La Firme Manageriale

et stratégie stables + réinvestissement des profits dans la croissance * Le capitalisme managérial du XXème siècle : Pouvoir de gestion et de décision du manager -> séparation entre propriété et gestion de l’entreprise BERLE et MEANS : proposent de finaliser le pouvoir managérial de façon à ce qu’il serve l’intérêt de toutes les parties prenantes -> entreprise comme institution sociale = firme qui a des responsabilités vis-à-vis de l’intérêt général GALBRAITH, CHANDLER * Le capitalisme

utilisée pour répondre aux deux questionnements et finalement nous allons présenter les résultats et leur discussion. I. Cadre conceptuel Dans cet article, Charlotte Fillol s’est référée à plusieurs travaux de la littérature académique et managériale traitant à la fois la définition de la connaissance, ses conceptions épistémologiques, et les déterminants de sa diffusion. Par ailleurs, elle s’est référée à d’autres travaux concernant la définition de la notion de communauté de pratiques, ses

implique que la demande joue un rôle dans la détermination des prix. C - Critique de l’approche néoclassique de la firme : L'approche néoclassique de la firme considère qu'on doit comprendre et étudier les décisions des entreprises en partant de l'hypothèse qu'elles cherchent à maximiser leur profit, c'est-à-dire à réaliser le plus grand bénéfice possible. L'approche managériale a tenté d'examiner d'autres possibilités, en particulier l'idée que les dirigeants salariés des entreprises chercheraient

existe un réseau informel créé à l'initiative des acteurs. Pour lui chaque individu a sa stratégie propre, le but collectif peut donc devenir changeant. d. L’école managériale ou empirique Elle est principalement composée de consultant et dirigeants d’entreprises. Peter Drucker redéfinie les tâches managériales (les tâches du manager) : organiser le travail, communiquer, motiver et former des équipes. L’école propose un mode de management, une direction par objectifs soit individuels

sources de performance et permet de définir et de formaliser les choix managériaux Le modèle SWOT : historique  Le modèle LCAG (Learned, Christensen, Andrews, Guth) est l’un des outils de stratégie les plus utilisés Plus connu sous le nom de SWOT (Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats)   Analyse en 2 temps : diagnostic externe (analyse de l’environnement – industrie) et inter (analyse de la capacité d’une firme à répondre au conditions externes) SWOT : facteurs stratégiques

déplacé leurs recherches sur d’autres sujets. Néanmoins, cet article s’articule autour d’un inventaire sélectif de publications : des réalisations individuelles que rien n’autorise de rattacher directement au Club sinon un ralliement à des principes managériaux proclamés dans les premières années du Club (première moitié des années 1990) lors de conférences animées par les membres du Club. Ces conférences ont transformé les praticiens en formateurs et les ont, pour certains, incité à s’aventurer dans l’exercice

gouvernance d’entreprise, nous allons succinctement faire le point sur la représentation de la firme comme nœud de contrats, avant de la définir et de développer ses approches théoriques. 1.1. La firme : Un nœud de contrats L’article de Ronald Coase de 1937, la nature de la firme3, apportait une réponse fondamentale à une question importante : pourquoi les firmes existent – elles ? Coase répond que : la firme constitue un mode de coordination alternatif au marché. Il formule l’hypothèse, alors que

successivement … * Fixer des objectifs (avec une date d’échéance et des objectifs chiffrés) * Définir les moyens d’atteindre les objectifs. => le temps ; les ressources (humaines, financières, techniques) soit des budgets ; les ressources managériales (qui va faire quoi ? quand ? grâce à quoi ? etc. / Organiser les moyens précédents). * Mise en œuvre de la stratégie * Contrôle qui porte sur : les résultats et la mise en œuvre. En fonction des résultats et de la qualité de la mise en

services dépend des connaissances possédées par les individus dans l’entreprise. Les deux types de ressources (matérielles et humaines) combinées créent ainsi, par interaction, des opportunités productives uniques, subjectives et spécifiques à chaque firme. La croissance est motivée par la recherche d’opportunités d’utilisation des ressources (les services productifs potentiels des ressources matérielles définissent l’éventail et la direction de la recherche de nouvelles connaissances et de nouvelles

parfaite. Avec l’émergence de l’imperfection de la concurrence et de la rationalité, un tel objectif devient impossible. 2. LES REVISIONS MANAGERIALES ET BEHAVIORISTES La théorie managériale présuppose l’identification de l’entreprise à un organisme biologique qui dans une conception darwinienne œuvrent avant tout pour sa survie. La théorie managériale accorde une caractéristique supplémentaire à l’organisation : celle d’un conscient collectif. Ce dernier résulte d’un effet systémique de la