La Démocratie Aristote

classification d’Aristote 1) Les différentes formes de régimes politiques Aristote est l’un des auteurs qui a essayé d’établir une classification des régimes, dit autoritaires. On trouve également une comparaison chez Platon. A la différence de ce dernier, Aristote trouve que le meilleur régime n’est pas forcément le même pour tous les temps et tous les pays. Cela signifie que chaque pays a son régime politique qui lui est propre. Aristote a établit une double classification des régimes politiques en distinguant

naissance de l’argumentation s’est faite en Crète vers le 8ème siècle avant J.C. A cette époque sur l’île règne un tyran et tous les sujets sont absolument assujettis a sa tyrannie. Une révolution éclate ce qui entraine la mise en place d’une forme de démocratie. On convoque une assemblée, constitution d’un jury et les personnes doivent venir plaider leur cause afin de prouver leur propriété de leur terre. Si leur argumentation est bonne, leur terre est accordée, dans le cas contraire, refusée. Principe

"La democratie correspond-elle toujours à la loi de la majorité ?" "Gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple" est la formule de Lincoln qui caractérise très bien le regime politique qu'est la démocratie. En effet, depuis l'antiquité, nous cherchons à distinguer les différentes formes de gouvernement. Platon et Aristote, deux auteurs qui ont marqué cette époque, ont mis en oeuvre une classification selon l'origine de la souveraineté

Athènes : Au Ve siècle avant J-C, Athènes devient le berceau de la démocratie, elle connait son apogée, bien que la Cité d’Etat Athénienne possède un véritable rayonnement démocratique, Il en va de sa constitution qui a, néanmoins des limites. Nous pouvons donc nous poser la question, qu’elle est la notion de citoyenneté à Athènes et qu’elle en a été son influence dans le monde? Pour répondre à cette question nous allons aborder dans un premier tant ce qui définie un citoyen, dans un second temps

« paraître » éloigné de « l’être » et de la simple opinion sur le monde (la doxa). Soumettre les faits à l’examen de la pensée. * La politique et l’excellence de la morale Ouvertement sceptique à l’égard du régime démocratique athénien. La démocratie confie la politique à des hommes désignés par le suffrage d’une foule ignorante ou par les lois du hasard. La politique pour Socrate est un art. Elle exige une excellence morale. * La soumission aux lois de la cité  Socrate ne condamne pas

conséquente dans nos sociétés. Cette « omniprésence » peut avoir plusieurs causes et de nombreux auteurs - de Tocqueville à Foucault- ont réfléchi sur ce sujet majeur de la philosophie du droit. Tocqueville tient les juristes pour les aristocrates des démocraties modernes et, en bon libéral, il estime que le droit doit être l’instrument premier de la lutte contre les abus des pouvoirs étatiques. En revanche, Foucault (en tous les cas le Foucault de "Surveiller et punir") considère que les penseurs libéraux

Athènes) est une ville Etat. En français, la politique désigne l'administration de la société, c'est-à-dire l'ensemble des activités grâce auxquelles les individus en société peuvent cœxister. La politique suppose des institutions et des lois. En démocratie, les lois sont l’expression juridique de la volonté du peuple. Pour que la loi soit considérée comme légitime (contraire d’arbitraire), c’est-à-dire à la foi juste et fondée, il faut qu’elle possède une double universalité. L’universalité du sujet

Liberté, politique et morale PB : La liberté est-elle subordonnée à la morale ? La politique doit-elle faire naître le bonheur ? Le bonheur et la morale sont-elles affaire de politique ? -dans Politique Aristote lie la politique, affaire d’une cité, au bonheur -dans Le Prince Machiavel sépare politique/bonheur, il décrit la pol dans les faits Politique : ensemble des activités visant à l’organisation de la vie commune des hommes Néanmoins, cette définition ne détermine pas la nature

De la citoyenneté dans la démocratie à l’heure de la mondialisation Par Hugues Poltier www.contrepointphilosophique.ch Rubrique Politique Février 2004 Le but de cet exposé est de contribuer à penser la question de la citoyenneté dans le contexte contemporain. Il ne s’agit donc pas pour moi de me cantonner à une présentation historiographique de la réflexion sur la citoyenneté depuis la fondation de la démocratie grecque au VIe-Ve siècles avant J.-C. Il s’agit ici pour moi de penser

Ouverture : Aristote (-384,-322), parle dans le Livre III , Les Politiques, chapitre 10, du pouvoir a un individu de mérite ou de le laisser à des bonnes lois. Il nous propose trois types de gouvernement, la monarchie absolu, l'aristocratie, la démocratie. Pour Aristote ce n'est pas le type de gouvernement qui conte mais l'importance de l'homme ou des hommes qui gouvernent. On peut passer d'une monarchie a une tyrannie ou bien de l'aristocratie à une démagogie ou encore de la démocratie à une anarchie