L Indémontrable

moral (ce n’est| |pas un pantin), le partisan de la liberté se sait déterminé par sa condition sociale ou les besoins naturels. | |L’explication de la liberté est trop courte pour notre expérience. Tout cela est indémontrable par l’expérience. | | | |[pic]

à leur tour être démontrées… Il nous faut donc remonter sans cesse, de prémisses en prémisses. Il nous faut donc une idée de départ, que nous considérerons comme vraie, sans l’avoir démontrée. Ces idées, appelées axiomes, sont des propositions indémontrables car évidentes et admises comme un point de départ d’un raisonnement, en particulier en mathématiques. Aristote écrivait à leur sujet dans Métaphysique « c'est de l'ignorance, en effet, que de ne pas distinguer ce qui a besoin de démonstration

concluante, sans commettre une « pétition de principe ». De sorte que l’impossibilité de tout démontrer n’est pas seulement une impossibilité de fait, liée aux limites de nos capacités, mais une impossibilité de droit, liée à la condition, par principe indémontrable, de toute démonstration. Mais peut-on réellement admettre, sans renoncer à l’objectivité de tout savoir, l’impossibilité absolue de « démontrer » les principes- mêmes de la démonstration ? Cela ne repose-t-il pas sur une conception trop étroite

cartésienne dans la mesure où il situe la problématique de sa démarche) *raison : La raison est un concept central de la philosophie cartésienne. *Principes : Ce qui est premier du point de vue de la connaissance, soit à titre de proposition indémontrable posée au fondement d'une déduction ou de développement d'une théorie, soit à titre d'hypothèse explicative fondamentale. *Précepte : On voit bien qu'il s'agit ici, de convenir de la meilleure manière de conduire la raison. Il s'agit de préceptes

il lui reste la possibilité non de se dire, mais de se vivre. * Nous savons maintenant que l’identification de ce qui est vrai et de ce qui est démontrable n’est pas soutenable, ainsi que Pascal nous l’a montré. Il y a en effet des vérités indémontrables ou dont l’évidence rend inutile voire ridicule d’essayer de les prouver; nous avons aussi appris de lui que les raisonnements, quel qu’en soit l’objet, repose sur des principes qui ne peuvent être établis par leur moyen, la vérité de toute démonstration

La VéritéDouter, est-ce renoncer à la vérité ?Si nous définissons la vérité comme l’adéquation entre l'esprit et la réalité et le doute comme un état d'incertitude qui se traduit par le refus d'affirmer ou de nier ; peut-on dire que douter est-ce renoncer à la vérité ?Mais douter ne serait-il pas par ailleurs un moyen d'accéder à la recherche du vrai ?Pour répondre à cette problématique, nous analyserons dans une première partie la volonté d'accéder à la vérité puis nous aborderons l'attitude sceptique

empêchés d’avancer dans un raisonnement faute de savoir des éléments. Il palie ainsi aux manques de connaissances et permet en les comblant, de mener un raisonnement. Le raisonnement scientifique est basé sur des « axiomes » qui sont des vérités indémontrables qui doivent être admises. Elles permettent de mener ces raisonnements et de tirer des conclusions logiques. Cependant, ces axiomes ne sont pas démontré par une réflexion initiale, dès lors nous pouvons les qualifiés de préjugés. Et ces préjugés

des circularités logiques (par exemple ici : sur la présupposition que le monde aurait pu ne pas être). Peut-être doit-il en aller nécessairement ainsi de toutes les prétendues preuves de l'existence de Dieu ; mais alors, si cette existence est indémontrable, suffit-il d'affirmer que la raison humaine ne peut pas tout démontrer, et qu'il faut faire confiance à ce que la Révélation nous indique ? Que vaut cette révélation, en effet, si rien ne vient soutenir notre croyance en l'existence de son auteur

choses, ou que la démonstration devient vite subjective, et qui donc n'en n'est pas une. Nous nous demanderons alors pourquoi ne peut-on pas tout démontrer? Cette question suppose donc qu'il y a des idées démontrables, mais aussi des idées indémontrables. Il s'agit alors de nous demander quelles en sont les causes, comment se fait-il que nous ne soyons pas capables de tout démontrer? Nous pouvons d'abord nous demander qu'est ce que signifie démontrer? La démonstration est d'ordre rationnel. Elle

dans l’Émile, qui présente au contraire l’illusion comme un grand danger, source des plus grands maux… cf. émile de Rousseau, p. 130 sur Googlebooks, je t’enverrai la citation si tu ne la trouves pas). * La présence d’un être suprême, indémontrable, est ici considérée comme vraie (oui : c’est normal !) * Il manque ici un titre * Il serait possible d’objecter que l’illusion peut-être ressentie tout à fait autrement. Mais encore ? * Certains objets soulèvent un désir