsque celle-ci sont nombreuses, mais il ne juge que celles qui sont acceptables (ensemble évoqué) d’autre sont rejetés(ensemble inepte) ou lui sont indifférentes

donc souvent être directement liée à certaines variables du comportement du consommateur et peut même être insérée à l’intérieur de certains modèles intégrateurs du comportement (Nicosia, 1966 ; Bettman, 1979 ; Engel, Kollat et Blackwell, 1978 ; Howard et Sheth, 1969). Cette première partie théorique a permis de faire le point sur le concept d’image de marque, ses concepts voisins et sa place dans le comportement du consommateur. L’étude qualitative qui va permettre de déterminer les supports de perception

Ainsi la confrontation des attitudes de consommateur et desattitudes de l’entreprise donne naissance à des attitudes + ou – dans le cas positif, le consommateurcherche l’information, passe à l’acte d’achat et stock l’information. Le modèle de Howard-Sheth : ce modèle s’intéresse au processus de transformation des consommateurs des inputs (stimulus Marketing) en outputs (décision d’achat) de plus il cherche à expliquer le processus du choix d’un produitou d’une marque par le consommateur. Il repose

Approches cognitiviste et ses limites La dimension sociale au sein de laquelle s’inscrivent ses actions est reconsidérée  Apparition des modèles intégrateurs visant à retracer la démarche de consommation dans sa globalité (Nicosia, 1969; Howard & Sheth, 1977; Engel, Blackwell & Miniard, 1993; Engel, Kollat & Miniard, 1995) Limites:  une surcharge informationnelle conduit en général à des choix assez pauvres dans la mesure ou le consommateur est limité par l’étendue de ses connaissances et par