L Approche Japonaise En Gestion Des Operations

équipements : bâtiments, machines, outillages Des matières : matières premières, composants Des informations techniques (gammes, nomenclatures), ou des informations concernant l’état du système productif (ce qui permet de programmer la production) La gestion de la production a pour objet la recherche d’une organisation efficace de la production des biens et des services Les différents types de décision : Décisions stratégiques • Cela concerne la politique à long terme de l’entreprise (> à 2 ans), vision

méthodes de production de Honda que l'auteur explique la capacité de Honda d'organiser sa production au niveau mondial. Tout au long de l'ouvrage, A. Mair souligne que la vision "dualiste" qui tend à opposer la production de masse à la production "à la japonaise" 1 est contre-productive et défend l'idée que 1A la manière de l'ouvrage: The machine that changed the world (J. Womack et al., Rawson Associates, 1990). 72 Actes du GERPISA n°13 la force de Honda est souvent de réussir a concilier deux

 Approche systémique de l’entreprise I- Définition Nouvelle discipline qui permet de déchiffrer la réalité complexe qui nous entoure, pour tenter de mieux la comprendre et, le cas échéant, d’agir sur elle avec plus de pertinence. L’approche systémique représente à la fois un progrès de l’épistémologie (philosophie de la connaissance) et l’apparition d’une « boîte à outils » intellectuels mieux adaptés que les concepts de la logique cartésienne pour penser la « complexité organisée », celle des

Université de Poitiers Laboratoire CEREGE La multidimensionnalité en Sciences de Gestion Application au contrôle d’une filiale à l’étranger et au comportement d’achat d’un produit de l’enfant Mémoire présenté en vue de l’obtention de l' Habilitation à Diriger des Recherches en Sciences de Gestion par Johannes Schaaper Maître de Conférences à l’I.A.E. de l’Université de Poitiers 10 janvier 2007 Jury : M. Bruno Amann, Professeur à l’Université de Toulouse III - Paul Sabatier, rapporteur M

éléments primordiaux. Le MITI, Ministère de l’Industrie et du Commerce extérieur, a pour rôle d’informer et conseiller les entreprises et encourage la recherche. La banque du Japon. Le Ministère des finances qui établit le budget, contrôle les opérations financières et boursières et prélève les impôts. En ce qui concerne l’économie, elle est caractérisée par un dualisme efficace entre les groupes dominants qui sont les Keiretsu et le Matelas des PME, ces derniers étant les sous- traitants des

commenté, l'apport de Fujio Mitarai au renouveau du capitalisme nippon a été considérable, au même titre que celui de Toyota. Son approche pourrait se résumer en trois points qu'il partage maintenant avec nombre de ses compatriotes et qui définissent une forme de modèle japonais. 1. Le compromis entre la discipline financière anglo-saxonne et la philosophie japonaise de l'entreprise. Après vingt-trois ans passés à la tête de la filiale américaine, Mitarai avait les idées claires quant à la stratégie

1. Généralités La gestion stratégique de l’E est généralement définie comme couvrant deux domaines essentiels : - La composition du portefeuille de produit et la définition des segments de marchés visés. - L’appropriation et l’utilisation des ressources financières. De fait, la stratégie se traduit par une mise en évidence des fonctions financières et marketing au dépend d’autres fonctions de l’organisation (Ex : la gestion de la production). L’intérêt des manageurs est

la fiabilité et à la maintenabilité. L'émergence de la qualité comme facteur stratégique de la croissance, voire simplement de la survie des entreprises, s'inscrit dans un mouvement qui a débuté dans les années 30. Les succès de l'industrie japonaise, à partir des années 80, ont rapidement imposé la constitution des cercles de qualité. Mais cette recherche affirmée de la qualité « totale » a incité, en retour, le consommateur à ne plus acheter pour le seul plaisir d'acheter, à choisir ses produits

terme « Lean », veut dire : « amaigrissement », utilisé pour la première fois en 1987 pour qualifier les méthodologies de gestion d'entreprise développées au Japon, dont la réalisation la plus aboutie est le Toyota Production System. Or ; « amaigrissement » est souvent interprété en Occident comme « dégraissage des effectifs », alors que l'esprit des méthodologies japonaises lui donne le sens de réduction de l'ensemble des gaspillages : Temps d'attente Traitements inutiles, Stocks intermédiaires

enchevêtrés et des opérations industrielles et commerciales souvent interdépendantes. Leur originalité repose, selon nous, sur le caractère à la fois horizontal et vertical, intra- et interorganisationnel, formel et informel des relations établies entre leurs membres. Il en résulte des réseaux hybrides d’entreprises qui donnent aux entités conglomérales de nombreux avantages concurrentiels face à leurs rivales étrangères. Bien que les keiretsu représentent moins de 0,01 % des compagnies japonaises, ils totalisent