Hume égalité Parfaite

politique » propositions pédagogiques, B. Gaspoz, DIP, 2010. 2 http://www.ge.ch/egalite/formation/welcome.asp 3 http://www.ge.ch/egalite/egalite-professionnelle/welcome.asp 4 http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/20/05.html et http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/20/05/blank/dos.html 5 http://www.ge.ch/egalite/image-societe/welcome.asp 6 Exemple : la Constitution suisse et son Art. 8 Egalité 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi. 2 Nul ne doit subir de discrimination

(monopoles). Les économistes keynésiens et marxistes ont apportés certaines critiques à l'économie de marché. Ils mettent en avant l'impuissance de la liberté économique à assurer la compatibilité entre intérêt privé et intérêt général, et la régulation parfaite de l'économie. 2. Les fondements idéologiques, scientifiques et techniques a. Les concepts du profit et de la rationalité Le capitalisme ne pourrait se développer dans une société où l'accumulation de richesse serait prohibée ou considérée comme

référence démocratique. Elle a été reconstruite : transformée et idéalisée. L’égalité des citoyens dans la démocratie athénienne n’est pas ce que nous appelons égalité depuis le 19e-20e. Aujourd’hui, ça renvoie à des choses très différentes. Chez les athéniens, ça veut dire isonomie (de iso : équivalence et nomos : les droits, pour nous une égalité des droits civiques, juridiques…). Isegoria est le droit de tout citoyen a prendre la parole et à participer aux discussions sur l’Agora. Il n’y a pas d’idée

manière qu’on dispose de la vue, du toucher,… Cette solution n’est pas complètement satisfaisante (réponse physique à une question morale). David Hume insistera sur le mécanisme de la sympathie (l’émotion d’un autre me touche, la perméabilité aux émotions d’autrui) qui permettrait d’expliquer le caractère immédiat des jugements moraux. Cependant, Hume reconnait à quel point il est difficile d’expliquer le caractère universel. Smith va apporter une solution à cette question : il va utiliser ce qu’il

personnes par rapport aux règlements de justice, ils sont les mêmes pour tous ) et que tous seront obligés de se conformer aux règlements de justice. Autrement dit, même si le pacte se fait sur le fond d'une inégalité de départ, il reconnaît une égalité de tous devant les règles qui seront instituées, et reconnaît à chacun les mêmes devoirs ( cf la référence aux « devoirs mutuels »). C'est pourquoi ce pacte peut fonder un droit véritable. Comment alors concevoir l'instauration du pouvoir suprême

. . . . . 92 Kant - problématique 9 : L’expérience conditionne-t-elle la connaissance ? . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 Freud - problématique 10 : Faut-il ressentir pour connaître ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 Hume - problématique 11 : Connaître, est-ce cesser de croire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 Freud - problématique 12 : L’erreur n’est-elle due qu’à l’ignorance ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97 Bachelard - problématique

exploitation commerciale sont valorisés (et donc déculpabilisés) comme facteur de prospérité sociale, nationale et internationale : le commerçant, pourvoyeur de luxe et d’abondance, est pensé comme le nouveau " chevalier des temps modernes " (cf. Le parfait négociant de Savary 1675) ou le Négociant patriote, anonyme (1784) Dans sa lettre anglaise sur le commerce et dans le Mondain, Voltaire consacre aussi cette nouvelle image de la bourgeoisie. Le commerçant est "l’Atlas nouveau " qui soutient à lui

la répartition desressources, et ce à une fin politique et philosophique. Moins qu’un art, l’économie pour Platon se rapprocherait donc plutôt de ces savoir-faire décrits dans Gorgias ; il n'en demeure pas moins que ses tentatives d'organisation d'une cité parfaite impliquent souvent des préoccupations qui sont purement de l'ordre de la science économique telle qu'on la connaît aujourd'hui. Platon, le premier, s'intéresse strictement au problème de la cité et de la manière dont il faut qu'elle soit régie

La croyance ne repose ni sur des preuves ni sur des arguments rationnels. Il faut donc s’en méfier. Et pourtant, tout dans l’existence humaine est-il susceptible de rationalité ? Dans notre expérience quotidienne, l’action repose sur la croyance. Hume explique que croire, c’est toujours s’attendre, anticiper quelque chose. La la tendance à affirmer quelque chose à quoi on s'attend. Dans l’action, je ne suis sûr de rien. Mais il y a des croyances plus rationnelles que les autres parce qu'elles

être optimal se fait dans un cadre économique bien particulier à savoir celui d'une situation ou on est en équilibre compétitif (environnement de conccurence pure et parfaite). On met en évidence que c'est bien le prix d'équilibre qui se trouve sur le marché et il joue comme un signal prix pour les agents : situation d'équilibre = égalité des taux marginaux de substitution. → représentation graphique pour traduire ces 2 théories : limite de l'analyse de Pareto. Théorie : individus 1 et 2 représentés