Interprétation Juge Pénal

publics, règles relatives a la nationnalité, au succesion, aux personnes, ... ainsi quand matière de monnaie, matière fiscal , aux fonctionnaires. Elle fixe aussi les droits au propriètés, à la défence nationnal, aux crimes et aux délits, procédure pénale, aux droits du travail et à la sécurité sociale, le parlement vote également la lois de finance. b. Sanction Soit le gouvernement peut mettre fin aux actions du parlement si elle va dessus de son domaine limité. Si elle dépasse domaine législatif

d’argumentation en droit et du raisonnement juridique: •Interprétation littérale: interpréter la grammaire du texte. Mais attention: peut donner lieu à plusieurs interprétations. • Ex 1: Art. 13 Constitution: le président signe les décrets: est-ce de l’indicatif ou de l’impératif? •Interprétation téléologique: cherche la volonté de celui qui a édicté l’acte. Pour l’article 13, on aurait dû en faire une telle interprétation. •Interprétation fonctionnelle: on cherche à donner à une disposition juridique

tel, exclu de la succession :    1° celui qui est reconnu coupable d'avoir, comme auteur, coauteur ou complice, commis sur la personne du défunt, un fait ayant entraîné sa mort, tel que visé aux articles 376, 393 à 397, 401, 404 et 409, § 4, du Code pénal, de même que celui qui est reconnu coupable d'avoir tenté de commettre un tel fait;    2° celui qui est déclaré indigne parce qu'il a commis ou tenté de commettre un fait visé au 1°, mais qui, parce qu'il est décédé entre temps, n'a pas été condamné

conviction du juge serait ainsi la seul issue qui puisse permettre à celui-ci d’établir le bien-fondé de la preuve afin de responsabiliser le juge de tous conséquence qui découleraient dans son administration vis-à-vis de preuves. En analysant le rôle du juge dans l’administration de preuve pénale. L’étude en cours va montrer combien de fois le juge jouer un rôle indispensable en matière pénale, son rôle actif va permettre la constitution de la preuve dans une certaine mesure relaxer de juge. En d’autre

dualité s’entend par la séparation de l’ordre administratif et de l’ordre judiciaire. Dans un sens plus large, elle peut déterminer les juridictions au-delà des deux ordres en l’étendant aux juridictions civiles et pénales, aux degrés de première et de seconde instance, mais aussi au juge du fond et celui de cassation ou encore aux juges internes et internationaux. Symbole d’action différente, ils fondent tous une forme de dualité, tout point de vue confondu. Dans un souci de précision et de pertinence

que les juridictions locales appliquaient un droit coutumier. Une des caractéristiques de ce système est la méthode utilisée par les juges c'est-à-dire la règle du précédent. Le juge français recherche un texte dans le CC et l’applique au cas particulier. Le juge anglais va lui élaborer un droit jurisprudentiel. Ce juge doit rechercher les précédents donc les décisions de justices qui ont été rendus pour des cas similaires. Il a l’obligation de donner une solution identique à celle qui a déjà

article unique : « Défenses itératives sont faites aux tribunaux de connaître des actes d'administration de quelque espèce qu'ils soient, aux peines de droit. » Une interprétation littérale de ces textes aurait conduit à exclure que le juge judiciaire puisse trancher un litige impliquant l'administration. Mais, c'est une interprétation libérale - constructive - qui a prévalu. 1 - Les critères généraux du partage Il s'agit de deux couples de critères : 1. Gestion publique - gestion privée. L'administration

tenacité des propos prononcés contre les harkis. * Toujours sur le fondement de l’art 33, troisième moyen. Argument de la cour de cassation… Problème de droit : En considération du principe de légalité en droit pénal, le juge En considération du principe de légalité le juge peut-il combler les lacunes laissées par le législateur dans la mesure ou une infraction n’est pas assortie de peines ? 1 l’application du principe de l’égalité A dans la mesure ou une infraction n’est pas assortie

TD Droit pénal Séance 1 Dissertation : « Le déclin du principe de légalité criminelle » Malgré, le principe de légalité criminelle, aujourd'hui on constate que la loi n'est plus la seule source exclusive du droit pénal. Pourtant, le principe de légalité criminelle ou principe de légalité des délits et des peines est un principe qui exige que le système répressif soit organisé et fonctionne selon des règles édictées par le pouvoir législatif. Cela implique que la loi, qui doit émaner du

§2. Le droit et la moraleLes préceptes de la morale résultent de la conscience individuelle ou collective alors que les règles de droit résultent de la volonté étatique ou juridique. La morale exige en principe le respect du droit. Il arrive que le juge prenne en considération le degré de morale d'une personne dans son jugement. Les notions d'intention et de bonne foi sont également appréciées. La référence morale est donc présente. La morale scrute les consciences tandis que le droit se tient aux