La Dent D Or Apologue

(dernier vers : "Stupide" ou "gober" ◦ Parodie : attaque contre la "monarchie du droit divin" V.36 La reine = Un Dieu Fort langage religieux. La mort & le mourant : Fable qui ouvre le livre VIII, débute par la moralité (ou prélude). Apologue encadré par les propos de La Fontaine. → Une logique de persuasion unissant récit & moralité La Mort avait raison V.31, La Mort a une attitude de fermeté. → La Mort processus naturel & évènement scandaleux. Prélude, vers Ample. Le caractère

flatterieCar vous ne m'épargnez guère,Eut un mauvais succès, et fut encore punie.Vous, vos bergers, et vos chiens.Ce Monseigneur du Lion-làOn me l'a dit : il faut que je me venge.Fut parent de Caligula.Là-dessus, au fond des forêtsLe Renard étant proche : Or çà, lui dit le Sire,Le Loup l'emporte, et puis le mange,Que sens-tu ? dis-le-moi : parle sans déguiser.Sans autre forme de procès. L'autre aussitôt de s'excuser, Alléguant un grand rhume : il ne pouvait que direSans odorat ; bref, il s'en tire. Le

Maupassant et Mérimée au XIXe siècle. - Le conte philosophique, par le biais d’une fiction séduisante et facile à suivre, aborde des enjeux philosophiques complexes. Les plus célèbres sont ceux de Voltaire au XVIIIe siècle. → La parabole est un apologue à fonction religieuse. Les paraboles des évangiles sont des récits allégoriques faits par Jésus et Nazareth et présentant un enseignement moral et religieux. → L’apologue peut avoir plusieurs formes : l’utopie qui décrit une société idéale ; la

traités par La Fontaine, je ne me suis fait aucun scrupule de m’en emparer. J’en dois quelques uns à Ésope, à Bidpaï, à Gay, aux fabulistes allemands, beaucoup plus à un espagnol nommé Yriarté, poète dont je fais grand cas, et qui m’a fourni mes apologues les plus heureux. Je compte bien en prévenir le public dans une préface, afin que l’on ne puisse pas me reprocher… Oh ! C’est fort égal au public, interrompit-il en riant. Qu’importe à vos lecteurs que le sujet d’une de vos fables ait été d’abord

: « Vanderdendur », qui a la dent dure, est sévère comme nous le montre le traitement de l’esclave. - exotisme de l’Amérique du Sud, du pays lointain : « Cacambo », « perroquets », « Surinam ». b) La structure argumentative. - Construit comme une fable, un apologue : trois parties avec l’exposition au début lors de la contre, le discours de l’esclave et la morale apportée par Candide. - Présence de connecteurs logiques : « Cependant », « mais », « mais », « Or », « et - Procédés oratoires

: « La Fable, pour la Fontaine, n’a été le plus souvent qu’un prétexte au récit, au conte, à la rêverie ; la moralité s’y ajuste à la fin comme elle peut. » (Lundis, VII) À quoi tient davantage le « pouvoir des fables », et plus généralement des apologues : au récit ou à la morale ? Quelle partie de l’apologue vous semble la plus importante ? Vous appuierez votre réponse sur des exemples précis, et notamment sur les documents ci-dessous. • Invention Vous composerez la préface pour une nouvelle

personnages  ; l’incipit doit aussi installer l’atmosphère du récit et ses enjeux (le conte philosophique est ancré dans les Lumières). Il vous faut vous poser par conséquent les questions suivantes : en quoi ce début présente-t-il les caractéristiques d’un apologue  ? Quels sont les thèmes chers aux philosophes des Lumières que ce texte reprend ? 1 En quelques lignes, présentez les principales composantes du récit. Quand l’action a-t-elle lieu ? Où se passe-t-elle ? En quoi consiste-telle ? Qui met-elle

personnages  ; l’incipit doit aussi installer l’atmosphère du récit et ses enjeux (le conte philosophique est ancré dans les Lumières). Il vous faut vous poser par conséquent les questions suivantes : en quoi ce début présente-t-il les caractéristiques d’un apologue  ? Quels sont les thèmes chers aux philosophes des Lumières que ce texte reprend ? 1 En quelques lignes, présentez les principales composantes du récit. Quand l’action a-t-elle lieu ? Où se passe-t-elle ? En quoi consiste-telle ? Qui met-elle

univers idéalisé - égalité hommes-femmes - harmonie : rôle de la musique (hyperboles suivie d’une restriction : mille musiciens= banal) - tout est à une échelle gigantesque( hyperboles) - dévalorisation de ce qui pour nous constitue des richesses or et pierreries= vulgaires cailloux, matériau inconnu du palais, plus précieux que l’or, ou plus solide ? ou plus technique ? , ce qui justifierait sa plus grande valeur. Ce jugement qui dévalorise l’or correspond à l’opinion de Voltaire qui méprisait

monde les confond dans le discours réfléchi ou plus exactement les inverse, chacun des termes se retrouvant défini par celui-là même auquel il s’oppose : la souffrance serait une douleurnotamment morale, et la douleur une souffrance notamment physique. Or cette confusion est si insistante et systématique, malgré la faute de logique évidente qu’elle constitue, qu’il est impossible de l’attribuer seulement à l’ignorance ou au manque d’attention : quelque chose dans la réflexion de la douleur doit justifier