Kant Le Travail Et Le Jeu

montre dans le pouvoir : le jeu entre l’autorité et l’obéissance. L’action politique suppose l’usage de la parole. Le langage joue un rôle essentiel. La politique suppose toujours des conflits, des débats, des discussions, car si les hommes s’accordaient de façon naturelle, elle serait inutile. La politique n’est donc pas morale ni noble, elle vient d’une violence. L’action politique En parlant d’action, on suppose non pas une action technique comme dans le travail, mais une action sur autrui

Plotin ; Augustin ; Averroès ; Anselme ; Thomas d'Aquin ; Guillaume d'Ockham. • Machiavel ; Montaigne ; Bacon ; Hobbes ; Descartes ; Pascal ; Spinoza ; Locke ; Malebranche ; Leibniz ; Vico ; Berkeley ; Condillac ; Montesquieu ; Hume ; Rousseau ; Diderot ; Kant. • Hegel ; Schopenhauer ; Tocqueville ; Comte ; Cournot ; Mill ; Kierkegaard ; Marx ; Nietzsche ; Freud ; Durkheim ; Husserl ; Bergson ; Alain ; Russell ; Bachelard ; Heidegger ; Wittgenstein ; Popper ; Sartre ; Arendt ; Merleau-Ponty ; Levinas ; Foucault

 ». LaPhilosophie et la Science permettent, quant à elles,  d’aborder la question de l’organisation des connaissances.  La Philosophie permet d’organiser les concepts, elle n’a pas d’objet privilégié, pas de conclusion définitive. La Philosophie travaille sur les Concepts, qui sont des classes, ou abstraction d’objets, définis par extension ou par compréhension. Aborder un problème philosophique est une activité réflexive et critique, avec une multiplicité de réponses, et qui comprend une composante

quel qu’il soit, pour lui-même seul ». La notion de désintéressement est centrale dans l’attitude esthétique et est une notion fondamentale dans la philosophie Kantienne. Il existe une réelle tradition autour de cette notion. Plusieurs auteurs ont travaillé sur cette notion : G.Dickie, E.Kant, E.Bullough, J.Stolnitz et E.Vivas, j’ai choisi de m’intéresser à certains d’entre eux. Stolnitz commence par définir l’attitude esthétique avec le mot « désintéressé » par ce qu’elle n’est pas: ne pas considérer

nous assistons à une désacralisation des créations artistiques qui a pour effet d’effacer toute démarcation entre l’Art et le Non-Art. En exposant des objets fabriqués industriellement, ces artistes démontrent que la création est possible sans travailler la matière. En faisant de la vie quotidienne et du réel le nouveau terrain d’investigation artistique, ils contestent la finalité esthétique de l’art. De surcroît, le cercle fermé des arts classiquement reconnus ne cesse de devoir faire face à de

un ascenseur. De plus on peut aussi voir une perte de relation sociale comme a dit mon patron. On voit de moins en moins de gens sortir à l’extérieure, les parcs son presque toujours vides car les enfants peuvent maintenant jouer à toutes sortes de jeu sur internet ou autres (pas toujours les technologies de communication dans ce cas). En définitive, il est bien d’avoir du plaisir à communiquer mais la majorité des gens qui communiquent avec des cellulaires dérangent plus les gens aux alentours qu’ils

situation vécues quelconques et en tirer un enseignement qui lui soit bénéfique.  Lorsqu'elle se propose le désir comme objet, elle rencontre précisément une dimension de l'expérience humaine qui oppose par sa nature même une forte résistance au travail de la pensée, et qui le plus souvent échappe à son emprise : le désir surgit en l'homme selon ses lois propres, sa spontanéité est pour la raison morale toujours soucieuse de mesure et de modération, une source de turbulence inadmissible. C'est pourquoi

sentiment de la liberté dans le jeu de nos pouvoirs de connaître, lequel sentiment doit pourtant, en même temps, posséder un caractère final, que repose ce plaisir qui, seul, est universellement communicable, sans se fonder toutefois sur des concepts. La nature était belle lorsqu’en même temps elle avait l’apparence de l’art ; et l’art ne peut être appelé beau que si nous sommes conscients qu’il s’agit d’art et que celui-ci prend cependant pour nous l’apparence de la nature. »Kant ,

(illimités, irréalisables) vouent l’homme au manque donc au malheur. Entre les deux, les désirs naturels non nécessaires offrent des plaisirs bons en eux-mêmes, à condition qu’ils soient contrôlés. « Philosopher, c’est travailler à la santé de l’âme » : « il faut méditer les causes du bonheur ». Bonheur, nature, raisonEpictète , Manuel . Le bonheur comme absence de trouble de l’âme réside dans l’ acceptation de la nécessité

point de vue cosmopolitique de Kant Polycopié de Michèle Cohen-Halimi pour le cours LLPHI 614 Bibliographie : - J.-M. Muglioni, La philosophie de l’histoire chez Kant, PUF, 1993. - Du même auteur, un lectoguide sur le livre de Kant, 1981. Ces deux premiers livres sont utiles dans une première lecture. Pour un approfondissement, en revanche : G. Lebrun, Kant et la fin de la métaphysique, Armand Colin, 2003. F. Proust, Kant et le ton de l’histoire, Payot, Y. Yovel, Kant et la philosophie de l’histoire