Hume Contre Descartes

se tromper de chemin... 16. La Renaissance ... ô race divine déguisée en homme... 17. Le baroque ...de l'étoffe dont les rêves sont faits... 18. Descartes ... il voulait déblayer le chantier... 19. Spinoza ... Dieu n 'est pas un montreur de marionnettes... 99 20. Locke ... aussi vide et nue qu 'un tableau noir avant l'entrée du professeur... 21. Hume ... jetons-le donc aux flammes... 22. Berkeley ... comme un globe ivre tournoyant autour d'un soleil en feu... 290 115 300 314 127

une nostalgie de retrouver la vraie demeure de l'âme... 99 SOMMAIRE 13 20. Locke ... aussi vide et nue qu 'un tableau noir avant l'entrée du professeur... 290 10. Le chalet du major ... la fille dans le miroir cligna des deux yeux... 115 21. Hume ... jetons-le donc aux flammes... 300 11. Aristote ...un homme d'ordre méticuleux fait le ménage dans nos concepts... 127 22. Berkeley ... comme un globe ivre tournoyant autour d'un soleil en feu... 314 12. L'hellénisme ... une étincelle du feu

humain qui se distingue des choses par sa capacité à penser mais aussi et surtout par le langage. Sous partie 1 : le moi est un sujet pensant mais aussi matériel Le moi est donc un sujet pensant doté du langage (Benveniste) Substance pensante (Descartes) . Cette « substance pensante », cette « substance dont toute l’essence ou la nature n’est que de penser », constitue un ordre de réalité spécifique, distinct du monde des choses corporelles, lesquelles sont ramenées à leur trait essentiel commun

pouvoir y faire. Alors ils recherchèrent dans le succès économique les indices de leur salut : si Dieu les avait sauvés, alors ils rencontreraient le succès. A cette influence calviniste se joint l’influence luthérienne qui revalorise le travail contre le catholicisme. Tandis que les catholiques sont censés demeurer indifférents d’un point de vue religieux aux affaires humaines, les protestants luthériens en revanche estiment que le travail et donc la mise en valeur de la Création sont des façons

apparait comme un phénomène sans but, inconnu, imprévisible, inattendu qui produit des effets que la science ne peut que constater. Or, les définitions de chacune de ces notions peuvent se voir comme antinomiques ou complémentaires : la connaissance, contre l’inconnu. D’une part, il est ainsi couramment admis que le hasard échappe à la science. Le hasard est alors envisagé comme la limite de la science. Là, où le hasard règne, la science n’a pas cours. Cependant ce point de vue ne verrait le hasard

conscience de notre ignorance. Il faut rencontrer des obstacles et que la pensée s'arrête et dès lors elle va chercher à expliquer.problème=obstacle La contradiction peut aussi être dans l’opinion (jugements différents, conflits d’opinions→ descartes va mettre fin aux conflits d’opinions). MAis cette recherche est difficile comme l’illustre l’allégorie de la caverne= l’usage de la raison est difficile. Nietzsche remarque que le plaisir de la vérité diminue proportionnellement

par le serment du sacre à lutter contre l'hérésie. Louis XIII approbation du souverain pontife (pape) à différents ordres de question signifiait l’ingérence permanente et inacceptable de Rome et de l'Espagne ds les affaires du royaume 1ere nation à s'extraire de l'autorité papale est la France on appelle ce courant le gallicanisme qui remonte à Charlemagne, s'affirme chez Philippe le Bel et se poursuit avec Louis XIV, ainsi Richelieu (homme d’Église) va aller contre le Pape en débutant la laïcisation

loin de nous ? PARTIE II : l’homme, un animal comme les autres ? A . La conscience animale A . Mécanisme, instinct et liberté B . Que disent les animaux ? B . L’animal et la nature DESCARTES – L’animal machine : les bêtes ne pensent point ROUSSEAU – Instinct animal et perfectibilité humaine MONTAIGNE – Quant au parler… HUME – L’apprentissage par l’expérience chez l’animal DARWIN – L’homme et l’évolution LA METTRIE – L’Homme machine BENVENISTE – Un langage des abeilles ? Dans un texte célébrissime, le

vouloir satisfaire ses désirs et faire son bien propre au détriment de celui de tous les autres, mais le fait de vouloir, non seulement faire le bonheur des autres, mais aussi à sa façon, en gardant le contrôle des moyens pour y réussir et y compris contre leur gré. C’est du paternalisme. Qui est visé par cette critique du despotisme ? Une lecture croisée de Qu’est-ce que s’orienter dans la pensée et de la seconde section de la méthodologie transcendantale à la fin de La critique de la raison pure

1 Descartes face à la menace sceptique Descartes s’est consacré dans l’histoire de la pensée à une double tâche. Il a, d’une part, nourri l’ambition théorique d’expliquer tous les phénomènes présents dans l’ordre de la nature, guidée par une finalité pratique consistant à nous en permettre la maîtrise. Mais, à la différence d’autres pères de la modernité dans les sciences tels que Galilée, Huygens, Newton, Descartes a, d’autre part, voulu apporter des fondements fermes et solides au progrès