L Injustice Nietzsche

Théodicée augustinienne 3.5 Les Présocratiques 3.6 Platon et néoplatonisme 3.7 Stoïcisme 3.8 Épicurisme 3.9 Cyrénaïsme 3.10 Gnosticisme 3.11 Spinoza 3.12 Leibniz 3.13 Kant - Définition du mal 3.14 Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling 3.15 Nietzsche 3.16 John Rawls - Théorie de la justice 3.17 Norman Spinrad 3.18 Marxisme 3.19 Michel Henry 4 Source du mal 5 Le problème du mal et la croyance en Dieu 5.1 Différentes conceptions de Dieu 5.2 Différentes conceptions du mal 5.3 Difficultés

qu’il est impossible de la traiter sans faire appel à lui ! Auteurs Notions au programme ANTHROPOLOGIE, MÉTAPHYSIQUE,  PHILOSOPHIE Platon. Aristote. Épicurisme. Le stoïcisme. Le scepticisme. Descartes. Pascal. Leibniz. Diderot. Kant. Hegel. Marx. Nietzsche. Freud. Husserl. Bergson. Heidegger. Sartre. Merleau-Ponty. AUTRUI Platon. Aristote. Le stoïcisme. Pascal. Spinoza. Leibniz. Rousseau. Freud. Husserl. Heidegger. Sartre. Merleau-Ponty. BONHEUR (LE) Platon. Aristote. Épicurisme. Le stoïcisme. Le scepticisme

la joie. De même que l’obole faite au mendiant ne lui fait que mieux sentir le poids de sa misère, de même la satisfaction ne fera qu’aiguiser le sentiment de souffrance qui accompagne les désirs à venir. L’économie du désir est injuste et cette injustice est ontologique (attaché à l’être même), étant entendu que nul ne peut s’en départir, que désirer est le lot de notre condition. L’hypothèse cartésienne du « malin génie » est soudain vérifiée pour qui interroge l’expérience du désir : car quel signe

AINSI PARLAIT ZARATHOUSTRA NIETZSCHE Le prologue Comparaison avec le soleil, Z (Zarathoustra) qui était ermite, doit descendre parmi les hommes, comme le soleil descend dans les profondeurs. Rencontre avec un vieillard, qui affirme que les hommes sont imparfaits, c’est pourquoi il ne les aime pas, et loue Dieu. Z veut apporter la sagesse aux hommes et leur faire un cadeau (nouveau Prométhée ?) quand il a quitté l’ermite, Z déclare « dieu

le chat joue avec la souris avant de la dévorer. Ce sont donc ces forces destructrices, ces forces du chaos qui menacent sans cesse le cosmos humain : cette dualité rejoint la dualité entre les forces dionysiennes et apolliniennes qui est selon Nietzsche à la source de la tragédie. ❖ Exemple d’introduction rédigée : Dès l’Antiquité est apparue l’idée selon laquelle la nature humaine et la société progressent grâce au développement de la raison, le logos grec, qui est considéré comme

photographie et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Sa mère, d'origine espagnole, est sourde. Albert fait ses études à Alger, encouragé par ses professeurs dont Jean Grenier - qui lui fera découvrir Nietzsche - et, auparavant l'instituteur Louis Germain qui fera en sorte qu'il puisse aller au Lycée. Il gardera une grande reconnaissance à celui-ci et lui dédiera son discours de Prix Nobel. Il déclame dans celui-ci un mot qui restera célèbre : "Ma patrie

joie. De même que l’obole faite au mendiant ne lui fait que mieux sentir le poids de sa misère, de même la satisfaction ne fera qu’aiguiser le sentiment de souffrance qui accompagne les désirs à venir. L’économie du désir est injuste et cette injustice est ontologique (attaché à l’être même), étant entendu que nul ne peut s’en départir, que désirer est le lot de notre condition. L’hypothèse cartésienne du « malin génie » est soudain vérifiée pour qui interroge l’expérience du désir : car

les biens que nous avons pu retirer de la vie, nous les confions à d'autres, dans un souci d'équité et de justice : ultimement, nous faisons le bien avec nos biens – mourir n'est rien ; ce qui serait tragique, ce serait de mourir en commettant une injustice, ou en manquant une dernière occasion d'être bon. L'approche de la mort dissipe la confusion que l'intérêt introduit dans l'esprit : celui qui devient aveugle à la concupiscence, à l'envie, à la vanité du désir de plaire et d'être aimé, celui-là

régime par la crainte : le peuple vit ainsi dans la peur, l’Etat se substitue à la société et il contrôle tout, la vie privée est supprimée, ce qui supprime la liberté. Cette idée est reprise par Tocqueville dans De la démocratie en Amérique. Pour Nietzsche, « L’Etat incarne le mensonge et s’est retourné contre la vie » ; pour lui, l’Etat prétend s’identifier au peuple, mais en réalité il veut le détruire pour dominer les autres (Ainsi parlait Zarathoustra) ; il détruit les coutumes et lois, marques

autrui pour vivre en collectivité. C’est un instrument de socialisation et de normalisation, à savoir a la négation de l’individu mis au service de l’espèce. Une pensée individuelle, singulière et non grégaire est forcément inconsciente , selon Nietzsche. La conscience morale, c’est la rencontre avec « l’autre » ,la prise de conscience que je fais partie de l’humanité, que je la porte en moi, comme « l’autre », mon alter ego. Le visage de l’autre est une relation éthique immédiate. Cette peur