Intertextualité

groupe social déterminé : l’honneur, le courage, la probité, le travail, le patriotisme…Cette thèse s’appuie également sur des références culturelles communes qui font naître une complicité propice à l’adhésion : jeux de mots, traits d’esprit, intertextualité, connotations, détournements, allusions…Le discours va se faire à la fois expressif et impressif, il va essayer de transmettre des émotions fortes, d’impressionner le destinataire pour agir sur lui.Le locuteur doit impliquer ses destinataires

l’esprit du lecteur, recourant à de très nombreux procédés rhétoriques. En ouverture, texte à opposer à la vision élogieuse de Sophocle, ou bien à rapprocher de la discussion de Micromégas avec le Saturnien, qui ont font presque une parodie (intertextualité).

puis 12 puis 24 donc la scène commence au moment le plus intense du conflit et évolue. Et Alceste arrive à 60 syllabes puis une tirade. Le conflit évolue mais la tension couvre toute la scène le vers 87 est en 3 partie. Mise en abyme vers 100 et intertextualité, renvoie à un autre texte. Texte marquer par l’impératif injonctif vers 3 et s’en sert pour couper la parole. Philinte cherche à comprendre 2 questions vers 1 puis retour du questionnement à un autre moment du conflit. Mais à la fin il passe

groupe social déterminé : l’honneur, le courage, la probité, le travail, le patriotisme…Cette thèse s’appuie également sur des références culturelles communes qui font naître une complicité propice à l’adhésion : jeux de mots, traits d’esprit, intertextualité, connotations, détournements, allusions…Le discours va se faire à la fois expressif et impressif,(=qui relève de l'impression et non de la réflexion) il va essayer de transmettre des émotions fortes, d’impressionner le destinataire pour agir sur

personnelle et libre qui sait son projet incomplet ou inachevé. Un essai se définit • par son domaine (histoire, économie, politique, science, pédagogie, art, littérature) • par son contexte (événements historiques, culturels, histoire des idées, intertextualité…) • par son sujet (thèmes principal et secondaires), sa thèse (ses prises de position), ses citations des thèses d’autrui pour confirmer ou préciser la sienne propre ou pour dénoncer les erreurs des adversaires… De ce fait, tout essai est

l’ancien temps. Mélancolie, sensible dans le rythme irrégulier du poème même, liée à l’Incomplétude inhérente à l’aspect fugitif de la musique. Toute la vision déroule en métonymie le sentiment exprimé par l’air “très vieux, languissant et funèbre” Intertextualité : synesthésies chez Baudelaire : le parfum suscite la vision d’une île. Vision flottante de “la femme [qu’]aime et qui (...) aime” Verlaine.

bord d’une catastrophe (qui arrivera à la fin de la pièce). Les grands personnages vont donner un certain prestige à la pièce. Intertextualité présente (idées puisées quelque part). Analyse d’extraits de Phédre : Tonalité tragique Sujet prisé dans mythologie = label de la qualité de la pièce (intertextualité) Personnages illustres = label de prestige (intertextualité) Intervention des dieux = souligne le rôle de la fatalité où quoi que fassent les personnages, tout finira mal. Fin catastrophique

que hante Du Bellay: ce lieu n'a aucune spécificité par lui-même; il doit donc se définir par sa seule réalité géographique ("la rive Latine") dont on comprend toutefois, par l'imprécision même, que Du Bellay cherche davantage à jouer sur les intertextualités (et se glisser dans les pas d'Ovide) qu'à informer avec justesse le lecteur. La "rive", en écho aux Tristes se charge des douloureuses connotations de l'exil et de la barbarie. Il faudra attendre le dernier tercet pour  que le seul déictique

scènes construisent le roman de Laferrière sur un intertexte, le présentant ainsi comme un écho des textes comme ceux de Beyala ou de Mabanckou. Cette intertextualité devient plus visible si l’on envisage d’analyser les clins d’œil que notre romancier fait à des grands noms des lettres mondiales. Toutefois, au-delà de cette intertextualité, la revendication principale du protagoniste de Laferrière n’est pas à associer à une quête identitaire corporatiste. Il s’agit plutôt d’un parcours individuel

du cinéma [2e édition], Paris, Armand Colin, 2008, p. 99. . Intermédialité Néologisme (années 1980) désignant la fonction des interactions entre médias différents dans la production de sens. Le terme a été forgé sur le modèle du terme « intertextualité », et comme lui, désigne des effets produits dans la rencontre, au sein d’une œuvre ou d’une production, entre divers champs médiatiques (cinéma et télévision, cinéma et photographie, par exemple). « Lorsqu’un média apparaît, il existe déjà