Kant Utilitarisme

Les opinions varient et sont susceptibles d’évoluer sur la question de savoir quelle est la nature juridique de la société. La société repose sur un acte fondateur qui se prolonge normalement par l’acquisition de la personne morale au moyen d’une simple formalité administrative qui est l’immatriculation de la société au registre du commerce et des sociétés. Pour certains auteurs, la société est un contrat. L’accent est mis sur l’autonomie de la volonté des associés dans la mesure où l’organisation

conduisent à une certaine satisfaction dans l'homme, mais peuvent-elles lui donner le bonheur parfait ? Ces morales eudemoniste n'ont pas resiste a la critique de Kant pour lequel l'exigence d'une vie morale et tout autre chose que la recherche du bonheur II] Le but de la morale n'est pas le bonheur mais «l'estime raisonable de sois» Pour Kant, le bonheur n'est pas de l'ordre du bien-être physique mais il est de l'ordre de l'estime raisonnable (morale) de soi. l'inadaptation de l'homme et sa vocation

à fait libre de ses choix ? Autrement dit, l'homme possède-t-il une capacité arbitraire exempte de toute influence extérieure ? « Tu dois, donc tu peux. Une volonté libre et une volonté soumise à des lois morales sont une seule et même chose. » Kant Ce que nous prenons pour une liberté de choix en fait le résultat d'un déterminisme à la fois social (décrit par Bourdieu, c'est à dire que la société prime sur l'individu. Autrement dit, plus que de choisir pour son intérêt personnel et selon ses

culturel. Une fois assemblés, des lois sont nécessaires pour éviter ce que Hobbes décrivait comme la guerre de tous contre tous, résultat du droit sur toutes choses qu’a naturellement tout être avant tout contrat social. Etrange nature humaine, notait Kant, naturellement sociable et insociable. Mais entre les Etats, la règle est l’insociabilité. La guerre et l’absence de relations diplomatiques n’empêchent en rien l’existence autonome des Etats. Le droit international est donc différent en nature du

mesure où il redonne de la force à la morale, il semblerait qu'à faire de l'action morale un simple moyen en vue d'une fin qui lui serait supérieure en dignité, on ôte à cette dernière toute son essence. Si l'on se réfère à la philosophie morale de Kant, la morale ne peut être un marche-pied en vue d'autre chose, la morale doit être elle-même la fin en soi. Il semblerait alors qu'à n'être moral que par intérêt , on ne le soit, en réalité, pas. Mais s'ouvre alors une autre difficulté, si l'on ne peut

de dignité, car ces deux concepts sont fondamentalement différents. Le second désigne plutôt un titre, une position, qui caractérise un individu et lui accorde une certaine autorité, une haute distinction honorifique. Cependant, le premier, depuis Kant, est le principe selon lequel tu dois toujours agir en fonction de traiter toute autre personne comme une fin et jamais comme un simple moyen. Cette dernière à été introduite dans la « déclaration universelle des droits de l’homme » en 1948 qui reconnait

l’utilitarisme du philosophe Jeremy Bentham appuyant l'euthanasie, dans un deuxième temps un argument David Hume, un contre-argument d'Emmanuel Kant basé sur la raison et le respect de la dignité humaine. Pour conclure, je réfuterai l'argument de d'Emmanuel Kant et je donnerai ma position sur la légalisation de l’euthanasie. Argument d'Emmanuel Kant basé sur la raison Kant se base sur le principe d’universalisation l’impératif catégorique. Ce théorie dit que nous devons agir uniquement quand nous voulons

de la morale décrits précédemment : - le questionnement, la réflexion sur les normes ou les règles de conduite, l’analyse des valeurs, la réflexion sur les fondements de l’obligation ou des valeurs. - la systématisation de la réflexion : éthique de Kant, de Heidegger, chrétienne… - la pratique concrète et la réalisation des valeurs (ex. qualification du comportement comme conforme ou contraire à l’éthique). I.4 Ethique et morale comme termes distincts Même si étymologiquement, les deux sont synonymes

nous possédons un raisonnement pratique et que nous sommes à même d’appliquer un processus de réflexion afin d’arriver à prendre une décision juste et éclairée. Nous prendrons chacune des propositions énoncées plus haut pour appliquer le processus de Kant et déterminer quelle piste d’action est la plus éthique selon cette perspective. Pour appliquer la perspective Kantienne à la proposition A, soit de placer l’enfant, il faut commencer par voir quelle est l’intention derrière l’action. Dans cette situation

Exercices de révision EN CLASSE (cours 1 à 6) QUESTIONS CAS 1 : Un téléphone pas très intelligent Qs 1.1 : Lors de sa décision de ne pas remplacer le téléphone de Marie-Claude, est-ce que le commerçant est confronté à un dilemme éthique? Justifiez votre réponse. Qs 1.2 : Est-ce que Marie-Claude peut accuser le commerçant d’avoir adopté un écart de conduite? Si oui, lequel ou lesquels? Justifiez votre réponse. Qs 1.3 : Est-ce que la décision du commerçant de refuser de remplacer