Indifférence Morale

métamorphose, indispensable à la survie. ce n’est qu’en « hommes-bêtes » qu’ils peuvent apporter une aide efficace à cette vaste entreprise que constitue la guerre. La mort des sentiments et de la réflexion : 1)     Quelle est la cause de cette indifférence ? La guerre amène donc chez les jeunes une prise de conscience de la fragilité de la vie, de la petitesse de l’homme, de son incapacité à choisir son destin. 2)     Pourquoi les jeunes s’interdisent-ils tout sentiment et toute réflexion 

donc le concept freudien ne peut pas apparaître dans un texte d’Aristote. Mais sur le plan comportemental, il y a une part de subjectivité qui fait que nous ne jugeons pas correctement. Il ne s’agit pas de l’essence de l’être, mais de la dimension morale de l’être : que valent mes actes ? Suis-je digne de respect ? [Le titre de livre d’où était extrait ce texte aurait pu vous mettre sur la piste d’une éthique] Nous ne nous voyons pas, car d’une part nous ne pouvons pas nous contempler (dualité moderne

loin de revenir à l'innocence primordiale de l'animal, est une régression bestiale, un reniement et une désertion du travail de perfectionnement qui est la seule réparation possible de la perte du bonheur primitif : le libertin qui renonce à la loi morale, à la liberté raisonnable, n'aura pas retrouvé pour autant l'indépendance naturelle, à jamais hors de portée pour une humanité qui s'est engagée dans l'excès2.» On peut ainsi s'interroger sur l'authenticité de la liberté de Dom Juan, condamnée à errer

confondre avec quelqu’un d’autre, on ne peut se tromper. On a du mal des fois à reconnaître les personnes (ex. : quelqu’un qu’on n’a pas vu depuis longtemps). L’usurpation d’identité est un problème moral. Pourquoi l’usurpation d’identité est interdite ? * Sur le plan universel/moral, on n’accepte pas cette confusion → caractère sacré de la personne/ de l’unicité de chacun. * Peur de ce qui peut être identique à nous * Ce qui est moralement condamnable le devient sur le plan

qu'il ait rien fait pour le mériter, parce que le bonheur, contingent par nature, ne dépendrait que des circonstances sur lesquelles notre volonté n'a nulle prise. Tout le problème vient alors de ce qu'il constitue, à n'en pas douter, ce que les morales antiques nommaient le « souverain bien », le bien suprêmement désirable, le but ultime de toutes nos actions : si nous désirons quelque chose, c'est à l'évidence parce que nous espérons que cela nous rendra heureux, en sorte que le bonheur semble

mœurs à l’égard de leur fondement religieux. La sécularisation est le retrait de l’influence de la religion ; et en France, celle-ci s’est présentée comme une perte de la référence chrétienne que ce soit dans la sphère politique ou dans la sphère morale. PARAGRAPHE 1 : L’émancipation politique En France, l’émancipation politique a commencé plus tôt que dans d’autres pays Européens et elle s’est exprimée à travers la lutte en la papauté et la royauté. A la Révolution française, cette émancipation

l’importance » à la chose s’oppose une relation qui consiste à considérer « simplement » les choses. Pour la première, le sujet juge de la chose en tant qu’elle lui importe. Il lui prête de l’intérêt pour les effets sensibles, techniques, politiques, moraux que peut produire cette relation. Pour la seconde relation, relation simple, relation à la chose considérée « simplement », le sujet se détache de l’importance qu’il pourrait accorder à la chose selon ce types d’effets. A distance de toute considération

première fois sur scène le 15 février, se qui fut un très grand succés. Cette pièce met en scène un jeune libertin, nommé Dom Juan, qui ne pense qu'à aimer les femmes, toutes si possible. Il n'a pas peur d'attaquer l'aristocratie comme le peuple, à la morale comme à la religion, et sa révolte va aller un peu trop loin. Pièce comique et à la fois tragique. Dans cette pièce nous allons étudier plus particulièrement la scène V et VI du dernier acte.Nous verrons quels sont les signes qui montrent la fin

élévation du débat en s’adressant à Dieu lui-même : célébration de la grandeur du Très Haut. Création d’un espace propice à la méditation et à la prière de la créature devant le Créateur  demande : (jusqu’à « s’enorgueillir ») demande de biens moraux dans un esprit d’humilité. Ton suppliant. Voltaire montre sa volonté fraternelle et récuse les biens terrestres et les apparences du monde  péroraison : (péroraison = après l’oraison = après la prière). Reprise de la prière c'est- à-dire la volonté

 Devoir de Philosophie " A quoi bon la conscience, si elle est superflue pour l’essentiel de l’existence ? " disait Nietzsche. La conscience est un appareil psychologique dont on distingue deux constituantes : la conscience morale , qui nous permet de juger de ce qui est bien ou mal , juste ou injuste , et la conscience psychologique , désignant la capacité de notre esprit à prendre connaissance de la situation . Dès lors, la conscience, comme tout autre organe devrait bien avoir un usage