L Injustice Nietzsche

mère et sa grand-mère, influence de son oncle Acault (homme cultivé, anarchiste, voltairien) • Influence de Louis Germain (aide à l’obtention d’une bourse), découvre la philosophie au lycée, influence de Jean Grenier (découverte de la philo. De Nietzsche), obtention bac en 1930, Atteint de la tuberculose santé fragile • 1934 : épouse Simone Hié (séparation 2 ans plus tard) • 1935 : fondation « Théatre du travail », adhère parti communiste (arrêt en 1937), fidélité au monde ouvrier • 1940

croire que la passion amoureuse était folie et que l’amitié, elle, était par contraste la voie de la sagesse et du savoir 1. C’est cela qu’il faut essayer de préciser. Par-delà le droit de propriété Dans Le Gai Savoir (1882-1887), Friedrich Nietzsche développe un très curieux et très puissant court traité de l’« amour » (ou du moins de ce que l’on nomme ainsi, de ce que notre époque continue très certainement et trop souvent de nommer ainsi). Il y dénonce l’« amour » conçu comme un droit de propriété

du déclin de la civilisation grecque, et ainsi de suite : peuples apparaissent et disparaissent  mouvement dialectique). MARX instaure cette pensée au niveau de la structure matérielle (économie)  histoire s’explique par la lutte des classes. NIETZSCHE : « La guerre est la mère de toute chose » : signe de purification, de renaissance, de vie. Sans guerre, l’homme tombe dans le nihilisme. Le « cosmos » représente le monde. Le « macrocosme » est composé d’une infinité de « microcosmes » (ex : univers

n’ont pas bénéficié de la liberté d’expression qu’on possède aujourd’hui. Ils ont donc fait passer leurs pensées dans leurs œuvres par l’intermédiaire de l’humour. «L’homme souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire » a écrit Friedrich Nietzsche. C’est le cas de Molière qui à dénoncer certains traits de la société de son époque dans ces pièces de théâtres notamment dans « l’Avare ». L’humour a permis de critiquer à différents niveaux : _au niveau social, exemple : « L’esprit des lois

travers cette phrase que toute œuvre d’art est belle, bien qu’elle ne représente pas nécessairement quelque chose de beau. La beauté de l’œuvre tient davantage de la façon dont l’artiste la perçoit et la reproduit que de sa beauté réelle. Selon Nietzsche, « l'art doit surtout et avant tout embellir la vie ». Il rejoint dans ce sens la philosophie de Kant, qui décrit l’art comme une belle représentation de la réalité. L’acte artistique a comme finalité la beauté en elle-même, il ne peut donc que la

L’ordre n’est pas du au hasard. « Dieu ne joue pas aux des » « La religion est l’opium du peuple ». Marx En promettant un monde meilleur dans l'au-delà, avec pour seule condition de se plier au dogme, le croyant est conditionné à subir les pires injustices ici-bas. dénué de raisonnement critique, plongé dans un onirisme fantasmagorique d'un futur bonheur selon la dose de soporifique religieux, qu'il est en mesure d'assmiler. Elle donne des paroles réconfortantes et la promesse d'un bonheur futur

action chez SPINOZA ( > Texte à ce propos dans le Dossier « Textes philosophiques » ) par la connaissance rationnelle des « causes véritable ». « Sublimation » ( FREUD ) – « Catharsis » ( ARISTOTE et la Tragédie ) – « L’art contre la vérité » ( NIETZSCHE ) > concernant la position nietzschéenne, voir appendice du présent cours. c) Des apologistes des passions Au XVIIIe siècle, on prétendait avec HELVÈTIUS, que rien de grand ne se fait sans passion : « Elle joue dans le monde moral, le rôle que

toute religiosité. On admet aisément aujourd’hui qu’une compréhension religieuse du monde n’est pas nécessaire pour que l’existence trouve un sens et les règles de la vie leur fondement. On peut être athée, vertueux et heureux. C’est en ce sens que Nietzsche peut affirmer que « Dieu est mort » - (Voir aussi l’émergence de la notion de laïcité). Mais, il serait absurde et dogmatique de dénier toute légitimité à la religion... Eviter un rejet réducteur des religions. 3. La religion a

but de s’indigner n’ont malheureusement pas les résultats convoités. Autrement dit, notre société est trop axée sur la possession de biens, et les usagers de notre planète sont peu consciencieux des problèmes qui font surface. Selon Nietzsche, une des grandes injustices de notre monde est de croire que tous ont les mêmes droits. La réalité exprime que le capitalisme prône en quelque sorte une hiérarchie sociale, économique et politique. Cette inégalité au niveau des droits de la personne occasionne

nous amène à la première partie: I/ « J’aime mieux une injustice qu’un désordre » Goethe Mais le droit est une matière changeante, en fonction de l’époque, de la société, du gouvernement. Aucun droit de ce fait n’est fixe: s’il est naturel il évolue en fonction des mentalités des mœurs, s’il est positif il évolue en fonction des régimes qui se succèdent. II/ La force de la conscience face à la loi I - « J’aime mieux une injustice qu’un désordre », Goethe. a. Le rôle de la loi Par