L Image Ment Elle

chose de stupide. Jérôme Dumaine, qui a été manager au sein de plusieurs banques, raconte ainsi : « On reste assis là, l’air embarrassé, comme si on venait tous d’arriver dans un camp nudiste. » Participer à ce genre d’activité est particulière- ment difficile pour les personnes introverties. « Lors des séances de brainstorming, observe un manager, j’ai du mal à faire contribuer tous les membres de mon équipe. Je me rends bien compte que les plus discrets trouvent parfois des idées qui comptent

aimeriez-vous voir chez McDonald’s ? » “Aimeriez-vous trouver des produits plus sains pour la santé ?” “Pourquoi aimeriez-vous retrouver [le produit proposé par le rep] chez McDonald” “Si ce produit était mis en place, viendriez-vous plus fréquem- ment chez mcdo ? Est-ce que ça changera vos habitudes de con- sommation là-bas ? Break dans l’entretien, on propose nos différentes idées de produits Connaitre leurs avis sur ces produits Thème n°3 : Propositions de nouveaux menus « Quel type

2ème partie : arguments (réponse aux contre-arguments) Argument i : Possible de faire passer du vrai pour du faux et invers. -> art permet cela. => Mensonge peut faire comprendre la vérité. Exemple i : Théâtre -> acteur est et n’est pas. - Il ment, mais toutes les pièces de théâtre sont des représentations ou des critiques de la réalité, de la société. - Souvent comiques -> nous nous sentons moins concernés P.ex. Bourgeois Gentilhomme de Molière : M. Jourdain tente grossièrement de gagner

Allégorie: Figuration d’une abstraction (exemples : l’Amour, la Mort) par une image, un tableau, souvent par un être vivant. Antiphrase: Procédé qui consiste à exprimer une idée par son contraire. L’ironie repose souvent sur l’antiphrase. Ainsi, « Tes résultats au bac sont vraiment exceptionnels ! » dans le sens de « Tes résultats au bac sont vraiment catastrophiques. » est une antiphrase. Antithèse: Une antithèse est un procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, deux expressions, deux

s’éloigne des cercles littéraires de la cour et écrit des poèmes d’une opacité formelle extrême, de sorte à pouvoir mépriser à son tour ceux qui ne par- viennent à saisir le sens de sa poésie. Ce faisant, le poète cordouan présente dans ses textes une image de lui assimilable à celle du poète maudit, génial, mais en marge de la société qui ne le com- prend pas. L’œuvre gongorienne sombre progressivement dans l’oubli. Ce n’est qu’à partir de 1927 qu’elle suscite à nouveau l’intérêt de certains

social » engagé dans des projets collectifs et conscient des enjeux anthropo-sociaux des pratiques quotidiennes ; 6. une « personne » en relation et en développement de soi. rience Un paradigme, en éclairant le réel à sa manière, ne permet générale¬ ment d'approcher qu'une part de la réaUté. Selon les paradigmes adop¬ tés, non seulement les perspectives sont différentes (on voit les choses autrement), mais surtout les modes d'action diffèrent (on fixe d'autres objectifs, on choisit d'autres stratégies)

possible. Descartes écrit dans sa seconde maxime du discours de la méthode qu’il faut «être le plus ferme et le plus résolu en mes actions que je pourrais». Dans ce passage Descartes utilise comme métaphore des voyageurs perdus en forêt. Grâce à cette image il nous invite à choisir une direction et à s’y tenir, il faut faire preuve de volonté ferme et cela même dans les situations les plus douteuses. Malgré l’incertitude de la situation, il faut choisir une direction comme si nous étions certains, sans

la nature qu’ils introduisent le lecteur dans un monde poétique où l’homme semble ne faire qu’un avec le cosmos. Cet extrait de roman en somme relève en grande partie de la poé- sie. Nous allons donc étudier la manière dont Sylvie Germain crée une image poétique et légen- daire des neuf personnages qu’elle présente ici. Nous le ferons en suivant le mouvement du texte  : nous verrons tout d’abord pourquoi ces hommes nés des forêts introduisent à une sorte d’union mystique avec la terre ; nous verrons

transmission du savoir scolaire (ibidem, ch. 11), ou le caractère visible ou invisible des péda- gogies (1975b, 1992). Ces réflexions et questionne- ments invitent à étudier, dans l’ordinaire des classes, les modalités concrètes des pratiques d’enseigne- ment et d’apprentissage. Ils invitent également à éla- borer une problématique que l’on pourrait qualifier de trans- ou d’infra-didactique et à établir des rapports renouvelés entre sociologie, psychologie et didac- tique (Johsua et Lahire, 1999 ; Rochex

qu’en particulier, si α = 0, alors ∂ α est l’op´rateur identit´. Avec ces e e notations, il serait naturel de noter ∂u le n−uplet de fonctions (∂1 u, . . . , ∂n u) quand u est une fonction diff´rentiable. Mais, nous utiliserons la notation e plus commun´ment employ´e (par les physiciens surtout) suivante : e e ∇u = (∂1 u, . . . , ∂n u) et nous appellerons ∇u le gradient de u. Introduction. 3 En ce qui nous concerne, un champ de vecteurs sur un ensemble Ω ⊂ Rn sera simplement une fonction ` valeurs