Immanence Et Transcendance

Spinoza : son œuvre principale : l’Ethique, en tant que devoir moral de l’être humain. Spinoza complète Descartes, en se situant davantage dans le transcendant. « deus sive nature » : dieu est dans la nature, il envahit la nature. Cf immanence / transcendance Descartes : je pense donc je suis Spinoza : pourquoi je dois obéir à quelqu’un d’autre ? parce qu’il y a des principes moraux auxquels je suis tenu. Hobbes : l’homme est un loup pour l’homme. Donc les hommes se regroupent entre eux pour

• Les déistes croient à un Dieu, souvent proche de celui des philosophes, qui n’interagit pas avec le monde et ne s’est pas fait connaître aux hommes. • Les panthéistes considèrent que Dieu est dans tout, dans la nature même des choses (immanence). • Les agnostiques pensent qu'il n'est pas possible de prendre position quant à l'existence ou non de Dieu. • Les athées ne croient pas en Dieu, considérant qu'il s'agit là d'une invention humaine. Voir la page d'accueil sur Dieu Dogme

même être infini parfaitement simple. " et " Vous êtes tout ce qui peut être." ( Nicolas de Cues, Traité de la Vision de Dieu ou Du Tableau, ch XIII, trad. du Sieur de Golefer, Paris 1630) Il insiste donc sur l'immanence et en même temps sur la transcendance qui implique un Dieu toujours là, innommable, certes, mais présent en toutes choses dans la temporalité et transcendant tout ce qui est par son éternité. Quant à l'Ungrund (Abîme sans fond) de Boehme, l'Abîme de l'Être est bien entendu une

4 Dans la notice et les notes à son édition des « Proses philosophiques des années1860-1865 » (Victor Hugo, Œuvres complètes, éd. cit., vol. Critique), mais aussi dès son étude Sur l’emploi des mots “immanent” et “immanence” chez Victor Hugo, Archives des lettres modernes, coll. « Archives hugoliennes », 6, Minard, 1968. 5 Voir ci-dessous la note 31. 6 William Shakespeare ; Œuvres complètes de Victor Hugo, Philosophie – II, Albin Michel, Imprimerie nationale, librairie

parole caractérisée par une conversation. Mouvement centrifuge : la parole devient un champ. On a une certaine forme d’élévation, on se rapproche d’une compréhension idéale de l’univers. Mais, alors que chez Hugo on avait une transcendance, chez Baudelaire on a plutôt une immanence. On a chez Baudelaire l’idée d’une interaction dans les divers éléments de la nature, mais la révélation du poète ne passe pas par Dieu, mais par la nature elle-même, qui émet des signaux vers l’homme. Une fois que ces interactions

cette immanence et cette transcendance chez Spinoza : La philosophie de Spinoza est généralement considérée comme le type d’une philosophie de l’immanence. Récusant aussi bien la notion de création que celle de finalité, Spinoza abandonne toute idée de transcendance, c’est-à-dire rejette le socle métaphysique des religions du livre (Bible). Dieu (ou la Nature) est immanent à ce monde, intérieur à celui-ci, lié à ses propres lois ; il est la rationalité du monde. Par opposition à transcendance, qui

moyens pour l’atteindre FINI, FINITUDE : par opposition à l’infini, le fini désigne ce qui est limité et peut donc être mesuré. La finitude caractérise la condition humaine soit comme immanente* dans la tradition chrétienne, contrairement à la transcendance* et à la perfection divine ; soit dans l’existentialisme comme contingence* radicale du devoir-mourir. Formel / Matériel : La forme donne ses déterminations et ses limites à ce qui sans elle resterait indéterminé et indéfini. La forme peut alors

», le « faire » et le « ressentir », il utilise le principe de triangulation de la prise de parole, de la gestuelle ainsi que de la gestion spatio- temporelle, qui vise à produire une dialectique visible-invisible, transcendance- immanence, théorie-pratique. In fine, celle-ci doit engendrer une triangulation de l’agent lui-même (du type soufre-sel-mercure, soit esprit-âme-corps), c’est-à-dire une transmutation de l’individu par la réconciliation des contraires qu’opère le

dénombrer les caractéristiques d’un milieu comportant simplement davantage d’éléments pour l’homme que pour l’animal. Configurer implique au contraire une indétermination essentielle, le monde n’est pas, pour Heidegger, alors un donné mais une transcendance (cf discussion dans le B) Des réactions infiniment différées : autrement dit pas de réactions. Etre devant le monde signifie ne pas réagir, non au sens de la pierre, qui est « sans monde » mais en réservant la possibilité de la réaction. Le sens

sait qu’elles n’existent pas (fantôme). La première question est de voir ce que dit un croyant quand on lui demande ce qu’il croit. Il dit qu’il adhère à des raisons du monde dans lequel il distingue une immanence et une transcendance. Il possède une conviction de l’existence de cette transcendance sans pour autant en avoir une certitude. Cette fi constitue une des dimensions de son identité (pour lui-même et pour les autres). Cette croyance l’amène à se représenter le monde ainsi que sa place dans