Indifférence Morale

individus dans le tout commun. Il reste pourtant encore à expliquer en quel sens de tels groupes peuvent justement être dits primaires. Or, pour Cooley, les groupes méritent l'appellation "primaire" dans la mesure où ils servent à former les idéaux moraux de l’individu et, ultérieurement, à les renforcer dans la conduite de la vie (famille et groupes de jeu de l’enfance par exemple). Malgré cette qualité de l’analyse initiale, le groupe primaire ne devint pas, pour autant, un objet privilégié de recherche

même temps , l'orateur se tût, et faisoit mine de s'en aller. Les Athéniens l'arrêtent : on veut savoir le dénouement. 4. Démosthène : l'ombre d'un âne vous occupe, vous intéresse ; et les matières les plus graves, vous ne les entendez qu'avec indifférence , etc. ( Dan. Héinsius, Laus Asini sub initio. ) (9) Que ne demandez -vous ce que Philippe fait. Voici ce célèbre morceau : « Voyez jusqu'à quel point d'audace Philippe est parvenu.... Qu'attendez-vous pour agir ? La nécessité ? Eh ! justes Dieux

Dans la première partie de la lettre XI, le persan, Usbek s’adresse à Mirza, resté à Ispahan, en Perse, et lui raconte sous forme de mythe l’histoire du peuple troglodyte. Il tente de prouver alors qu’il n’existe pas de vie sociale sans vertus morales puis que l’insubordination et l’égoïsme entraînent l’anarchisme et tous ses maux. Montesquieu traite de thèmes essentiels à ses yeux puisque les analyses des différentes formes de pouvoir seront longuement développées dans l’œuvre de toute sa vie

usités au XVIII siècle dans les sociétés de pensée parmi tant d’autres comme Amitié, Charité, Sincérité, Union. Les maçons parlaient beaucoup surtout d’Egalité, un peu moins de Fraternité et montraient plus de tiédeur à la Liberté, et une franche indifférence à l’arrangement : Liberté – Egalité - Fraternité. Salut – Force – Union avait plus la côte à l’époque. Certains historiens pensent que la devise a pris naissance en trois mouvements correspondant à une époque distincte du processus révolutionnaire

combinaison optimale d’intérêt sans qu’il soit nécessaire de recourir à des impératifs moraux ni contrainte étatique. La pauvreté -qui tient lieu de profession de foi des religions- n’est pas considérée comme quelque chose de saint, comme quelque chose qui élève l’homme. Dans la conception du régime libéral elle exprime l’échec individuel. C’est ainsi que la morale d’action individuelle va remplacer la morale chrétienne du Moyen Age. Par essence concurrentes, ces deux notions peuvent s’avérer

la parole au vers 28. Le fabuliste utilise une histoire en vers pour mettre en scène un orateur, qui, confronté à l’indifférence de son auditoire dans une situation grave, utilise un apologue pour attirer l’attention de son public sur cette indifférence et sur ses dangers. Ainsi se trouve explicité, illustré et justifié le titre « Le pouvoir des fables ». On peut parler, avec cet apologue particulier d’une mise en abyme du fonctionnement de l’apologue : un récit et un enseignement inclus dans

Qu’est-ce que l’angoisse/le drame de l’existence ? * L’homme est « libre », ça l’angoisse. Il n’y a plus de Dieu, il n’y a plus de morale préétablie, plus de guide pour l’homme pour faire ses choix, il est seul et ne sait donc pas si ses choix seront bons ou mauvais mais il sera seul à les assumer. Cela provoque l’ « ANGOISSE ». L’homme doit créer sa propre morale, le chemin de sa liberté. Qu’implique la liberté ? La liberté implique non seulement des droits, mais aussi des devoirs : Droits

de victimes croît p.38-44 -changement du temps -Cottard -L’inquiètude de Rieux 5.Les réflexions de Rieux p.45-49 -Le refus de la réalité -Refus de caractère humaniste -Peste-souvenirs -Retour au réel 6.Joseph Grand p.50-55 -Portrait physique et moral 7.Le mal progresse p.56-71 -L’insuffisance des mesures -les craintes de Rieux -Un être ambigu : Cottard b. DEUXIEME PARTIE p.75-169 1.Premières consequences de l’état de peste p.75-84 -Les sentiments collectives -La separation et ses consequences

HUME, Enquête sur les principes de la morale. L'objet de l'Enquête est la détermination de l'origine véritable de la moralité. Quelle est l'origine des distinctions que nous faisons entre le bien et le mal, entre la vertu et le vice? L'Enquête peut être lue comme la réponse de Hume aux « selfish systems of morals », autrement dit aux morales de l'intérêt, de l'égoïsme, qui reposent sur l'idée d'un principe égoïste gouvernant la nature humaine, et nient l'existence du sentiment naturel de bienveillance

montrent un lien direct entre la décision et le domaine de la morale et de l’éthique, puisqu’en effet c’est par la décision conforme à sa préférence que se manifeste la volonté du sujet : le sujet se détermine libre de choisir son action. Par conséquent la décision du sujet se trouve dans le domaine moral et éthique du fait que son action aura une répercussion sociale. Ainsi la décision se trouve au cœur des considérations morales et éthiques, et c’est dans cette perspective que se pose le problème