Kant Le Travail Et Le Jeu

donné école…). Etymologiquement, se divertir, c’est aussi se détourner de quelque chose. C’est en ce sens que pour Pascal, le divertissement est un moyen de se détourner de l’idée effrayante de la mort pour oublier que l‘on est mortel, et donc le travail (dans lequel on peut s’étourdir et s’abrutir) devient paradoxalement un divertissement… L’art, dans la mesure où il est hors de notre quotidien, ne satisfaisant aucun besoin nécessaire (et donc inutile) et suscitant chez celui qui l’apprécie un

- UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES - FACULTÉ DES SCIENCES PSYCHOLOGIQUES ET DE L’EDUCATION Travail dans le cadre du cours Ethique et enseignement Professeur : Me Sabine Kahn Conférencier : M. Bernard Rey Master en Sciences de l’Education Année académique 2010 – 2011 Travail présenté par Marc De Brouwer Drôle de jeu Les faits se passent en septembre, au début de l’année scolaire 2010-2011. Je suis titulaire d’une deuxième secondaire constituée majoritairement de garçons : 16

L'art est-il un jeu? L'art est un moyen de communiquer et faire partager sa culture. Par exemple, l’art oriental prônes d’autres valeurs que l’art occidental. Malgré cela trop de gens délaisse et critique négativement un domaine qui leur est inconnu. L’art subit indirectement les progrès de la science entre autre qui elle, symbolise le progrès et l’unité universelle et qui est indispensable à l’Homme. L’art quant à lui ne joue pas un rôle pour l’Homme. On peut ainsi que l’art et accessible

expression a été employée par Kant dans son opuscule Sur le mal radical dans la nature humaine. Cependant, c’est plutôt Simone Weil qui entend la radicalité du mal au sens kantien, alors qu’à cette époque, Hannah Arendt en dépit de l’expression qu’elle utilise, mal radical, se trouve plus éloignée de la vision de Kant. Il faut donc préciser ce que signifie cette radicalité, à partir de laquelle se comprendra mieux la banalité qui constitue notre sujet. Chez Kant, le terme radicalité signifie

II- L’expérience en elle-même n’est donc pas susceptible de nous instruire réellement 1) Si l’expérience, entendue comme contact immédiat avec le réel, est l’origine de nos connaissances, suffit-elle à rendre compte entièrement de celles-ci ? (Kant, Critique de la raison pure) 2) L’expérimentation scientifique est-elle instructive ? (ib.) 3) L’expérience comme test des théories est une illusion (Duhem, La théorie physique, chapitre 6) Conclusion Conseils supplémentaires Introduction

est clair qu’en abordant ce problème, il se situe au sein d’une lignée de penseurs et de savants qui ont médité sur ce thème : Platon, Aristote, Saint Augustin, etc. L’apport de Poincaré est à considérer dans le prolongement des travaux de Newton, de Kant, de Wundt et de Mach ; il est contemporain des contributions de Bergson, de Husserl et d’Enriques. Plutôt que de voir comment toutes ces approches s’accordent ou s’opposent au sujet des recherches d’Einstein en théories de la relativité, il est sans

  Nul besoin d’être cultivé pour apprécier une oeuvre d’art car ma sensibilité propre me suffit pour que j’exprime mon plaisir ou mon déplaisir face à elleLecture du texte de KantLa thèse de Kant est simple : il n’y a pas de preuve déterminante qui puisse influencer mon goût. Le critique d’art aura beau jeu de m’expliquer que je devrais aimer Narcisse de Le Caravage en raison de sa maîtrise du clair-obscur ou Tragédie d’une trajectoire de Casey car les paroles sont bien écrites, que le flow est bon

que penser par soi-même. Ce qui est mis en jeu avec ce sujet est au fondement de la philosophie elle-même puisque, ne pouvons nous pas dire que philosopher n’est qu’’’une certaine manière de penser ? On se laisse ici conduire, mener, par la majorité. Dans un premier, le fait de penser seul va être développé, suivis de la manière dont penser seul c’est aussi penser grâce aux autres et enfin, les obstacles de la pensée solitaire. Comme le dis Kant dans La critique de la faculté de juger, le fait

L'art est-il un jeu ? INTRO Dans le domaine de l'artistique, il y a dans le monde beaucoup de moyens de façonner une œuvre d'art. Mais l'art ne se résume pas obligatoirement à aboutir à une œuvre, à un résultat qui prend une valeur esthétique, qui recherche le beau ou qui nécessite un dur labeur. Pour certains, l'art est un métier, un objectif, une façon de vivre, pour d'autres ce n'est qu'un désir, un divertissement, un jeu. Mais le jeu lui même est un concept divertissant, qui tend à être limité

il le fait toujours devant ceux qui croient savoir, s’être lui-même trouvé ridicule de ne pas pouvoir répondre à cette question. Celle-ci, devenue avec Platon, la question philosophique par excellence, est nécessairement celle de l’élève qui doit travailler une année sur la beauté ! On saisira alors que le but de Platon n’est pas de chercher, comme le fait Hippias ou l’élève naïf, dans l’expérience « ce qui est beau » mais « ce qu’est le beau », c’est-à-dire son essence (on se méfiera donc durant l’année