Indifférence Morale

IFSI NEVERS LE QUESTIONNEMENT ETHIQUE ? Mais avant, quelques rappels ! Danièle AUGENDRE février 2015 ETHIQUE DU GREC ETHIKOS ETHOS MORALE MOEURS Les concepts en sciences infirimères ETHIQUE MORALE … QUELLE DIFFERENCE ? ETHIQUE BON ET LE MAUVAIS COMMENT VIVRE ? MORALE BIEN ET LE MAL QUE DOIS JE FAIRE ? DOCTRINE DE LA SAGESSE DOCTRINE DE LA SAINTETE CHEMINE POUR LA RAISON CHEMINE POUR L’OBEISSANCE CONSEILS, RECOMMANDATIONS CONNAISSANCES, DESIR COMMANDEMENTS, PRECEPTES DEVOIRS

créatrice de multiples interrogations morales qui pourraient troubler le bonheur de l'homme. De surcroît, les hommes se complaisent parfois dans l'illusion ou l'erreur. Ils n'ont, ainsi pas à affronter la réalité, les autres, le monde. Ainsi, lorsque rien ne nous pousse à vouloir une chose plutôt qu'une autre, en l'absence de raisons claires, notre liberté se manifestera par l'indifférence de notre volonté et l'arbitraire de notre choix. Mais cette indifférence, qui révèle un défaut de connaissance

priera pour lui, il déclenche la colère de Meursault. Après son départ, le condamné à mort finit par trouver la paix dans la sérénité de la nuit. Il s’agit donc d’un roman dont le personnage principal, mystérieux, n’est pas conforme aux canons de la morale sociale, et semble étranger au monde et à lui-même. Meursault se borne, dans une narration proche de celle du journal intime (l’analyse en moins), à faire l’inventaire de ses actes, ses envies et son ennui. Il est représentatif de l’homme absurde

ne peut plus rien pour l’homme, dans cette voie. Il suffit de regarder un tant soit peu autour de soi, de remarquer le monde qui se ferme, s’isole dans une bulle personnelle à chacun que nous croyons protectrice alors qu’elle n’est plus que indifférence… Les relations humaines et sociales deviennent moins humaines, plus « techniques », plus personne ne s’approche de personne, personne ne s’intéresse plus vraiment à personne… Les gens dans la rue ont tous la même allure, l’oreille vissé à leurs

Juan, joué pour la première fois en 1665. 15 représentations seulement, malgré le succès : on peut penser que Molière a été prié de retirer sa pièce qui est la seule à ne pas avoir été éditée de son vivant. Pièce évoquant le libertinage, mouvement moral et philosophique du XVIIème siècle prônant une indépendance d’esprit totale vis-à-vis des valeurs établies, qu’elles soient religieuses ou sociales. Présentation et situation de l’extrait : On a vu Don Juan par les yeux de Sganarelle (qui critique

plus je ne crois pas » Kérygme : Dieu est mort et est ressuscité. B) Athéisme 1) Définition : Refus conscient argumenté, attitude militante argumentée. Motivation intellectuelle. Si ce n’est pas argumenté : Croyance Si on s’en fou : Indifférence Si on doute : Scepticisme Tout est Dieu, Dieu en tout : Panthéisme Païen (terme de l’Antiquité) : Ceux qui ne sont pas touché : Paganisme Paganisme= Non chrétien mais attitude religieuse 313 : Début diffusion christianisme 3 grands arguments :

progresser aux dépens d'autre chose, d'empiéter sur quelque chose, d'envahir, * dépasser une limite, ou ses limites, d'aller contre ce qui semble naturel. Éthique et psychologie Transgresser, c'est en quelque sorte franchir le Rubicon éthique ou moral, ne pas respecter une loi, ne pas se conformer à des règles considérées comme acquises, intégrées et acceptées de tous, franchir une limite, une ligne interdite, le plus souvent sciemment, en remettant en question de manière virulente et parfois ironique

Camus, né le 7 novembre 1913 à Mondovi, et mort le 4 janvier 1960 à Villeblevin dans l'Yonne, est un écrivain, dramaturge, essayiste et philosophe français, Pied-Noir. Il fut aussi un journaliste militant engagé dans la Résistance et dans les combats moraux de l'après-guerre. L'œuvre de Camus comprend des pièces de théâtre, des romans, des nouvelles, des poèmes et des essais dans lesquels il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurdité de la condition humaine mais aussi sur

chose que par intérêt, que ce soit sous la forme immédiatement compréhensible de la recherche du profit matériel, ou sous les formes plus subtiles que peuvent revêtir la complaisance, et la vanité. Cette hypothèse revient en fait à concevoir la bonté morale à partir de la logique de l'échange, selon laquelle je consens à échanger un service ou un bien contre autre chose, dans le but d'en retirer un profit ou un avantage quelconque. Certes, il est incontestable que les hommes agissent parfois (et même

Néanmoins, si Platon théorise une cité idéale, il théorise également les causes éventuelles de la déchéance de cette cité «éclairée et juste», à partir des déviations morales des Hommes. Puis il évoque les régimes successifs qui naissent de ce processus de déchéance morale (vices) progressif. Platon développe une philosophie morale qui s’applique à l’organisation sociale et à la politique. Sa thèse principale est que le désordre et la tyrannie viennent de vices qui sont autant sociaux qu’individuels