La Contradiction Du Relativisme

toujours en danger de tomber d'un côté ou de l'autre. Celui du dogmatisme, d'une part, c'est-à-dire la prétention à la valeur absolue de son jugement, sur des fondements objectifs qui devraient pouvoir s'imposer à tout esprit rationnel, celui du relativisme, d'autre part, l'affirmation restrictive de la subjectivité. » (p.10) 1HOEK, Leo., janv. 2001 : Titres, toiles et critique d’art : déterminants institutionnels du discours sur l'art

présente, ou à tout de moins se demander si des alternatives sont possibles. Comme le souligne Maryse Souchard, le populisme « manipule ceux qui sont désorientés par l’effective complexité de leur environnement » Mais cela crée ce qu’elle appelle un relativisme absolu de la pensée, et empêche le peuple de se poser des questions éminemment importante comme : « de quel droit s’exprime ceux qui ont la parole ? De quel droit sont-ils là où ils sont ? De quel droit prétendent-ils savoir ce qu’il faut faire

particulier, je vis dans une illusion particulière à moi. «la nature aime à se cacher »  il y a quelque chose constamment retiré. L’opposition radicale qui habite l’unité même de la vérité. Il y a une contradiction au sein même de l’identité elle même et le devenir est le fruit de cette contradiction qui ne cesse de s’imposer. Hegel dira «  enfin il n’y a aucune proposition chez Héraclite que je n’ai pas adopté moi-même ». L’opposition est au cœur des choses, tout s’écoule et rien ne demeure, tout

avec les années, que parfois, la seule idée d’avoir à nous remettre en question nous fait paniquer, comme si cet auto-examen de notre pensée risquait de nous amener à nous trahir nous-mêmes. En fait, nous avons appris à vivre avec nos propres contradictions et nous répugnons souvent à leur faire face, et pourtant, les observer attentivement ne nous en libérera pas mais, ça peut nous permettre de nous apprivoiser nous-même, devenir notre propre ami et nous solidifier devant l’adversité. Je vous propose

(l’Assemblée, le Parlement…. ). En scientifique du droit, Kelsen reproche au droit idéal à la fois ses présupposés métaphysiques (Droit divin : Dieu commande ; ou normes dans la nature, alors que ce ne sont que des faits qui se produisent) et son relativisme (Droit idéal, religieux, variable selon la religion). Le positivisme juridique ne s’attache qu’aux faits juridiques : lois votées dans un Etat par l’autorité compétente). Cf Antigone, Sophocle : Antigone est idéaliste (Elle affirme que son frère

l’individu est désormais capable de découvrir en lui-même et par lui-même son identité) et l’invention du télescope (rationalisation et prima de la raison scientifique). La Terre n’est plus alors qu’une planète parmi d’autres et c’est le triomphe du relativisme et de la capacité de l’individu à penser lui-même. Mais, un être humain qui est inscrit dans une tradition c’est-à-dire une humanité particulière n’est pas, dans la perspective des Lumières, un être autonome : c’est la tradition qui pense, juge

l'hérédité. Ceux qui leur accordaient un peu d'humanité étaient très rares, ils faisaient preuve d'ouverture sympathisante à la souffrance des idiots. L'histoire de l'idiotie n'est pas donc pas une histoire unitaire. Elle est donc une des multiples contradictions de la psychiatrie. B. Genèse du mot "autisme" et évolution du concept On utilise si souvent le terme d'autisme de nos jours que l'on ne sait plus trop ce que le mot désigne exactement. Il a été créé au début du XXème siècle par le psychiatre

de convergence est le dosage de ces valeurs, la façon de les articuler, de les retenir, de les prôner ou de les rejeter · Remise en cause de la capacité de jugement des cultures : culture incapable de porter un jugement vrai car prisonnière d’un relativisme naturel · Pas de culture cumulative en soi et par soi, dépend de la conduite et non de la nature, modalité d’existence, manière d’être d’ensemble DISTINCTION entre ces 2 histoires est floue, n’est pas nette : toute histoire est cumulative, il s’agit

de changement et de conflit. D'où le caractère conservateur de cette approche. C'est la limite de cette vision qui va faire apparaître ce qu'on appelle le fonctionnalisme relativisé de Robert King Merton. Fonctionnalisme relativisé Le relativisme de Merton (1949) a donné à l'analyse fonctionnelle un paradigme formel invitant à interpréter, dans certains cas, les faits sociaux comme des conséquences objectives de la satisfaction de besoins propres à certains segments préalablement définis

égaux. Cependant, la neutralité confessionnelle de l’Etat laïque ne signifie pas qu’il soit désormais indifférent à toute valeur et à tout principe. La neutralité de l’espace publique laïque ne peut prêter à malentendu : elle n’exprime aucun relativisme et n’est donc pas opposable au pluralisme, ni à la séparation juridique de l’Eglise et de l’Etat qui constitue à la fois sa condition et sa garantie. Deux idées majeures sont donc impliquées dans l’idéal laïque : une démarcation entre ce qui est